DNC Chapitre 167
DNC Chapitre 169

Salut tout le monde, voici le DNC du jour ! Et ce soir, il y en aura un autre en bonus !

Attention, ce chapitre est sale… Mais hilarant !

Bonne lecture et à tout à l’heure 😀

Chapitre 168 – Se battre « durement » 

Normalement, ces pièges vicieux auraient dû tuer au moins deux personnes et laisser les autres couverts de blessures. Cependant, ils s’en étaient sortis sans une égratignure et en plus, après avoir été contaminés par l’aphrodisiaque, leur vitesse avait grandement augmenté malgré un certain… inconfort.

Ils n’en étaient pas encore au stade final du gonflement qui pourrait les tuer ; au lieu de ça, l’aphrodisiaque augmenta leur puissance offensive et les aida à franchir des pièges qui leur auraient autrement posé problème.

L’expression « prendre un aphrodisiaque change un homme en tigre féroce » était clairement démontrée à ce moment. En fait, ils étaient si féroces que ça en était terrifiant, mais il faut se souvenir qu’ils n’avaient pas pris cette médecine volontairement ; ils avaient été forcés de l’inhaler.

Le Roi des Enfers Chu n’aurait jamais pensé qu’ajouter de l’aphrodisiaque dans le tas créerait une telle faille dans ses plans.

Eut-il été présent, il aurait probablement roulé des yeux et hurlé : « Bordel de merde, ce monde est vraiment incroyable ! Onze types se battent avec trois jambes, c’est vraiment trop spectaculaire ! C’est vraiment ce qu’on appelle se battre avec tout son corps ! »

C’était effectivement le cas. Les onze maîtres traversèrent l’océan de danger avec des visages rouges et une certaine excitation qui leur donnait la chair de poule. Ils criaient sans cesse : « Attaquez ! Rendez-vous à la cellule de Tang Xinsheng ! »

« Bam ! »

Le premier Cavalier Officier donna un coup de paume brutal et envoya voler un morceau de métal couvert de clous empoisonnés. Ils étaient enfin arrivés à la cellule ! Ils y trouvèrent une personne recroquevillée dans un coin, qui essaya de lever la tête pour les regarder.

Les deux Cavaliers Officiers étaient transportés de joie.

Ce type ressemblait exactement au dessin que Diwu Qingrou avait fait de Tang Xinsheng.

« Numéro Un ! Le Premier Ministre nous a envoyés à votre rescousse ! »

Le prisonnier fut très ému de les entendre ; il ouvrit grand la bouche, mais aucun son n’en sortit. Il essaya de bouger son corps, mais il ne pouvait plus tenir debout. Il était probablement grièvement blessé et ne pouvait plus faire de grands mouvements.

Il avait définitivement subi d’innombrables tortures !

Le Commandant Officier leva rapidement son épée et l’abattit violemment sur le verrou d’acier qui se brisa en mille morceaux. Il ouvrit la porte d’un coup de pied et se précipita dans la cellule, puis brandit son épée de nombreuses fois pour tailler en pièces les nombreuses chaînes qui enserraient Numéro Un. Enfin, il s’accroupit, plaça ce dernier sur son dos et rugit : « On a réussi ! Allons-y ! »

Onze personnes bondirent allègrement hors de la fumée dense.

Aucun d’entre eux n’était réellement heureux d’avoir pu sauver Tang Xinsheng ; ils s’inquiétaient plus de savoir où se trouvait le bordel le plus proche !

Leurs parties intimes étaient sur le point d’exploser !

Tout à coup, les maîtres martiaux du Pavillon Butian et du Manoir du Prince leur tombèrent dessus dans toutes les directions, et commencèrent à les frapper du poing comme du pied.

Cependant, ils éclatèrent de rire au moment où ils virent leurs cibles.

Les intrus portaient tous des vêtements moulants et à ce moment, ils avaient tous des érections évidentes…

Une personne plaisanta en se battant : « Hé chef, regardez ces types se la péter ! Comment leurs parties ont pu gonfler à ce point ? Bordel, comment peuvent-ils être aussi énormes ; leurs bites doivent faire au moins une demie-livre ! »

Les guerriers du Nuage de Fer avaient bien sûr pris un antidote et ne risquaient rien.

