ICDS - Chapitre 106
ICDS - Chapitre 108

Une petit chapitre régulier pour finir cet arc. Le prochain va être un poil plus bourrin, je préfère vous prévenir =p

Pour information, il y avait des phrases assez tordues à traduire, donc si vous trouvez que des formulations sont étranges, faites le moi savoir.

Chapitre 107 – Ceux qui Gravissent le Donjon (6)

Alors que nous marchions à travers la Zone Résidentielle, Loretta n’avait cessé de recevoir des regards de la part des autres Explorateurs. Bien sûr, je savais pertinemment pourquoi. Au premier regard, ils étaient surpris par l’apparence de Loretta ; à leur second regard, ils étaient émerveillés par sa beauté exotique ; et au troisième regard, elle avait l’air encore plus belle que la première et la seconde fois. Enfin c’était le cas tant qu’elle n’ouvrait pas la bouche. Elle avait une fâcheuse tendance à faire disparaître tout son charme lorsqu’elle se mettait à parler comme une idiote. Mais bon, ça faisait partie de son charme.

« Il y avait une elfe aussi jolie dans le Premier Donjon ? »

« Je croyais que la plus belle des Exploratrice était la princesse couronnée du continent de Luka. »

« Non, dans les étages les plus élevés, il y a une autre beauté célèbre. Tu sais, celle qui vient de… ce continent en ruine. »

« Mais ça va faire des dizaines d’années qu’elle n’est pas apparue. »

« Hey, cette elfe n’est pas une Exploratrice. »

« Je sais qui elle est. C’est le maître d’une des guildes administratives. Elle était tellement jolie que je n’ai jamais pu l’oublier. »

« Je ne savais pas qu’elle sortait avec une recrue… »

« Je suis jaloux, putain… »

Il y en avait certains qui avaient réalisé qui était Loretta d’après son apparence. La plupart d’entre eux avaient l’air fort. Avec un sourire amer, Loretta m’avait expliqué.

« Des fois, mon devoir de maître de guilde fait que je dois apparaître en public. »

« Donc tu réalises vraiment ton travail de maître de guilde. Ow ! »

Elle s’était énervé à ma réponse et m’avait tapé le bras.

« Je suis un maître de guilde irréprochable ! Cela dit, c’est maintenant au tour de Lin de l’être. »

« Lin a dit qu’il n’était qu’un substitut. »

« Comment dire, c’est comme ça que tout le monde débute. Huhu, il se trouve que Lin a un excellent profil de dirigeant. La capacité spéciale de Lin était la seule raisons lui ayant permis de rentrer au Jardin des Fées en tant qu’humain. »

« Lin n’est pas un humain mais un draconien… Enfin, c’est pas grave. Au fait Loretta, qu’est-ce que tu vas faire si tu arrêtes d’être maître de guilde ? »

« En fait, mon rêve a toujours été d’être une femme au foyer ! Donc je travaillerais à tes côtés. »

« J’aimerais que ma partenaire soit indépendante. »

« D-Devrais…je continuer à être maître de guilde… ? »

« Tu devrais faire ce que tu veux, mais je veux épouser une femme qui est proactive dans sa vie. »

« T-T-Travailler… Je dois travailler… Kuk, mais je veux m’amuser… ! »

La façon dont les oreilles de Loretta tremblaient, comme si elle était en pleine agonie, était trop mignonne. Cependant, alors que je m’amusais à la taquiner, j’avais accidentellement percuté quelqu’un avec mon épaule. Mon épaule me faisait mal, mais je m’étais quand même excusé comme j’étais celui en faute.

« Désolé, vous allez bien ? »

« Bien sûr. Je suis plus surprise par le fait que tu ailles bien après m’être rentré dedans. Je ne t’ai jamais vu avant donc tu dois être un nouveau. »

C’était une voix de femme basse et argentine. J’avais relevé ma tête. En face de moi se tenait une jeune beauté de ma taille, dont la plupart de sa silhouette était caché derrière une armure noire. Elle me regardait avec de l’intérêt dans les yeux.

