TheDAB : Chapitre 2

Un voyage d’un millier de kilomètres commence toujours par un premier pas.

                — Lao Tzeu.

J’ai trop bu. Tu es sûr que tu veux me faire marcher ?

                — Shi Kun.

 


 

Vous l’avez vu, vous l’avez compris. Celui qui a gagné la course à la postérité, c’est lui. Certains vont tirer la gueule, d’autres vont sauter de joie, l’un dans l’autre et quel que soit le résultat, j’aurais moi-même été de toute façon dégoûté de ne pas écrire les deux autres (et c’est essentiellement une question de temps, je vous vois venir, chenapans ! #coupsdebalaiaucul)

Alors je n’ai pas encore vraiment eu l’occasion nécessaire de me pencher sur l’illustration officielle, donc ça restera ainsi pour l’instant (ça, c’est pour ceux qui se seraient posés la question.) Ça changera en temps voulu.

 

Nous voilà donc repartis pour une nouvelle aventure, plus sérieuse, celle-ci n’est pas un test, ce n’est pas un caprice, ce n’est pas une passade. Et ça risque d’être long – c’est de la cultivation, en même temps.

Que dire de plus ? Rien ? Moui, je ne suis pas spécialement adepte des grandes introductions personnelles, je sais que vous préférez lire et je vous comprends.

Je vous libère, allez, bonne lecture !

 


 

Chapitre 1

Je vis dans la rue

 

La lune pendait dans le ciel, sans demander de comptes. Derrière les nuages épars peu désireux de vagabonder plus que de raison, elle offrait une clarté paresseuse à qui voulait bien lever les yeux. Pourtant, sous ces rayons nocturnes un peu trop habituels, personne ne daignait lever la tête, mortels et cultivateurs étant à pied d’égalité sur ce point-là au moins.

Comme si la lune se fichait pas mal des soucis de ce monde, elle continuait à offrir une faible lumière en cette nuit calme.

Au sommet d’une des plus hautes collines de la capitale de la préfecture de Jiaoju était bâti un manoir. Dans cette bâtisse vivait l’une des familles les plus puissantes de la ville et si l’on avait pu se dresser sur la pointe des pieds, tendre l’oreille et rester attentif à ce qu’il se passait au premier étage, par cette fenêtre ouverte et derrière ces rideaux claquant au vent, on aurait pu entendre un cri.

Le cri d’un nouveau-né, suivi de pleurs de joie de deux parents qui l’avaient trop attendu.

« Enfin ! Un fils ! Tu seras notre enfant privilégié, le premier-né, après toutes ces tentatives ! » Une voix d’homme emplie d’émotions lui promettait déjà monts et merveilles.

« Oui, tu es l’héritier de notre famille, nous ferons tout pour toi, désormais ! » La voix de sa mère renchérissait, lui garantissant qu’il allait être celui qui hériterait de la technique millénaire de leur famille et qui lui permettrait un jour de se hisser jusqu’à des sommets inégalés dans le monde de la cultivation.

« Nous sommes riches et puissants, mais nous manquons aujourd’hui d’une figure imposante, ce qui fait que notre famille dépérit peu à peu en perdant son influence. Mais désormais, nous allons tout donner pour toi, mon fils ! Nous avons amassé tant de ressources, rien que pour toi ! Tu seras le plus puissant des experts ! » Son père continuait à expliquer à son fils qu’il allait devenir une figure monumentale dans le monde de la cultivation et représenter leur famille parmi les puissants ; comme si ce petit bout d’humain qui venait de pousser ses premiers cris pouvait parfaitement comprendre tout ce qu’il lui racontait.

Entre rires et pleurs, il était idéal à ce moment de les laisser profiter de leur bonheur et de s’éloigner de ce manoir, sans faire de bruit, prudemment et afin de ne pas déranger cette famille désormais tournée vers l’avenir.

 

********

 

Quinze ans plus tard, dans un bâtiment reculé au sein d’une des sectes de la ville se déroulait un autre genre de spectacle.

Un homme chauve et à la longue barbe grise effectuait des gestes précis des deux mains en attrapant et en jetant des plantes étranges dans un récipient empli d’eau bouillante. Jetant un regard rapide à la vapeur qui émanait de la mixture, il fronça légèrement les sourcils.

