BTTH Chapitre 248
BTTH Chapitre 250

Bonsoir tout le monde ! Voici le dernier BTTH de la semaine, et UN LONG BERDEL DE MOLDE, histoire de bien commencer le week-end 😉

Bonne lecture à tous 〈3

 

 

Chapitre 249 – SPOILER :p

 

Xiao Yan passa à travers un tunnel relativement long et sombre sous les murs de la ville avant que la lumière perçante du jour ne lui fasse plisser les yeux.

Il s’y habitua rapidement, et finit par écarquiller les yeux quand l’énorme ville apparut soudainement à son regard, tandis que de nombreux bruits et discussions vinrent résonner à ses oreilles.

Il leva la tête et observa les nombreux magasins à l’air luxueux peuplant les rues, ainsi que la foule qui y déambulait. Il ne put s’empêcher de s’esbaudir devant la taille de la ville, qui était vraiment digne d’être la plus grosse de toutes celles de la région Est de l’empire. Il ne pouvait comparer un tel luxe et le nombre d’habitants qu’avec la ville de Rocnoir qu’il avait visitée auparavant.

Le jeune homme se frotta les oreilles, encore douloureuses sous l’arrivée soudaine de la rumeur. Une fatigue difficile à dissimuler apparut dans son regard ; il se frotta les tempes, tourna la tête vers Hai Bodong et lui dit : « Et si nous cherchions un endroit où nous reposer et chercher des informations sur les Mo ? Nous avons volé à toute vitesse pendant près de deux jours. »

« Ça me va, ça n’est pas plus mal. » répondit le vieillard en hochant légèrement la tête. Sa capacité à supporter la fatigue avait beau être devenue largement supérieure à celle des gens normaux une fois devenu un Dou Huang, ces quasi deux jours de vols incessants avaient largement épuisé son Dou Qi. Il n’allait donc naturellement pas refuser de se reposer un moment.

Les boutiques sur la route, si somptueuses qu’elles pouvaient étourdir les passants, laissèrent l’adolescent juste un peu surpris. Une fois arrivé au bout de la rue, il fit claquer ses lèvres en faisant ‘tsk tsk’. Il rit doucement : « J’ai un peu ouvert l’œil, et j’ai noté qu’il y avait cent trois échoppes au total. Soixante-quatorze portent une plaque gravée de l’idéogramme « Mo » au-dessus de leur entrée. On dirait que les gens avaient raison de dire que le Clan Mo est le seigneur de cette ville. »

Le vieillard balaya les environs du regard et hocha la tête : « J’avoue qu’ils se sont effectivement très bien débrouillés. La dernière fois que je suis venu, il y avait encore pas mal de factions qui pouvaient leur tenir tête. »

Son jeune compagnon se frotta le menton et demanda en fronçant les sourcils : « Est-ce que la Secte des Nuages Brumeux est vraiment aussi impressionnante que ça, pour qu’un clan auparavant quelconque puisse se développer autant en dépendant d’eux ? »

Le visage du vieil homme se tinta d’un sérieux qu’on voyait rarement chez lui, et il dit d’un ton morne : « Leur force visible n’est pas vraiment impressionnante… Par contre leur force véritable, celle qui est invisible, est absolument terrifiante. Il faut que tu saches que de nombreuses personnes puissantes a quitté la secte et se sont éparpillées aux quatre coins de l’Empire Jia Ma. Certaines se sont même installées hors de l’empire. Cela dit, la plupart des factions que ces gens ont créées sont liées d’une manière ou l’autre à la secte. Tu peux les considérer comme des branches de cette dernière… Imagine un moment ce qui arriverait si tous ces gens puissants étaient rassemblés par la Secte des Nuages Brumeux un jour, ou les factions qu’ils ont fondées… Ne serait-ce pas une entité dantesque ? Si ce devait arriver, je crains que même la famille royale de l’empire et son vieil ancêtre qui monte la garde ne doivent s’écarter devant eux. »

L’alchimiste soupira doucement à cet exposé et murmura : « C’est effectivement assez terrifiant. »

« J’ignore quelle querelle tu peux avoir avec la Secte des Nuages Brumeux, mais maintenant qu’on peut te considérer comme une de mes connaissances, laisse-moi te donner un bon conseil : si tu ne peux pas faire autrement que de les provoquer, essaie de le faire le moins possible. Il ne faut pas secouer un nid de guêpes au pif. » Le Dou Huang réfléchit un moment avant de se replonger dans le silence.