Dans ses yeux d’ambre, je pouvais voir une longue pupille verticale qui m’avait laissé une impression profonde. Ce n’était pas les yeux d’un humain mais d’une bête. Comme pour balayer tout doute possible, deux oreilles triangulaires se dressaient sur sa tête.

« Femme-bête… »

« O, donc tu sais. C’est exact, je suis une femme-bête. »

« Leb, allons-y ! Saure a déjà commandé nos boissons. »

« Shin, tu marches avec moi mais tu te permets de regarder d’autres femmes ? »

Quelqu’un qui semblait être sa compagnonne l’avait appelé pendant que Loretta me tirait vers elle par le bras. La femme avait répondu à sa compagnonne qu’elle arriverait dans un moment.

« Tu as même une petite-amie elfe ? Tu t’en sors bien, jeune recrue. Donne-moi ton nom, je m’en souviendrais. »

« Je suis Kang Shin, un Explorateur de la Terre. »

« Je suis Lebuik, de la guilde des Filles Démoniaques. Bonne chance dans ton ascension vers les étages les plus élevés. On ira boire un coup la prochaine fois qu’on se croisera. »

Après ça, elle avait fait un salut avec la main tout en se tournant. Le cliquetis de sa belle armure noire était une preuve à mes oreilles qu’elle était une Exploratrice talentueuse des étages supérieures. En plus, dans son dos se trouvait une ridiculement large et longue claymore noire, que j’aurais moi-même eu du mal à porter.

En voyant ça, j’en étais certain. Ce n’était pas le moment d’être choqué par le fait que ça soit une femme. Alors qu’elle commençait à s’éloigner, je lui avais annoncé.

« Donc tu n’étais pas morte. »

A mes mots, elle m’avait fait face à nouveau.

« … Qui a dit que j’étais morte ? Donne-moi le nom de celui qui a osé dire ça. »

« Shin… ? »

C’est vrai, il avait dû penser à cette possibilité quand il me l’avait demandé. Il avait même du penser que c’était plus qu’une possibilité, et il était même peut-être certain. Après tout, il n’était pas un complet idiot. Si je lui disais, que ferait-il… A ce moment-là, j’avais dit.

Il y a un Explorateur qui est devenu célèbre au 35ème étage. Ils le nomment le Lion d’Or. »

« Le Lion d’Or ? Qu’est-ce que c’est que ça ? Tsk, n’importe qui peut se faire nommer le Lion d’Or de nos jours ? Il n’existe qu’un seul vrai Lion d’Or, sur le continent de Panan, il est … Huu, peu importe. Recrue, que veux-tu dire à la fin ? »

« Le Lion d’Or dont tu parles est sur le point de traverser le Premier Donjon avec sa propre force. »

« … mon… R-Ren ? »

J’étais surpris par sa façon de parler de Ren. Alors que j’essayais d’imaginer quel statut il avait, cette femme s’était jetée sur moi. Enfin, disons plutôt qu’elle avait essayé de se jeter sur moi mais avait instantanément était repoussée. Puis j’avais vu Loretta s’avancer avec colère.

« Tu veux recevoir une branlée, chère client ? Tu veux ? Tu n’as pas le droit de toucher les autres clients qui ne t’appartiennent pas. Compris ? Tu veux savoir quel goût à l’Ultime Balle ? Tu veux l’essayer ? »

« Kukuk… Quelle sorte d’elfe… ! »

Lebuik s’était relevé, retenant son estomac avec douleur. Il y avait une fissure dans son armure. Avec  ses oreilles rabattues, elle m’avait presque fait pitié.

« Toi, qui es-tu ? »

« Je suis Loretta, de la Boutique d’Étage. En tout cas, si tu veux poser une question à Shin, tu peux le faire sans le toucher, non ? »

« La Boutique d’Étage ? La guilde administrative… ! Ku, ça fait mal. »

Voyant cette Exploratrice puissante se tordre de douleur me rappelait que j’en étais en partie la cause.