Une autre personne intervint : « Oui, ils ont l’air d’être mal à l’aise ! Mais pourquoi le sont-ils ? »

« T’es bête ou quoi ? Le ministre a utilisé dix kilos d’aphrodisiaque ; ils n’ont pas voulu gaspiller et ont tout inhalé ! Tu ne serais pas mal à l’aise à leur place ? Il n’y a pas de truies dans le coin pour les soulager, alors c’eut été étrange qu’ils ne soient pas mal à l’aise ! C’est la première fois que j’entends parler de kilos d’aphrodisiaque, quoi ! »

Bien que ces experts du Pavillon et du Palais soient moins puissants que les intrus et qu’ils soient tous couverts de blessures, ils ne cessèrent de se payer leur tête.

« C’est bizarre, ils pourraient s’en occuper et sortir en même temps, alors pourquoi sont-ils si mal à l’aise ? » dit quelqu’un en se battant et en crachant du sang. Sa question avait distrait son adversaire et l’avait ralenti. On pourrait s’en occuper et sortir en même temps ? Comment ?

« Ils ne peuvent pas s’en occuper, ils sont sous l’effet d’un aphrodisiaque ! » cria quelqu’un d’autre. « Comment un type seul pourrait s’en occuper ? »

« C’est très simple ! » poursuivit le premier. « Ils ont juste besoin d’enlever leur pantalon ! Ah, non : ils ont juste besoin d’y faire un trou avec leur énergie et ensuite, le premier gars se sacrifiera pour que tous les autres derrière lui ne soient plus mal à l’aise ! »

« Comment ça ? »

« Réfléchis un peu : le premier type doit juste tendre les fesses à la personne derrière lui pour qu’il puisse se débarrasser de son problème ! Un autre peut ensuite arriver derrière ; ils auront l’air d’un dragon volant dans le ciel ! Ce sont tous des maîtres martiaux alors ils n’auront besoin que d’un moment. De plus, ils auraient toujours les mains libres pour tenir leurs armes et se battre contre nous ! »

Ce type avait vraiment une grande gueule et bien qu’il se fasse encore cogner et qu’il cracha du sang partout, il continua de rire : « Il ne sont pas si loin de la sortie, ils doivent juste courir rapidement pour s’en aller ! Haha, les arts martiaux peuvent faire bien des choses ! Vous voyez les gars ? C’est ça qu’on appelle un effort concerté ! »

Sa plaisanterie provoqua des éclats de rire. « Pas mal, pas mal ! Haha, un type après l’autre… C’est si romantique ! Ils pourraient même devenir accros après avoir essayé ! Hahaha ! »

« Peut-être qu’on n’a pas besoin de se battre contre eux en fait ! On a juste besoin d’attendre qu’ils jouissent, et on pourra facilement s’occuper d’eux une fois qu’ils seront au septième ciel ! Oh putain, j’ai encore été blessé ! Eh, tu te prends pour qui avec ta grosse bite ? »

Il rendit fous de rage les maîtres martiaux du Hall des Cavaliers Dorés. Ils le prirent pour cible et le pauvre hère subit de plus en plus de coups. Au moment où sa vie allait être en danger, il sourit étrangement et dit : « Ma suggestion n’est pas si mal, les gars ! Pourquoi ne pas l’essayer ? »

Avant qu’il ait pu finir de parler, un maître du Hall des Cavaliers Dorés le planta en plein cœur : « Va essayer ton grand-père ouais ! » Cependant, il parvint quand même à rire avant de mourir.

Chu Yang avait fait venir de nombreux experts pour cette embuscade, mais leurs niveaux n’étaient pas comparables à ceux de leurs ennemis. Après s’être battus un moment, les onze cavaliers dorés atteignirent la porte avec seulement six blessés.

Cela dit, les effets de l’aphrodisiaque arrivèrent à leur paroxysme alors qu’ils allaient rejoindre leurs collègues à l’extérieur. Leurs yeux étaient injectés de sang et ils haletaient.