Xiao Yan fit doucement craquer sa nuque et épousseta légèrement ses manches. Il se remit petit à petit en marche un long moment plus tard. Il tourna la tête quelque temps après, sourit et dit : « Ce que tu as dit est peut-être raisonnable, mais je dois faire certaines choses alors je ne changerai pas, même si je dois finir par poignarder le nid de guêpes ! »

Hai Bodong ne put s’empêcher de secouer la tête d’un air désarmé à cette réponse. Il ignorait pourquoi ce jeune homme au potentiel sans limites insistait avec entêtement à provoquer la Secte des Nuages Brumeux. Ne savait-il pas que c’était un peu stupide ?

« De plus, s’ils ont vraiment l’intention d’agir comme des guêpes plus tard et de venir à tout bout de champ me chercher des noises, je leur ferai savoir que moi, Xiao Yan, ne suis pas une victime. S’ils osent venir à moi, j’oserai les tuer. Je suis encore jeune et j’ai beaucoup de temps à perdre. Je pourrais ne pas être capable de renverser cette secte avec la force d’un Dou Huang. Dans ce cas, je travaillerai dur pour devenir un Dou Zong, et si ça reste insuffisant, alors un Dou Sheng… voire même un Dou Di ! » Ces paroles prononcées à voix basse firent légèrement ralentir les pas du vieillard. Il observa d’un air stupéfait le beau visage délicat aux lèvres légèrement pincées, qui paraissait être extrêmement obstiné et féroce. Un long moment plus tard, une pensée le fit sourire amèrement d’un air impuissant : Peut-être que la Secte des Nuages Brumeux a vraiment provoqué une guêpe un peu tarée…

Le jeune homme lui demanda soudainement d’un air incertain : « Oh, j’oubliais : qui est le vieil ancêtre de l’Empire Jia Ma dont tu as parlé, Vieil Hai ? »

« C’est un vieux monstre. Tu pourras le rencontrer le jour où tu auras l’occasion de te rendre à la capitale. Ce Vieux Machin est le protecteur de la famille royale de l’empire, et sa puissance est absolument terrifiante. Je me demande comment sa force a évolué depuis le temps que je ne l’ai pas vu… ? » Le vieil homme caressa sa barbe, d’un air relativement apeuré. Il finit par rire un long moment plus tard : « Il s’est également battu avec la Reine Médusa, à l’époque. Cependant, il s’en est mieux sorti que moi et leur confrontation a fini en match nul. Il est également parvenu à se retirer sans blessures sérieuses. »

Son camarade fut choqué de l’apprendre. La Reine était une personne puissante au pinacle des Dou Huangs. Ce Vieux Monstre était probablement au moins un Dou Huang 6 étoiles ou plus à l’époque, pour parvenir à se battre contre elle sans perdre pour autant.

Il s’exclama et secoua la tête. Il ralentit ses pas jusqu’à s’arrêter lentement et balaya du regard une auberge luxueuse sur le bord de l’avenue du nom de « Jardin de Mo Suo. » Il se tourna vers son vieux compagnon et demanda : « On s’arrête ici pour le moment ? »

Celui-ci hocha la tête : « Ça me va. »

Ils entrèrent tous les deux et en parcoururent l’intérieur du regard. Ils furent un peu surpris de voir que pas mal de gens étaient assis dans la salle commune. Après avoir tendu l’oreille pour écouter les conversations, le Dou Shi apprit que ces gens avaient accouru à Yan depuis d’autres villes pour se préparer à célébrer l’anniversaire du Premier Doyen du Clan Mo.