« Tu vas bien ? »

« Ah, oui, je vais bien. En tout cas, si tu sais quelque chose à propos de …Ren, pourrais-tu me le dire ? Je suppose qu’il est toujours aussi beau et noble. »

Je venais juste d’entendre les deux mots qui décrivaient le moins bien Ren à mes yeux.

Au final, j’avais fini par rester avec Lebuik, qui était sur le point de se rendre dans un bar, un peu plus longtemps. Elle avait deux compagnonnes, l’une était l’humaine qui l’avait appelé plus tôt dans la rue, Zevina (guerrière au bouclier). L’autre était la naine qui avait déjà commandé les boissons, Saure (guerrière à la hache). Je me demandais si tous les membres de leur guilde étaient des guerrières, mais elles m’avaient dit que l’un des cinq membres était une prêtresse. La dernière guildienne était une guerrière avec des griffes. Avec toutes ces classes ‘macho’, j’étais surpris qu’elles soient toutes des femelles.

« Donc, Q-Qu’en est-il de mon…. Ren… ? »

Lorsque nous avions reçu nos boissons, Lebuik m’avait immédiatement demandé avec impatience ce qui lui trottait dans la tête. Ses joues étaient rouges. Comme elle n’avait encore rien bu, j’en avais déduit qu’elle avait rougie. Sentant des envies meurtrières envers Ren jaillir au fond de moi, j’avais répondu.

« Je l’ai rencontré pour la première fois au 20ème étage. Il ne pouvait pas contrôler son tempérament et il était sur le point de mourir. »

« Huhu, c’est vrai qu’il possède ce mignon petit trait de caractère. »

« … Après ça, il est restait avec moi un certain temps afin que je le débarrasse de cette habitude. Au final, il a réussi à vaincre le Chevalier Lézard seul. »

« S-Seul ? Le Chevalier Lézard ? Kuk, j’aurais aimé être là pour le voir… Ah, il a dû avoir l’air tellement cool à ce moment-là. »

« Après ça, il a continué à grimper les étages seul et à réussi à vaincre les autres Maîtres d’Etage seul. Pendant ce temps, il a récolté un peu de célébrité en aidant les autres Explorateurs à vaincre les Maîtres d’Etage. Il devrait toujours être au 35ème étage pour obtenir des élixirs de renforcement. »

« Des élixirs de renforcement ? Cette chose qui ne tombe qu’occasionnellement ? Wow, je n’arrive pas à croire qu’il ait autant grandi… Il doit être incroyablement beau gosse maintenant… Comme un vrai homme… »

Les oreilles de chats de Lebuik s’étaient mises à frémir tout en révélant ses émotions confuses. Pendant ce temps, Loretta était en train de confirmer les informations à propos de Ren via mes murmures.

« Shin, le Ren dont vous parlez est ce client aux cheveux en bataille qui rend les gens fous quand ils le regardent ? Tu es sûre qu’elle ne parle pas de quelqu’un d’autre ? »

« Loretta, pour être honnête, j’ai aussi cru à une erreur. »

« Je suis surprise. Je ne pensais pas que ce Ren était réel. Leb parle toujours de lui quand elle est soûle. »

« Exactement. Une fois qu’elle commence à parler de lui, on ne peut plus l’arrêter pour le reste de la journée. Donc c’est trop tard pour aujourd’hui. »

En face de moi se trouvait la jolie petite naine, Saure. Peu importait la façon dont je la regardais, elle avait l’air d’une fillette à l’école élémentaire. La voyant tenir une bière dans sa main et frapper Zevina avec, j’avais une impression désagréable, mais j’avais réussi à l’ignorer. Heureusement que je m’étais habitué aux nains grâce à Lotang, du Jardin des fées. Pendant ce temps, la folie de Lebuik était toujours en cours.