Leurs infortunes étaient vraiment indescriptibles…

Un Vénérable Martial de neuvième rang accompagné de quelques subordonnés bloquait les vagues incessantes de soldats qui essayaient d’entrer, à l’extérieur. Ils n’allaient plus pouvoir tenir leur position davantage lorsqu’ils virent leurs camarades arriver. Ils crièrent de joie : « Dépêchez-vous ! On ne peut plus les retenir ! »

Tout à coup, leur joie se changea en stupeur : « Que se passe-t-il ? Pourquoi êtes-vous dans cet état ? »

« Sa grand-mère ! Ils ont bourré l’intérieur d’aphrodisiaque ! » Le Vénérable Cavalier Officier qui portait Tang Xinsheng rugit rageusement : « On est tous affectés ! »

« Pfff ! » L’Officier à l’extérieur ne put s’empêcher de cracher et de jurer : « Putain d’merde, c’est vraiment… ! » Il sut, en regardant leurs visages rouges, qu’ils ne pourraient plus tenir plus longtemps !

Il ne put s’empêcher de trembler en voyant un type regarder son cul avec convoitise. Il se lamenta silencieusement : Maudit soit le Roi des Enfers Chu ; quelle quantité d’aphrodisiaque a-t-il utilisée ?

Les trois Cavaliers Officiers surent qu’ils ne pouvaient pas tarder davantage et ordonnèrent à l’unisson : « Sortez en vitesse ! Tue tue ! »

À ce moment, le Cavalier Officier qui portait Numéro Un sentit tout à coup une sensation étrange dans son dos. Il tourna la tête et vit que ce dernier lui souriait étrangement puis juste après, il éprouva une grande douleur à l’entrejambe.

« Haaaaaaa… !! » Deux Cavaliers Officiers crièrent de douleur.

Ce type avait attrapé leurs paquets de ses deux mains… et les avait tordus.

C’était complètement inattendu, aussi les deux Cavaliers n’eurent pas le temps de réagir, d’autant qu’ils ne s’imaginaient pas une seconde que Tang Xinsheng, grièvement blessé, puisse bouger. De plus, il avait été aussi rapide qu’un Aïeul de neuvième rang comme eux.

Ils n’auraient jamais rêvé non plus être attaqués à cet endroit…

C’était leur point faible et vu qu’ils étaient durs à ce moment-là, ils n’avaient aucun moyen de se prémunir contre cette attaque-surprise.

Numéro Un tordit et tira les engins de ses victimes. Si quelqu’un avait pu les voir, il aurait dit : « Wow, vous êtes si gros ! Vous avez de si grandes barres d’acier ! » (NdT c’est pour mieux te b***** mon enfant !)

Malheureusement, ce n’était pas des barres d’acier.

Les visages des deux Cavaliers Officiers se tordirent au-delà du possible. Leurs yeux sortirent de leurs orbites et ils se plièrent en deux en convulsant.

« Bam ! Bam ! » Tang Xinsheng frappa leurs têtes avec de puissants coups de paume. ils tombèrent à terre sans avoir le temps de faire le moindre bruit, et du sang coula de leurs orifices.

Ensuite, Numéro Un se déplaça à la vitesse de l’éclair, frappant du poing et du pied. Chacun de ses coups ciblait directement le ‘point faible’ des maîtres martiaux du Hall des Cavaliers Dorés.

Sept d’entre eux furent pris par surprise et touchés ; ils attrapèrent aussitôt leurs bijoux de famille en hurlant de douleur.

Le dernier Cavalier Officier réagit enfin : « Nous sommes tombés dans leur piège ! Ce type n’est pas Numéro Un ! C’est le piège le plus dangereux de cette prison ! » Il cria : « Enfoiré ! Je vais te tailler en pièces ! »

Wazouille
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12 thoughts on “DNC Chapitre 168

  1. merci pour le chapitre. Mais pffff ahahahah, juste enorme mais quels sadique ce ministre chu x) par contre a ce rythme il serais aiel martial au chapitre 800… et marié a la loli au chapitre 2800 x)

  2. Merci pour le chapitre.
    PS:Pauvres pièges mortels, détruits sans pouvoir remplir leur raison d’exister…Sauf l’aphrodisiaque mais je l’entend se plaindre qu’il à pas été créer pour ça !

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