Il secoua légèrement la tête et se dirigea vers le comptoir. Quand la domestique assez jolie apprit qu’ils voulaient deux chambres, elle les jaugea du regard et dit adorablement : « Puis-je vous demander, monsieur, si vous avez une carte d’invitation du Clan Mo ? »

« Une carte d’invitation ? » Xiao Yan en resta perplexe. Il fronça les sourcils et secoua la tête. « Non, nous en avons pas. Il faut une de ces cartes pour venir à Yan ? »

« Je suis désolée monsieur, mais toutes les auberges de la ville ont été réservées par le clan pour quelques jours. Elles n’accepteront que leurs invités. » répondit la domestique avec un sourire extrêmement courtois.

Il rit doucement, puis il joua avec une décoration sur le comptoir et dit paresseusement : « Tche, on dirait que ce clan est plutôt impérieux non ? »

L’expression de la jeune femme se raidit à ces mots. C’était la première fois qu’elle entendait quelqu’un osant médire ouvertement le Clan Mo à Yan. Elle ne put alors sourire, mais face à un client, elle ne pouvait pas non plus faire une tête de dix pieds de long. Elle avait l’air terriblement embarrassée.

L’adolescent regarda l’embarras de la domestique et éprouva un ennui certain. Il se retourna dans l’intention de partir, mais une ombre noire oscilla brutalement jusque-là et s’écrasa sur le comptoir dans un ‘Pa !’

Le rire glacial d’une femme résonna rapidement à sa gauche. « D’où tu sors, le péquenaud ? Comment oses-tu réprouver l’autorité de mon Clan Mo dans la ville de Yan ? »

De l’impatience traversa le regard du Dou Shi en entendant cette voix qui appartenait évidemment à la fille irrespectueuse de tout à l’heure. Il se retourna et observa le groupe d’individus près de là.

La bande qui approchait était clairement assez jeune. Leur chef portait une robe rouge moulante, et sa silhouette avait tout ce qu’il fallait où il fallait et était tout à fait attirante. Sa jupe moulante descendant sur ses cuisses exposait ses longues jambes blanches à la vue de tous. De nombreux hommes parcouraient occasionnellement du regard cette paire de jambes magnifiques, le regard plein de désir.

Le jeune alchimiste reconnut cette demoiselle vêtue de rouge tenant un long fouet. Elle était la seconde jeune maîtresse du Clan Mo qui était entrée dans la ville au galop plus tôt.

Il jeta un coup d’œil indifférent à cette fille arrogante avant de perdre tout intérêt. Il secoua la tête, se retourna et se dirigea vers la sortie.

Les sourcils de la jeune femme en rouge, devant l’attitude indifférence de son interlocuteur, se levèrent immédiatement à la verticale. Elle n’en avait pas l’habitude, elle qui avait toujours été traitée comme un trésor. « Tu cherches à mourir ou quoi, gamin ! » Elle fit claquer son fouet, qui se transforma en une ombre noire qui se jeta violemment vers sa cible.

Une flamme cyan apparut aussi soudainement qu’étrangement à la surface du corps de Xiao Yan quand le fouet allait le frapper. Non seulement sa haute température incinéra le long fouet à néant, mais en plus une petite flammèche bondit soudainement vers la demoiselle.

La température de la pièce augmenta soudainement à l’apparition de la flamme.

Nombre de gens présents dans la salle étaient bien informés, et crièrent involontairement sous l’effarement : « Une Flamme Exceptionnelle ? »

La minuscule flammèche cyan fonça droit vers la tête de la fille à l’horreur générale. Devait-elle être touchée que même si elle ne perdait pas la vie, son beau visage serait détruit à jamais.

Ses beaux yeux furent envahis par le choc et la terreur l’envahit quand elle observa la flamme grossir de plus en plus à son regard. Elle voulut esquiver, mais comment pourrait-elle être capable de l’éviter avec sa force ? Elle ne pouvait, à ce moment, que rester bêtement immobile et laisser la flammèche cyan s’approcher d’elle.

Alors qu’elle allait la toucher, une ombre arriva abruptement depuis l’extérieur, attrapa la jeune femme et bondit sur le côté en esquivant la flamme.

