BTTH Chapitre 304
BTTH Chapitre 305

Pfiou, et voilà le fameux chapitre bonus que vous avez attendu trop longtemps pour avoir, surtout notre James national que je remercie énormément pour sa générosité et sa patience ^^

Bonne lecture à vous, à tout à l’heure peut-être pour un autre chapitre (s’il ne fait pas encore 6k…) et encore merci à James !

Chapitre 304 par 2

Xiao Yan n’osa pas prendre le risque d’offenser cette personne à la réputation supérieure à celle de Gu He dans le monde de l’alchimie de l’Empire Jia Ma. Il s’inclina, et sourit en répondant : « Je suis bien Yan Xiao, Président Fa Ma. »

Fa Ma répondit ni lentement, ni précipitamment : « Haha, la plupart des héros font partie des jeunes gens. Tu peux déjà raffiner autant de fois la Feuille Spirituelle de Fer Noir ! Je me souviens qu’à l’époque, Gu He n’en était pas capable… » Bien que sa voix était un peu rauque, elle exerçait un tel magnétisme que personne n’osait l’interrompre.

Le jeune homme sourit calmement, mais ne dit rien de plus.

Le vieillard sourit et fixa ce visage tranquille d’un regard lourd de sens un moment. Sa cible s’inquiéta abruptement en sentant son regard : Ne… Ne me dites pas qu’il a percé mon déguisement à jour ?

Tandis qu’il s’imaginait des choses, le président sentit son malaise et dit aussitôt à voix basse en souriant : « Tant que tu ne prends pas l’association pour cible, mon jeune ami, je ne me montrerai pas indiscret… »

L’adolescent soupira secrètement de soulagement tandis que le rire du vieil homme laissa les doyens de l’association perplexe. Il lui adressa un regard reconnaissant

« Tché, on dirait que plus tu vis longtemps, plus tu deviens bavard vieux machin qui refuse de crever… » Le retentissement de ce rire glacial changea drastiquement l’expression de ceux occupant les sièges d’hôtes de marque. Celle de Qie Mier s’assombrit tandis qu’il gronda à voix basse : « Qui est là ? »

Le Dou Shi soupira avec impuissance dans son for intérieur en entendant ce rire. Qui pouvait être aussi grossier en parlant que Hai Bodong, qui était derrière lui ?

Ce rire glacial laissa également Fa Ma perplexe, mais très rapidement après, il tourna son regard vers la personne derrière le jeune prodige et marmonna : « Ce Qi… Il est glacé comme de la banquise… Ne me dis pas que… Vieux Machin de Glace, c’est toi ? » Une fois cela dit, il eut l’air plus choqué encore.

La silhouette humaine derrière le gamin avança lentement sous les regards abasourdis d’Ao Tuo, de Xue Mei et des autres, puis elle alla directement s’asseoir à côté du Président et rit : « Hé hé, je ne pensais que tu te souviendrais de moi, Vieux Fa. Ce n’était pas évident… »

Le vieil alchimiste fixa Hai Bodong d’un air choqué, et ne put s’empêcher de lui demander : « Tu n’es pas mort ? La Reine Médusa n’a-t-elle pas fini par… te faire ça ? »

« J’ai survécu par chance… » Le Vieil Hai fit claquer ses lèvres, et soupirer avec une certaine peur dans le regard : « Cette femme… est vraiment terrifiante… »

« Tu es vraiment un dur à cuire… Mais je suis content que tu sois en vie. Au moins, le vieux machin que je suis ne se sentira pas trop seul, ha ha… » Le visage aussi ridé qu’une écorce d’arbre de Fa Ma bougea alors qu’il rit.

Les doyens de l’association que l’impertinence de l’Empereur de Glace avait déplu, en entendant la conversation, se firent tout petit en comprenant que ce vieil homme à l’apparence quelconque était en fait un grand personnage.

Ling Fei et Xue Mei, derrière Ao Tuo, furent complètement abasourdies en voyant Hai Bodong discuter nonchalamment avec le président pour tuer le temps. Ce ne fut qu’alors qu’elles comprirent enfin que ce vieil homme d’apprendre tout à fait ordinaire était en fait une personne puissante cachant sa force.