« Non, ce n’est pas bon. Encore une fois, je vais échouer. » Il serra les dents et fit claquer sa manche d’un geste irrité, envoyant devant lui une bourrasque d’air qui balaya la vapeur. Puis il s’assit et se mit à réfléchir tandis que les volutes se reformaient rapidement devant ses yeux agacés.

« J’ai déjà échoué plus de cinq mille fois. Pourquoi suis-je incapable de produire l’effet désiré ? Bientôt, j’aurais testé toutes les façons qu’il m’est donné d’imaginer d’infuser cette fameuse plante… » Le vieux Li Hongfu était un spécialiste de l’infusion de thé spirituel. Pourtant, il était bloqué depuis plusieurs années, incapable de créer ce fameux thé spirituel pour lequel il donnait tout ce qu’il avait en son pouvoir.

« Bon sang, pourquoi ? » Ne parvenant pas à comprendre pourquoi chaque tentative se soldait invariablement par le gâchis de la plante dont il se servait comme ingrédient principal, il serra les dents une fois de plus et tapota sa sacoche spirituelle.

« Je n’ai presque plus d’herbe immortelle transcendante… C’est une plante disparue, j’ai donné tout ce que j’avais pour me procurer ce lot, lors de ces fameuses enchères… Maintenant, j’arrive déjà à court. C’est bientôt terminé… » Li Hongfu désirait plus que tout produire ce thé et il savait que le seul moyen qu’il avait d’y parvenir était de se servir d’une propriété spéciale de l’herbe immortelle transcendante, qui lui permettrait de guérir le fils du Seigneur de la ville, victime d’un accident plusieurs années auparavant et dont la base de cultivation avait été irrémédiablement endommagée.

Voyant un échec de plus infuser sous ses yeux impuissants, il fit tout de même un geste de la main et envoya un peu de sa conscience en direction des volutes de fumée afin de les analyser, juste pour être sûr. Comme il l’avait observé de ses yeux, c’était en effet complètement raté, une fois de plus.

Il vérifia une nouvelle fois la quantité d’herbe immortelle transcendante qui lui restait dans sa sacoche spirituelle et constata encore qu’il pouvait maintenant les compter sur les doigts de ses deux mains. Il fronça les sourcils et sembla vieillir d’un seul coup de plusieurs années ; le stress était de plus en plus insupportable.

Li Hongfu n’osa pas entamer une nouvelle infusion immédiatement ; après tout, il ne pouvait plus gaspiller ce précieux ingrédient inutilement. Après plusieurs milliers d’échecs, il n’était plus sûr du tout de pouvoir réussir en une dizaine d’essais à peine.

« Il faut que… que je médite sur tout ce que j’ai fait jusqu’à présent. Peut-être la solution se trouve-t-elle dans un ingrédient incompatible, ou quelque chose que j’ai oublié… » Arrivé à ce point, Li Hongfu alla s’installer jambes croisées dans un coin de la pièce pour se mettre à passer en revue absolument tout ce qu’il avait fait jusqu’à présent lors de ses tentatives, et oublia totalement le dernier essai raté, le laissant s’éteindre et refroidir à son bon vouloir.

Il ouvrit les yeux d’un seul coup au bout de cinq jours. Ils étaient injectés de sang mais on pouvait y lire la lueur d’une victoire certaine.

« Haha ! Je sais ! » Il se leva d’un bond et fit claquer sa manche d’un coup sec, faisant voler vers lui une nouvelle théière spirituelle, dans laquelle il s’empressa de faire bouillir de l’eau d’un simple geste de la main. Il avait répété ce geste des milliers, des dizaines de milliers de fois dans sa vie et il le faisait sans même y penser.

Tapotant sa sacoche spirituelle, il en fit sortir une longue feuille argentée et souple qui irradiait d’une puissance régénératrice sans pareil. Aussitôt, il l’envoya dans la théière spirituelle et fronça les sourcils.

« La température doit être surveillée au dixième de degré près… » Il savait que la première étape de l’infusion était une chose qu’il maîtrisait et il devait y consacrer toute sa concentration afin de ne pas gaspiller l’ingrédient principal. Il s’avança et observa longuement les reflux du liquide qui bouillonnait autant qu’il le pouvait.