Celle-ci rata donc son attaque et à défaut de frapper sa cible, elle se heurta à une statue verte qui se trouvait derrière l’endroit où se tenait cette dernière. La sculpture solide se changea immédiatement en gouttes de roche en fusion sous le regard de l’assemblée.

Tous les spectateurs prirent une grande inspiration en voyant à quel point cette flammèche était terrifiante. Leurs regards stupéfaits se tournèrent sur-le-champ vers le jeune homme en noir au comptoir qui avait l’air indifférent.

Un homme entre deux âges surgit précipitamment d’un coin de la salle : « Arrête, s’il te plaît Petit Frère ! » Derrière lui se trouvait la belle demoiselle au visage livide. Il était évident que cet homme l’avait sauvée.

L’adolescent observa ce dernier, qui se tenait à une distance respectable et refusait de faire un pas de plus. Il pencha légèrement la tête et sortit lentement un doigt de sous sa robe noire au bout duquel une flammèche cyan vint sautiller espièglement.

L’homme d’âge moyen fixa cette flammèche en sentant sa nuque le picoter, et joignit ses mains pour demander courtoisement : « Ling Lin s’est montrée trop impulsive à l’instant, Petit Frère. Peux-tu s’il te plaît, au nom du Clan Mo, ne pas t’abaisser à son niveau ? »

« Tchi, le Clan Mo ? » Le jeune alchimiste sourit légèrement en coin. Il jeta un regard à son interlocuteur qui avait une force de Dou Shi et rit froidement : « Disciplinez correctement les membres de votre clan. Ne vous imaginez pas pouvoir faire comme bon vous semble simplement grâce au soutien de la Secte des Nuages Brumeux. Vous ne savez jamais quand vous pourriez offenser quelqu’un bien au-delà de votre portée. Même la Secte des Nuages Brumeux pourrait ne pas pouvoir vous protéger… »

Le rire glacial du jeune homme se répercuta dans toute la salle. Tout l’auditoire fut secoué par ces paroles quelque peu présomptueuses. Les gens jetèrent un œil à la flamme cyan terrifiante sur son doigt, puis ils regardèrent le visage indifférent de Hai Bodong, qui se tenait silencieusement derrière son camarade. Tous eurent la sagesse de rester muets, car ils refusaient absolument de croire qu’un jeune homme capable de posséder une flamme pareille ne serait pas accompagné par quelqu’un de puissant. Si c’était bien le cas, alors ce gamin n’avait pas tenu des propos présomptueux, au final…

L’homme d’âge moyen n’était clairement pas idiot et par conséquent, il ne s’énerva pas sur-le-champ sous cette provocation. Au lieu de ça, il se mit même à rire de concert : « Ké ké, tu as tout à fait raison Petit Frère. Une fois de retour au clan, je ne manquerai pas de demander au Chef de punir Ling Lin correctement ! »

Après lui avoir jeté un regard, il tourna le sien vers la jolie fille en rouge. Celle-là même qui s’était montrée arrogante un instant auparavant encore cacha immédiatement son visage pâle dans le dos du Dou Shi entre deux âges comme il avait senti son regard sur elle. Elle paraissait craindre que cette terrifiante flammèche cyan ne l’attaque à nouveau par surprise ; son attitude craintive n’avait plus la moindre arrogance ou péremption.

Xiao Yan retira lentement sa main dans sa robe et alla se retourner quand soudain, l’homme d’âge moyen fit précipitamment un pas en avant et dit affablement : « Chers messieurs, toutes les auberges ont été réservées pour quelques jours par notre Clan Mo. Par conséquent, vous ne pourriez trouver nulle part où vous reposez même en faisant le tour de la ville. Ké ké, que diriez-vous si je demandais à cette auberge-ci de libérer ses deux plus luxueuses chambres en guise d’excuses ? Accepterez-vous les excuses de notre Clan ? »

Le jeune homme s’arrêta et tourna la tête vers cet homme vraiment rusé. Il échangea un regard avec Hai Bodong, se retourna et se dirigea vers les escaliers sans la moindre formule de politesse. Il dit doucement : « Ouvrez le chemin. »

Le Dou Shi entre deux âges resta perplexe devant leur attitude décisive, mais se reprit aussitôt. Il calma la demoiselle en rouge et rattrapa précipitamment les deux hommes.