Elles s’échangèrent un regard avant de regarder le jeune alchimiste, qui secouait la tête d’un air désarmé, d’un air bizarre. « Pourquoi tous les gens avec lesquels ce type se lie d’amitié sont d’un tel niveau ? »

Les deux grands maîtres de RocNoir furent également surpris de voir que les deux vieillards se connaissaient bien. Un peu plus tard, Ao Tuo se reprit et changea légèrement d’expression ; il murmura : « Hai Bodong ? Hai Bodong ? L’Empereur de Glace des Dix Puissants de l’époque… portait ce nom également, non ? »

Alors que cette pensée le traversait, il pencha la tête et échangea un regard avec Frank. Ils purent lire le choc dans le regard de l’autre, tant ils ne s’attendaient pas à ce que ce genre de vieillard datant de Mathusalem soit encore en vie. De plus, il avait l’air d’avoir une relation complexe avec leur protégé…

« Ce petit gars cache vraiment ses atouts en profondeur… » Comme leurs disciples, Frank et Ao Tuo le regardèrent également avec un air étrange. Ils ignoraient comment ce jeune homme, qui était entré dans le monde de l’alchimiste il n’y a pas si longtemps, avait été capable de rencontrer une personne aussi puissante.

Xiao Yan se tenait toujours au même endroit et ne pouvait que supporter, impuissant, les nombreux regards étranges qui le fixaient. Il réalisa soudainement que Fa Ma s’était à nouveau tourné vers lui après que Hai Bodong lui ait dit quelque chose. Le Président fronçait alors légèrement les sourcils en le parcourant du regard, comme s’il cherchait quelque chose.

« Qu’y-a-t-il ? » Le vieil Hai ne put s’empêcher de demander, surpris, en voyant son vieil ami agir. Il avait simplement dit que son jeune ami avec un certain talent à l’entraînement, et ne s’attendait pas du tout à cette réaction.

Le Vieux Fa toussa gentiment et dit d’un air incertain : « Ha ha, j’ai l’impression de sentir le Qi de quelqu’un que j’ai rencontré auparavant sur notre jeune ami pour une raison qui m’échappe… »

L’adolescent cligna des yeux : « Nous sommes-nous déjà rencontrés ? » Il marmonna en réalisant quelque chose : « Ne me dites pas qu’il a senti la présence de la Reine Médusa ? »

Quand Fa Ma sentit à nouveau, il n’eut pas la même sensation qu’auparavant. « Ké ké, peut-être que je me suis trompé. On tend à halluciner davantage en vieillissant. »  Il secoua la tête, déçu, et reposa sur sa chaise l’air un peu absent alors qu’une scène de ses souvenirs rejoua dans sa mémoire.

Lorsqu’il était encore jeune, il avait rencontré par hasard un vieil homme aux capacités inimaginables qui parcourait le continent. Pour une certaine raison, ce vieil homme et lui vécurent trois jours ensemble, pendant lesquels il lui avait nonchalamment enseigné quelques choses. Cependant, Fa Ma avait grandement bénéficié de ces choses et en utilisant ce que ce vieillard lui avait appris, il retourna dans l’Empire Jia Ma et avança pas à pas jusqu’à occuper le poste qu’il tenait à ce moment. C’était d’ailleurs en atteignant ce niveau qu’il réalisa graduellement à quel point ce vieillard était d’une habileté terrifiante, à l’époque…

Le vague Qi qu’il avait senti sur ce gamin un instant plus tôt était assez similaire à celui du vieil homme d’autrefois… Et c’était pourquoi il s’était perdu dans ses pensées.

Xiao Yan, qui n’avait pas la conscience tranquille, n’osa pas poursuivre ce sujet, mais alors qu’il allait parler d’autre chose, un vieux rire retentit depuis le passage au milieu des sièges : « Ké ké, vous êtes arrivés tôt Vieil Hai, jeune ami Yan Xiao… »

Tout le monde tourna la tête pour voir qui était le nouvel arrivant, et ils pâlirent de choc en tombant sur un vieil homme portant une tenue en lin simple. Ils se demandèrent en leur for intérieur quel bon vent soufflait ce jour-là pour que même le vieux démon vienne…

Il s’agissait naturellement de Jia Lao que l’adolescent avait rencontré la veille. La Petite Princesse le suivait également de près ; elle portait alors une robe d’alchimiste vert pâle, clairement taillée sur mesure. Ses manches spacieuses étaient entourées de soie brillante prenant la forme d’un lotus, qui lui donnait une élégance inopinée. Cependant, le Dou Shi avait parfaitement saisi son caractère et savait que derrière cette apparence calme, cette jeune femme était en fait excentrique.

Tandis qu’il la balaya du regard, il s’aperçut qu’une grande demoiselle, vêtue d’une robe luxueuse et brillante, se tenait à côté d’elle. Elle ressemblait à la Petite Princesse, mais son visage avait une froideur assez similaire à celle de Xue Mei. De plus, sous cette froideur, il y avait en fait une manière majestueuse et imposante résultant de l’éducation de la famille impériale.