Soudain, il leva la main et de sa sacoche spirituelle sortirent une trentaine d’ingrédients variés. Il savait dans quel ordre les placer dans la théière spirituelle et ne se permit aucune erreur. Une goutte de sueur naquit sur son front tant il était concentré dans ce qu’il faisait ; il ne s’en préoccupa pas et donna tout ce qu’il avait pour cette fois réussir cette infusion.

« Le moment critique… Maintenant, si je refroidis le tout d’un seul coup avant d’y mettre ces graines de Tire-Esprit, je devrais pouvoir capturer l’essence de guérison de l’herbe immortelle transcendante et lui donner une propriété permettant de la canaliser sur la région du dantian de celui qui boira ce thé. » Li Hongfu savait qu’il ne pouvait pas se tromper. Il avait déjà suspecté les graines de Tire-Esprit d’agir uniquement à froid mais n’avait pas encore eu l’occasion de mettre son idée à l’essai.

Désormais, il jouait le tout pour le tout dans chaque infusion qu’il réalisait.

Il observa longuement mais sans perdre sa concentration. La vapeur était incolore et il émanait du thé un arôme flagrant. Cette fois, il n’avait pas perdu les propriétés régénératrices de l’herbe ! Elles étaient là, elles n’étaient pas parties en fumée ! Les graines qu’il venait d’utiliser après avoir attendu que le liquide refroidisse jusqu’à un certain point lui avaient permis de sceller ce qu’il voulait dans le thé spirituel.

Les yeux de Li Hongfu se mirent à briller d’anticipation.

« Enfin… Après toutes ces années et ces milliers de tests… Je vais pouvoir terminer cette mission. » Il sentit une larme monter jusqu’à ses yeux mais la contrôla avant qu’elle ne puisse sortir. Après tout, ce n’était pas le moment de faire n’importe quoi : le thé spirituel était sur le point d’être infusé à la perfection.

Ultimement, il sentit que quelque chose se passait. La fumée se teinta d’une légère couleur argentée et Li Hongfei serra les dents.

« Non… Non ! C’est encore un échec ! Fourberie ! » Il ne parvint pas à se contrôler et fit claquer sa manche assez violemment pour provoquer un tourbillon au travers de la pièce. Tout s’envola, théière spirituelle comme volutes de fumées, le tout passa par la fenêtre et disparut comme s’il n’avait jamais rien fait de tout ça. Il lui fallut au moins ça pour éventer un peu de sa frustration et de sa colère.

« Haaa… Haaa… » Reprenant son souffle après un moment de laisser-aller, il retourna méditer pour encore une fois analyser en profondeur ce qui n’allait pas dans sa façon de faire. Après tout, il était sur le bon chemin !

Durant les trois mois qui suivirent, il fit de nombreux tests, s’approchant de plus en plus du but mais ne parvenant finalement pas à obtenir satisfaction. Quelque chose…

« Quelque chose manque ! Ce n’est pas possible ! Tout est parfait ! Il manque un catalyseur essentiel ! » Li Hongfu observa la dernière herbe immortelle transcendante qu’il possédait et n’osa même pas la serrer dans sa main de peur qu’elle ne finisse broyée.

« La dernière… » Dans un murmure, il se rendit compte qu’il ne pouvait pas la gaspiller. Non, il allait devoir attendre de résoudre le problème auquel il faisait face avant d’utiliser sa dernière herbe immortelle avec cent pourcents de chance d’y arriver !

Il s’en retourna méditer jambes croisées en fermant les yeux une fois de plus.

 

**

 

Quinze ans plus tôt, il avait poussé son premier cri. Aujourd’hui, Shi Kun, jeune homme plein d’une fougue et d’une énergie qui ne demandaient qu’à sortir et exploser un jour, faisait apparemment de son mieux pour les en empêcher ; en l’observant, on pouvait aisément comprendre qu’il préférait dormir, observer les nuages et éviter de se fatiguer que travailler, courir et cultiver.

D’ailleurs, la cultivation lui était interdite ; ses parents étaient si fiers et heureux de lui avoir donné naissance qu’ils n’avaient pas immédiatement eu la présence d’esprit de vérifier que tout allait bien chez leur bébé. Ils l’avaient chouchouté pendant des jours et des semaines, des mois bienheureux.