L’atmosphère tendue de la salle se détendit peu à peu en voyant disparaître l’adolescent dans les escaliers, et tous les gens présents se mirent à discuter des éventuelles origines de ces deux mystérieux individus.

La jeune femme en rouge retrouva un peu de couleurs une fois que l’alchimiste disparut. Elle essuya du revers de la main les larmes qui perlaient à ses beaux yeux ; c’était la première fois qu’elle avait jamais été traitée de la sorte.

Les jeunes hommes derrière elle sortirent de la stupeur dans laquelle les évènements les avaient plongés et se mirent précipitamment à la réconforter.

La demoiselle était peut-être capricieuse, mais elle était tout de même d’une famille proéminente, aussi parvint-elle à se calmer après quelque temps. Elle était à présent clairement moins hautaine et même si son sourire était quelque peu forcé, ça n’en atténuait pas moins sa beauté. Par conséquent, les hommes l’entourant la flatteraient toujours grandement, quoi qu’il arrive.

Les types qui, plus tôt, étaient paralysés de terreur montraient avec enthousiasme à présent leur courage et leur détermination devant la beauté.

« Ce type juste avant a vraiment été abominable, Ling Lin. Rassure-toi, je trouverai définitivement des hommes demain qui t’aideront à te venger. »

Tandis que ces adolescents se donnaient des airs de bravoure devant la demoiselle, un rire clair au timbre de cloche fantomatique éclata hors de l’auberge. « Ké ké, mais pourquoi pleures-tu comme ça, petite sœur Ling Lin ? Ne me dis pas que quelqu’un à Yan a osé t’embêter ? »

Ce petit rire éthéré résonna dans la salle et fit trembler le cœur de l’assistance. De nombreux regards se tournèrent immédiatement vers l’entrée.

Peu après que ce rire féminin se soit tut, une jeune femme vêtue d’une robe d’un blanc lunaire apparut au regard de l’assemblée.

Tous les hommes présents retinrent leur respiration en voyant cette demoiselle qui entrait élégamment. Leurs regards jusque-là curieux s’emplirent immédiatement de stupéfaction.

Elle portait une longue robe moulante aux manches longues, et une ceinture argentée embrassait parfaitement sa taille étroite.

Ses mains étaient extrêmement douces, sa peau laiteuse et ses sourcils révélaient une élégance surnaturelle en accompagnant son sourire taquin. Ce sourire paraissait tendre, mais l’indifférence qu’il dégageait prévenait quiconque de s’en approcher.

Une paire de boucles d’oreilles en jade pendaient aux lobes délicats de l’adolescente, et les tintements qu’ils émettaient en se balançant sous ses mouvements semblaient venir tout droit d’une source montagneuse.

Elle avait une beauté et un tempérament avec lesquelles la demoiselle en rouge ne pouvait rivaliser, mais leurs deux présences inspiraient une certaine humilité à tous les gens présents.

De nombreux regards enfiévrés se tournèrent vers le corps parfait et exquis de la nouvelle arrivante. Cependant, quand leurs regards furent soudainement attirés vers la longue épée violette en forme de nuage dessinée sur ses manches, leur ardeur fut refroidie comme sous une douche glacée. Ils détournèrent leurs regards, alors tintés d’une légère révérence.

La belle fille en rouge fut abasourdie en voyant la femme souriant à l’air noble qui passait la porte principale. Elle resta choquée un moment, puis bondit en toute hâte vers elle en poussant un rire heureux plein d’amour : « Pourquoi es-tu venue, Sœur Nalan ? »

 

Chapitre 249 – Nalan !

 

 

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12 thoughts on “BTTH Chapitre 249

  1. Merci pour le chapitre. Légère petite erreur un peu plus haut, c’est le dernier ‘BTTH’ de la semaine et non ‘DNC’ ^^

      1. Nan pas du tout. Après tout, d’après le prince Tie Butian, le ministre chu est vraiment quelqu’un d’honnête et d’intègre qui pense toujours aux autres. Un vrai héros à la droiture sans pareille… ^^

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