Comparées à la petitesse et à l’apparence mignonne de la Petite Princesse, une froideur et une maturité se dégageaient de cette femme, dont les beaux yeux exerçaient une attraction naturelle.

Son regard passa sur les deux jeunes femmes avant d’enfin tomber sur Jia Lao. Il s’inclina et le salua en souriant : « Vous êtes là tôt également, Jia Lao. »

Ce dernier sourit et avança, puis il regarda Hai Bodong et Fa Ma avant de rire bruyamment : « Je ne m’attendais pas à ce que nous trois ayons encore une chance de nous réunir ! C’est vraiment le destin. »

« Nous avons effectivement une certaine affinité… » Le président sourit doucement et dit : « Je ne pensais pas que tu viendrais voir la Grande Assemblée, Vieux Démon. Je me souviens que tu n’aimes pas vraiment ce genre de compétition. »

« Je suis resté à l’écart de nombreuses décennies. Il est bon de sortir parfois jeter un oeil… » Jia Lao sourit et tourna sa tête vers le jeune homme. Après quoi, il pointa du doigt la demoiselle mature et glaciale derrière lui et dit : « Je pense que tu connais déjà Yue-er, petit gars. Voici la soeur aînée de Yue-er, Yao Ye. Elle contrôle les cinquante mille soldats autour de l’Assemblée, et en assure l’ordre et la sécurité. »

Le jeune alchimiste fut choqué de l’apprendre, tant il ne s’attendait pas à ce que cette femme glaciale devant lui soit aussi capable. Cinquante mille soldats… S’il en était responsable, il s’y prendrait certainement comme un manche. Cependant, la discipline et l’ordre des soldats à la porte principale lui avaient clairement montré qu’elle pouvait facilement les faire obéir.

Le vieux démon le pointa du doigt et sourit, en disant à la demoiselle glaciale : « Yao Ye, voici le jeune ami Yan Xiao dont je t’ai parlé. Son habileté est extraordinaire, et il est probablement le candidat le plus capable d’arracher la victoire cette fois-ci ! »

La Petite Princesse renfila en entendant l’évaluation du vieillard, et marmonna secrètement quelque chose comme si elle était mécontente de cet avis.

La soeur aînée le fixa de ses beaux yeux, et tendit gracieusement la main en souriant :  « Enchantée de vous rencontrer, monsieur Yan Xiao. » Son sourire rendit certains descendants des clans nobles assez distraits. Ils n’avaient pas du tout l’habitude de voir cette Princesse Aînée généralement glaciale aussi amicale.

Les manières de la jeune femme étaient impeccables aux yeux de Xiao Yan. Il sourit, tendit la main et serra doucement cette main si douce qu’elle semblait dépourvue d’os : « Enchanté de vous rencontrer, Princesse Yao Ye. » Il admira sa douceur en son for intérieur, mais n’en montra rien ; il lâcha simplement la main après l’avoir serrée, ne voulant pas qu’elle éprouve la moindre inconvenance.

Yao Ye rétracta sa main et sourit en disant : « Espérons que monsieur Xiao Yan soit capable d’obtenir un résultat convenable pendant la compétition. Après celle-ci, je tiendrais personnellement un banquet pour célébrer ces résultats ;  j’espère que vous accepterez de venir, Monsieur Yan Xiao. »

Le jeune homme sourit et hocha la tête en éprouvant une certaine stupéfaction. Elle lui avait fait baisser sa garde envers elle avec juste quelques phrases durant leur rencontre. Cette femme sait vraiment comment persuader les gens… Elle deviendra probablement quelqu’un d’extraordinaire plus tard…

La princesse aînée recula derrière Jia Lao d’un air satisfait en le voyant donner son accord. Avec son caractère, elle ne se serait pas abaissée à se lier d’amitié avec lui de cette façon si son arrière grand-père ne lui avait pas donné une telle évaluation.

Les beaux yeux de Yao Ye parcoururent le visage de l’adolescent, qui n’avait pas montré le moindre trouble depuis le début. « Cela dit, s’il a vraiment le potentiel qu’arrière-grand-père lui prête, alors il vaut la peine que je m’abaisse à devenir son amie… » Elle était plutôt satisfaite de sa force mentale. Il était extrêmement rare de parvenir à rester aussi calme devant les huiles de l’empire et des gens puissants. À tout le moins, les descendants des clans nobles derrière eux s’étaient faits tout petits et n’osaient pas l’approcher à cause de son statut.