« Lorsque tu auras dix ans, tu pourras commencer à cultiver ! J’attends ce jour avec impatience ! Je brûle de savoir quel sera ton Dao, fils ! » Son père était celui qui l’aimait le plus au monde, héritier d’une puissance et d’un pouvoir qu’il s’imaginait déjà sans limites à l’avenir. Ceci dit… la chute n’en fut que bien plus dure lorsqu’un expert en médecine leur avait annoncé, le jour des cinq ans de Shi Kun, que le dantian de ce dernier était malformé de naissance et ne pourrait jamais lui permettre de cultiver. Aucun traitement n’était connu à ce jour et il fallait faire une croix sur son avenir : il devrait vivre comme un mortel pour toujours.

Le père de Shi Kun avait été si choqué qu’il était rapidement descendu dans une folie démente. Pendant des jours et des semaines, il avait fait appel à des experts de toute la préfecture, allant même jusqu’à envoyer des émissaires dans la préfecture majeure afin de trouver quelqu’un qui pourrait guérir son fils.

Les années étaient passées en un coup de vent. Le jour des huit ans de Shi Kun, il était évident que rien ne pourrait plus le sauver. Désespéré pour son cas mais ayant désormais un autre fils dont il pouvait construire l’avenir, le père de Shi Kun l’avait purement et simplement abandonné après avoir lâchement expliqué qu’un simple mortel serait une honte dans une famille de cultivateurs. Il l’avait jeté à la rue un beau jour, lui ordonnant de ne jamais remettre les pieds sur le domaine ou au manoir.

Sa vie avait été rude à partir de là, elle avait tout bonnement basculé et était devenue un enfer. Il fallait être honnête, Shi Kun était passé à côté d’un destin tragique un nombre incalculable de fois. Adopté par chance par une famille de mortels, lorsque ces derniers avaient fini par apprendre qu’il était le fils de cette famille Shi faisant partie de la noblesse, ils n’avaient pas osé s’attirer leurs foudres et le jetèrent à la rue eux aussi.

Complètement dépité, Shi Kun termina dans un gang local qui s’adonnaient à la menace et au vol, dérobant leur pitance à ceux qui étaient assez malchanceux pour croiser leur route. Il fit avec, et même si cette vie ne lui convenait pas, au moins, il pouvait manger tous les jours – ou presque.

Shi Kun était désormais assis contre un mur, le même mur qu’il connaissait maintenant si bien, au fond de cette ruelle dans laquelle il vivait. Il regardait lascivement les nuages. Celui qui ressemblait à une théière spirituelle était amusant. Celui qui avait la forme d’un dragon semblait être de bon augure.

« Hah. Si j’avais pu imaginer que la vie pouvait être si belle dans la rue… Je mange, je me repose… Et quand voler me pèse sur la conscience, je peux simplement mendier… » Shi Kun leva une grosse gourde emplie d’un alcool qu’il avait volée à un riche marchand un peu plus tôt dans la journée, au péril de sa vie sans doute si on en croyait les cris qu’il avait entendus derrière lui.

« …et je peux boire autant que je le veux ! »

Peut-être avait-il déjà trop bu, au point d’oublier. Peut-être avait-il simplement la flemme de s’en souvenir. Une simple et unique goutte tomba de sa gourde ; il avait déjà tout sifflé.

« Pfff… Déjà vide… ? » Shi Kun n’avait aucune intention de se lever, cela dit. Il pouvait évidemment clairement ressentir les effets de l’alcool dans ses veines et son cerveau et ne voulait pas se mettre à tituber et tomber tous les trois pas.

« Mais j’ai soif… Si soif… Oh ? Ce nuage est étrange, étrange. » Alors qu’il se plaignait, des yeux vitreux levés vers le ciel, il vit le nuage en forme de théière spirituelle s’approcher de lui.

« Mais il fout quoi, ce nuage… ? »

Puis, il réalisa. Ce n’était pas un nuage !

Quelque chose s’était envolé et retombait désormais vers lui, ce n’était absolument pas le nuage qu’il regardait un peu plus tôt ! Il plissa les yeux pour chercher à deviner de quoi il s’agissait, mais… C’était réellement une théière spirituelle !

