BTTH Chapitre 274 2nd partie

BTTH Chapitre 274 1ère partie
BTTH Chapitre 275

AABonsoir ! Voici le BTTH bonus de ce soir, mais je tiens d’abord à m’excuser. Bah oui. Le chapitre 274, en VA, faisait 4278 mots, ce qui vous l’avouerez fait long. Je me suis donc arrêté, pour la première partie, à 2100.

Logique que c’était la moitié du montant de la VA, non ? EH BIEN NON, AH AH ! J’ai oublié de prendre en compte le fait que souvent, en traduisant, on réduit le nombre global de mots en vous supprimant les répétitions, changeant les formulations, tout ça pour rendre la lecture plus agréable.

Du coup bah, cette seconde partie fait « qu’un peu de plus de 1500 mots. J’ai très mal arrangé ma coupure, quoi.

Du coup Axel et Alain Connu, mes chers mécènes que je remercie du fond du coeur pour votre générosité, si vous voulez me tapez, vous avez le droit !

Bonne lecture à tous et à tout à l’heure pour le DNC !

 

 

 

Chapitre 274 – Salle de Ventes Miteer, un vieil ami 2nd partie

 

 

Devant l’air interloqué de son jeune camarade, Hai Bodong sourit et continua ses explications : « Le niveau d’enchères Di ouvre rarement également, et le Xuan est plus courant. Le Huang, lui, est ouvert tous les jours. » Clairement, c’était auparavant un habitué des lieux au vu de son explication claire et logique.

Ce genre de division par niveau fit sourire Xiao Yan, qui dit avec intérêt : « C’est assez intéressant… »

« Si tu veux pouvoir entrer dans les niveaux Tian, Di et Xuan, tu vas devoir prouver ton capital. En temps normal, tu auras besoin d’avoir au moins un million de pièces d’or pour pouvoir entrer dans le niveau Xuan, par exemple. » Le vieillard sembla se souvenir tout à coup de quelque chose et demanda : « Au fait, tu as combien sur toi actuellement ? »

Le jeune homme se frotta le visage et sourit avec embarras : « Hmm, on dirait que je n’ai que deux à trois cents milles, là… »

« … Bon ben, tu ne vas n’avoir que le droit d’entrer au niveau Huang… » Le Vieil Hai roula des yeux, car il s’attendait à ce qu’un alchimiste de son rang ait au moins plusieurs millions sur lui.

L’adolescent ne put que hausser les épaules d’un air impuissant à cette réponse. Il allait lui répondre quand tout à coup, son regard dévia vers un coin de la salle.

Une certaine agitation avait envahi ce coin jusqu’alors tranquille, où se trouvait une porte utilisée par les huiles du Clan Miteer. Au vu de ce remue-ménage soudain, une ponte du clan devait certainement en être sortie.

Il cligna des yeux d’un air incertain, en observant la foule agitée. Il pencha légèrement la tête, et put entrapercevoir au milieu des hommes excités ressemblant à des loups en rûte une silhouette délicate rouge un peu floue.

Il baissa les yeux et put voir une paire de longues bottes rouges, dont les talents légèrement pointus émettaient sur la surface claire et brillante de chalcantite des successions de ‘click-clack’, ‘click-clack’ clairs et doux ressemblant à des notes de musique.

« Voilà de belles jambes… » se dit le Dou Shi en son for intérieur. Cela étant, grâce à sa force mentale, il n’en était pas non plus au point de les fixer d’un air désireux comme certains hommes présents dans la grande salle. Son visage était ceint d’un sourire calme, alors que de l’admiration flottait dans son regard. Il leva les yeux petit à petit, et parvint enfin trouver un trou dans la foule. Il vit alors un visage enchanteur et bouleversant. La surprise envahit aussitôt son visage graduellement tandis qu’il marmonna entre ses dents : « Pourquoi est-elle là ? »

Alors que les bruits de pas cristallins se rapprochaient, la belle femme entourée par la foule parvint enfin à lentement s’en extraire.

Elle portait une robe moulante d’une couleur rouge vif. Cette robe élégante était somptueuse et manifestement produite avec soin ; elle parvenait à souligner précisément et avec perfection ses formes magnifiques. Elle donnait sur des jambes blanches comme neige éblouissantes, qui faisait naître une passion dévorante dans le coeur des mâles alentours. Sa taille extrêmement étroite, qu’on pourrait enlacer avec un seul bras, était nettement soulignée par un faisceau de clochettes argentées.

Cette femme provoquait une fascination délicieuse où qu’on la regarde. On se retrouvait, sous le regard de ses yeux en amande, à prendre inconsciemment l’initiative de sortir toutes les pièces d’or qu’on pouvait avoir en poche, pour acheter un objet hors de prix dont on n’avait même pas besoin. (NdT Elle ferait donc une très bonne vendeuse de télé-achats !)

Elle était une créature époustouflante pour bien des hommes. Cette petite chatte suintant la séduction de tout son être avait capturé bien des cours…

La demoiselle à la robe rouge élégante traversa la foule pour rejoindre le centre de la salle à pas élégants. Le sourire superficiel qu’elle arborait sur son beau visage semblait être plus qu’un simple sourire. Son corps voluptueux au charme tout adulte était aussi appétissant qu’une pêche très mûre dont le jus s’échappait, ce qui fit que les hommes les plus faibles d’esprits sentirent leurs bas-ventres se raidir quelque peu. Aussitôt, plusieurs personnes dans l’assemblée reculèrent doucement leur bassin d’un air embarrassé… (NdT Bah bravo)

La beauté enchanteresse avait l’air de jouir d’une grande popularité, car nombre de personnes la saluèrent et lui sourirent répétitivement sur son passage. Peut-être que certaines de ces attentions étaient dues à sa beauté, mais la majorité d’entre elles faisaient clairement référence à son statut.