« Il était mignon petit déjà… Nous nous entrainions avec des épées en bois à l’époque. Une fois, alors qu’il était tombé et qu’il s’était écorché le genou, il s’était mis à courir vers moi avec les yeux larmoyants… haak, haak. »

Je me sentais dégouté. A la fois en imaginant le visage de Ren en train de pleurer et par cette femme qui laissait échapper de drôle de bruits de respiration en imaginant ce même visage.

« Q-Quand j’avais léché sa blessure, il avait essayé de sourire bravement malgré les larmes dans ses yeux, disant  ‘Je vais bien maintenant, Sir Lebuik !’… haa, haa. »

« Leb, tu saignes du nez. »

Après s’être remémoré (un peu trop intimement à mon goût) ses souvenirs de Ren plus jeune, les oreilles de Lebuik, ainsi que sa queue, s’étaient soudainement affaissées de tristesse.

« Mais je… l’ai laissé seul sur le continent de Panan… Uk,uuk… »

« Elle en a bu combien. »

« Un verre. Juste un verre de bière. »

« Je… J’aurais dû être à ses côtés. Je, je… je n’aurais pas dû… mais je voulais vivre… »

« Ren pense que tu es morte. »

« C’est un mensonge. Les chevaliers qui étaient avec moi sur le champ de bataille ont dû mentir… Après tout, je me suis enfui juste sous leurs yeux. Sous les yeux de tout le monde, j’ai ouvert la porte du donjon, pour survivre… Laissant derrière moi l’honneur et la fierté des hommes-bêtes… »

« … »

L’atmosphère s’était soudain alourdie. Saure et Zevina, qui étaient en train de trinquer de bonne humeur, avaient soudainement pris un air sinistre. Je les suspectais d’avoir vécu une expérience similaire. En tant qu’Exploratrices du Premier Donjon, elles devaient avoir abandonné leur pays et leur monde pour le donjon.

J’avais ouvert ma bouche pour dire quelque chose avant de réaliser que j’étais non qualifié pour pouvoir les critiquer. Je m’étais donc tu. Ça n’aurait été que le grommellement d’un enfant immature qui n’a jamais vécu l’injustice de la cruelle réalité. Dans cet endroit, en toute sécurité, elles seraient vulnérables à mes mots qui manqueraient de profondeur.

Ainsi, je m’étais résolu à dire la seule chose que je pouvais dire dans cette situation.

« Ren veut te voir. Il te cherchait… Si tu es en vie, il sera heureux juste avec cette nouvelle. »

« M-Mais… Je n’ai pas les qualifications pour le voir. Dans le continent de Pana, il est le dernier Explorateur. Il a une âme grande et noble. Juste en le rencontrant, je vais souiller son âme. J’ai peur. Le fait que je puisse encore l’affecter… Non, je n’ai pas le droit de le rencontrer… Je n’ai pas le droit de me tenir à ses côtés, encore moins de lui parler. Je ne peux que continuer de penser à lui, seule…hic. »

« Elle commence à pleurer. »

« Plus le choix maintenant. Arrête d’embêter Leb, s’il te plaît. Nous… voulons que ça cesse aussi. Désolé, même si nous sommes celles qui vous ont invité. »

Zevina et Saure se sentaient elles-aussi mal à l’aise à présent. J’avais échangé un sourire amer avec Loretta avant de me lever. Je ne pensais pas que notre conversation finirait sur une note aussi tragique. Si Ren venait dans la Zone Résidentielle et entendait parler de Lebuik, ou même s’il la rencontrait…

« Sir Lebuik. »

« …Ne m’appelle pas comme ça. Je ne suis plus un chevalier. »

« Si c’était possible que Ren change juste en te rencontrant, ça aurait alors était impossible pour lui de survivre jusqu’à maintenant. Donc ne t’inquiète pas et essaye de le rencontrer… Ta blessure devra être mise à nue un jour. »

C’était vrai, avant qu’elle ne s’infecte et ne prenne de l’ampleur à force d’être laissée de côté. Elle semblait avoir compris mon sous-entendu car ses oreilles s’étaient mises à frémir légèrement. Puis elle avait murmuré d’une voix à peine audible.