« …Eh, mais ça m’arrive droit dessus ?! Merde ! » Il allait se faire percuter par un objet inconnu qui arrivait d’un endroit tout aussi improbable que le ciel !

« C’est vraiment une théière spirituelle ?! Bon sang, il pleut des théières spirituelles ?! Demain, j’arrête de boire ! » Tout en se relevant, Shi Kun se persuada qu’il était trop ivre pour que ce qu’il voyait soit réel. Mais dans le doute, il tituba de quelques pas avant de s’affaler à nouveau, bien contre son gré d’ailleurs.

La théière tombée du ciel n’explosa pas en percutant le sol. Elle était apparemment protégée par une formation spirituelle qui avait empêché l’impact de la briser. Si elle était protégée par ce genre de formation de cultivateur, ce qu’elle contenait devait être un thé spirituel hors de prix ! Shi Kun se surprit à sourire en biais en s’imaginant, lui pauvre mendiant, savourer un thé spirituel digne des nobles.

Sans même se préoccuper d’un éventuel propriétaire qui pourrait arriver en catastrophe à la suite de la théière spirituelle, il rampa tant bien que mal jusqu’à la théière qui avait roulé un peu plus loin et s’en empara après tout de même trois essais de ses doigts patauds et aussi ivres que lui.

« Haaa, il n’avait qu’à pas balancer sa théière sur les pauvres mendiants ! …J’espère que ce sera bon. Même si tu n’es qu’un mirage alcoolisé, théière spirituelle, merci à toi ! » Il leva le tout et descendit sans autre forme de procès la totalité du contenu de la théière d’une traite.

« Pouah ! Cul sec ! » Souriant, il se délectait de ce que son palais anesthésié par l’alcool lui permettait de ressentir. « C’était bon. Oui. Un vrai thé de roi… Sans doute ? »

Il s’apprêtait à aller s’affaler à nouveau contre son mur fétiche, au fond de cette ruelle qu’il avait déclarée lui appartenir, lorsque…

« …Eh ? »

…peu à peu, des tremblements et des coups de tonnerre se mirent à résonner à l’intérieur de son corps. Tandis que le thé réagissait avec l’alcool dont Shi Kun était imbibé, une étrange lueur argentée commença à se répandre jusqu’à son dantian.

Raka
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TheDAB : Chapitre 2

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17 thoughts on “TheDAB : Chapitre 1

  1. Merci pour la découverte…
    Franchement l’ingrédient manquant…
    De l’alcool…
    Fallait y penser.
    J’attend la suite avec impatience. 

    Encore merci

  2. Bon ben le vainqueur de ce concours est ce LN. Plutôt déçu que ce ne soit pas celui que j’ai voté à savoir Le Manoir. Après, vu comment ça commence, ça envoie déjà du lourd. Ne boudons donc pas notre plaisir ^^.

  3. J’ai vu le mot DAB et je me suis dit « wut ?!? Je n’ai vu aucune annonce de la création d’un LN de la part de traducteurs du site mais non c’est juste l’acronyme du nouveau LN du site ^^

  4. salut, désolé si j’ai l’air de me plaindre mais pourquoi il y a une nouvelle série alors que les anciennes n’avancent pas à part L1S et DMS ?

    1. Aaaah…
      Je ne suis pas responsable des séries tenues par les autres traducteurs.

      Je ne m’occupe que des miennes. Bon, ldo c’est un cas un peu particulier, il avancera le moment venu.

    2. Parce que chaque traducteur / Auteur (pour Raka) a ses propres séries. L1S et traduit par Raka et DMS est écrit par Raka, il vient de terminer MWLU et écrit une nouvelle série à la place pour notre plus grand bonheur.

      Pour les autres séries et bien il faut lire les news car pour notre pauvre Wazouille ça va pas fort et Althan je crois est en cure pour se remettre du mariage auquel il a participé. ça va revenir mais il faut leur laisser du temps (surtout que la trad est gratuite et qu’ils font ça sur leur temps libre)

      1. Althan a fait un burnout.
        Le toubib lui a imposé du repos physique et mental 🙂 

        Laissons le se reposer. 

        Waz Ben… C’est waz, il est poursuivi par sa malchance, aux dernières nouvelles il etzit tombé dans les escaliers il me semble. 

        Il reviendra également le moment venu. 

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