La jeune femme merveilleusement habillée s’occupa avec calme et élégance des clients environnants, tandis que son sourire superficiel repoussait les pénibles qui avaient l’intention de s’approcher d’elle pour la draguer. Sa paire d’yeux en amande, qu’on aurait cru brassés dans de l’eau printanière, (NdT référence à leur limpidité) parcourut la salle et tous les hommes qui croisèrent son regard à l’attraction étonnante ne purent s’empêcher de déglutir involontairement. Une flamme ardente naquit et grandit au plus profond de leurs yeux. Selon toute vraisemblance, une fois rentré chez eux, ils allaient imaginer leurs épouses ou leurs servantes sous les traits de cette femme envoûtante et suintant la séduction de tout son être.

Elle finit de balayer lentement a salle de ses beaux yeux amandes, et se raidit au moment où elle allait rétracter son regard. Elle s’arrêta même aussitôt d’avancer. Elle fixa, d’un air absent, un jeune homme vêtu de noir portant une énorme règle de la même couleur qui se tenait près d’un comptoir en cristal, pas loin de là. Ses beaux yeux furent immédiatement envahis par l’incrédulité.

Comme elle était le centre de l’attention de la salle tout entière, son comportement soudain fit que toute l’assemblée suivit son regard, et tous se retrouvèrent également ébahis en voyant ce bel adolescent délicat. Ils éprouvèrent même, sans s’en rendre compte, une certaine jalousie à son égard en voyant une expression extrêmement rare et singulière sur le beau visage de la demoiselle en rouge.

Xiao Yan ignora tous ces regards qui se plantaient en lui comme autant de poignards, et sourit à la jeune femme qui le fixait d’un air absent. Son sourire était aussi doux, et ses pupilles noires aussi cristallines qu’ils ne l’avaient été il y a un an et demi de ça.

Face à ce sourire aussi limpide qu’auparavant, elle put vraiment croire que ce nouveau Xiao Yan, qui paraissait être plus mature, était bel et bien le gamin qui se donnait des airs mystérieux.

La belle succube vêtue de rouge approcha lentement de lui en faisant légèrement claquer ses talons et un moment plus tard, elle finit par s’arrêter devant lui. Elle réalisa, en étant aussi près de lui, que le garçon qui lui arrivait au niveau de la poitrine était devenu aussi grand qu’elle.

Tandis qu’elle observait le beau jeune homme délicat en souriant, elle prit une petite inspiration. Sa poitrine volumineuse saillit sous la robe moulante de par son ampleur de façon extrêmement attirante. Elle leva son joli visage et le salua avec un autre sourire aux lèvres : « Xiao Yan di-di (NdT di-die désigne un frère plus jeune ou comme là, un homme plus jeune dont une femme est proche), tu as vraiment beaucoup changé pendant ces trois années où je ne t’ai pas vu. J’ai même failli ne pas te reconnaître. »

L’adolescent inspira doucement la douce odeur féminine captivante qu’elle dégageait. Il se souvint tout à coup de la scène sordide qu’il avait vue, la première fois où il était entré dans la salle des ventes, avec ce groupe d’hommes assis au dernier rang qui la fixaient discrètement. Il la taquina en riant doucement : « Ta beauté féérique est également devenue plus bouleversante encore, Ya Fei-jie (NdT Jie signifie grande-soeur. Facile de ce souvenir Jie = Onee-san). Quel dommage qu’en quittant notre bonne ville de Wutan, tu aies brisé le cœur de Dieu sait combien de jeunes hommes. »

La belle jeune femme vêtue d’une robe magnifique devant lui était étonnant la Commissaire-Priseur en Chef de la branche de Wutan des Salles de Ventes Miteer, Ya Fei.

Ya Fei observa les grands yeux noirs du Dou Shi, qui étaient aussi clairs qu’ils ne l’avaient été il y a trois ans de ça, et remarqua qu’elle les aimait beaucoup. Ça la changeait des regards concupiscents qu’elle s’est habituée à constamment subir. Elle pinça ses lèvres rouges et lisses, glissa ses mains dans son dos et se pencha légèrement devant lui, avant de lui dire en souriant :  « J’ai accompli la mission que mon clan m’avait confiée là-bas, aussi est-il normal que je sois revenue à la capitale pour prendre d’autres responsabilités. C’est d’ailleurs grâce à toi que j’ai pu rentrer ici, mais je n’ai pas eu la chance de pouvoir te remercier puisque tu n’es pas rentré à Wutan depuis toutes ces années. Maintenant que je t’ai retrouvé, je vais pouvoir te remercier convenablement. »

Ya Fei, en se penchant courtoisement pour lui exprimer sa gratitude, fit se relâcher un peu la robe et aussitôt, un décolleté pigeonnant révélant des monts blancs comme neige qui apparurent sous le regard du jeune alchimiste. Une certaine personne se mit graduellement à rougir sur-le-champ.

 

Wazouille
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9 thoughts on “BTTH Chapitre 274 2nd partie

  1. Ah c’est sur que c’est pas TDG, l’auteur de BTTH est beaucoup plus régulier et respectueux envers le lecteur. Toujours un minimum de 2000 mots par chapitre, pour TDG je me souviens d’un chapitre à moins de 900 mots…

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