« …Est-ce que je peux t’ajouter à ma liste d’ami ? »

« Bien évidemment. »

Juste comme ça, j’avais rencontré le maître de Ren, Lebuik, avant de partir. Bien qu’elle ait abandonné son monde,  elle avait continué son ascension du Donjon en tant qu’Exploratrice. Qu’espérait-elle en retiré à la fin ? Peut-être… aussi longtemps qu’elle continuerait à combattre, aussi longtemps que son monde d’origine tiendrait, elle espérait avoir une chance d’y retourner ?

Bien qu’elle soit inquiète à l’idée de faire changer Ren, mes pensées étaient différentes.

Ren était un guerrier, un guerrier qui allait en avant sans regarder en arrière. Si c’était lui, il serait capable de ranimer la flamme dans le cœur brisé de ce chevalier qu’était Lebuik. Si c’était lui, il serait capable de la changer, elle.

Espérant et m’inquiétant du résultat de leur rencontre, je m’étais rendu compte que je pensais beaucoup à Ren.

Pour votre information, je n’avais pas pu acheter un seul sort de type charge à l’autel des ventes. ‘Merde, rien n’est facile dans ce monde !’

AlthanMaiel
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21 thoughts on “ICDS – Chapitre 107

  1. Bonjour, comme tu nous as dis d’indiquer si parfois il était difficile de comprendre le sens je me suis dis que j’allais te faire part d’un moment ici où j’ai du relire trois quatre fois pour bien comprendre qui parlait et à qui (je suis peut être le seul haha)

    Je cite la partie :
    « Après ça, elle avait fait un salut avec la main tout en se tournant. Le cliquetis de sa belle armure noire était une preuve à mes oreilles qu’elle était une Exploratrice talentueuse des étages supérieures. En plus, dans son dos se trouvait une ridiculement large et longue claymore noire, que j’aurais moi-même eu du mal à porter.

    En voyant ça, j’en étais certain. Ce n’était pas le moment d’être choqué apr le fait que ça soit une femme.

    « Donc tu n’étais pas morte. »

    « … Qui a dit que j’étais morte ? Donne-moi le nom de celui qui a osé dire ça. »

    « Shin… ? »  »

    Dans cette partie on dirait que Lebuik part étant donné qu’elle se tourne et donc voir Shin s’adresser à elle directement n’est pas évident à saisir au premier abord (surtout que la dénommé Lebuik j’ai du mettre un moment à me rappeler du rapport avec Ren. C’est vrai que les indices après coup (la claymore) font qu’on se souvient facilement mais j’ai été légèrement bloqué lors de la première lecture.

    Sinon au top comme d’habitude, je te remercie pour le temps passé et ton dévouement ! Au plaisir de lire la suite !

    1. je confirme, j’ai du moi même relire ce passage plusieurs fois.
      sinon merci pour le travail que tu fais au quotidien 😉

    2. Merci pour ce retour,
      J’ai édité une modification du texte afin que ça soit plus clair. Ceux qui trouvaient ça compliqué à comprendre, vous en pensez-quoi ?

      Après ça, elle avait fait un salut avec la main tout en se tournant. Le cliquetis de sa belle armure noire était une preuve à mes oreilles qu’elle était une Exploratrice talentueuse des étages supérieures. En plus, dans son dos se trouvait une ridiculement large et longue claymore noire, que j’aurais moi-même eu du mal à porter.

      En voyant ça, j’en étais certain. Ce n’était pas le moment d’être choqué par le fait que ça soit une femme. Alors qu’elle commençait à s’éloigner, je lui avais annoncé.

      « Donc tu n’étais pas morte. »

      A mes mots, elle m’avait fait face à nouveau.

      « … Qui a dit que j’étais morte ? Donne-moi le nom de celui qui a osé dire ça. »

  2. Merci pour le chapitre !

    « Sentant des envies meurtrières envers Ren jaillir au fond de moi, j’avais répondu. » Shin n’a pas assez de fille autour de lui en dirait xD

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