Après cette petite conversation, elle s’inclina et salua Fa Ma, Hai Bodong et quelques autres. Il était difficile de trouver quoi que ce soit à redire face à son étiquette parfaite, et même le Vieil Hai se montrait moins froid avec elle.

Une fois que tout le monde eut salué les autres, ils s’assirent au premier rang des sièges réservés aux personnages de marque. Intentionnellement ou non, la Princesse Yao Ye se retrouva à s’asseoir à côté du jeune alchimiste, qui devint un peu distrait par sa légère odeur féminine.

Alors que le soleil avançait dans le ciel, de plus en plus de gens vinrent s’asseoir sur les sièges alentour ; la plupart d’entre eux venaient d’une famille possédant une certaine force dans la capitale, ou étaient eux-mêmes assez puissants. Les sièges publics de l’autre côté étaient depuis longtemps bondés, leurs cris communs se déversant sur l’horizon comme un torrent…

Xiao Yan était assis silencieusement, les yeux clos. Un long moment plus tard, il sentit tout à coup du mouvement autour de lui ; ce ne fut qu’alors qu’il fronça les sourcils et se retourna pour voir l’origine du vacarme.

Le groupe qui rentrait dans la section réservée aux personnes de marque était assez gros. Les trois grands clans arrivèrent ensemble, formant un groupe qu’aucune force dans l’Empire Jia Ma n’osait prendre de haut. La principale raison de l’agitation consistait cependant en l’arrivée de Nalan Yanran et de Ya Fei qui marchaient au milieu. Les deux femmes avaient des caractères différents, mais elles étaient toutes les deux d’une beauté extrême… Elles attirèrent naturellement de nombreux regards en marchant ensemble. Pas étonnant que les enfants de nobles derrière soient si excités…

Le groupe de gens descendit le long de l’allée jusqu’à arriver au premier rang, où ils saluèrent les gens qu’ils connaissaient.

Profitant de ce moment où tout le monde se saluait, le jeune homme parcourut du regard un vieillard inconnu qui marchait avec Nalan Jie et Miteer Tengshan, que Mu Zhan suivait de près. Il devina qui était cette personne d’après la façon dont ils s’adressaient l’un l’autre : c’était Mu Chen du clan Mu, un autre Dou Wang…

Après avoir salué les anciens, Ya Fei se glissa silencieusement à côté de l’adolescent, et dit avec un sourire éclatant : « Tu dois obtenir un bon résultat cette fois, Yan Xiao di-di. D’innombrables gens te regardent… »

Nalan Yanran vint les rejoindre sans que personne ne le remarque, sourit et dit : « Les résultats de Monsieur Yan Xiao ne seraient naturellement pas mauvais au vu de ses capacités. Il devrait même facilement entrer dans le top 3. »

Yao Ye, qui était assise à côté de lui, vit les deux jeunes femmes dont la beauté n’était pas inférieure à la sienne se réunir autour du jeune alchimiste. Elle savait naturellement parfaitement qui elles étaient, et la stupéfaction traversa ses beaux yeux tandis qu’elle pensa : Ce Yan Xiao a peut-être un physique ordinaire, mais il a un grand succès auprès de la gente féminine, étonnamment… On dirait qu’arrière-grand-père disait la vérité ; ce Yan Xiao est définitivement quelqu’un d’attirant avec un grand potentiel. Autrement, Ya Fei avec son intelligence et Nalan Yanran, avec son attitude distance, ne lui parleraient pas ainsi.

Les trois beautés se serrèrent à côté du Dou Shi, ce qui fit indubitablement naître des regards ardents derrière eux. Certains des jeunes gens avec une certaine imagination regardèrent les trois demoiselles en serrant les dents et en fixant le jeune homme intensément, comme s’il était l’ennemi qui avait tué leur père.

Xiao Yan sourit et se frotta la tête. Les vagues de parfum enveloppant le bout de son nez lui donnèrent envie de rire amèrement. Les nombreux regards embrasés derrière lui percèrent des trous dans son dos. Il ne comprenait pas lui-même pourquoi ces trois jeunes femmes venaient s’entasser autour de lui. Était-ce dû à cette habitude féminine idiote de se comparer ?

Il rit amèrement en son for intérieur et, comme un vieux moine en pleine méditation, il s’assit en se tenant extrêmement droit en attendant que la Grande Assemblée commence. À ce moment, il fronça tout à coup les sourcils et tourna la tête alentour, pour tomber par hasard sur Liu Ling, assis au second rang, qui le fixait d’un air glacial. Il avait l’air d’un serpent venimeux prêt à mordre.

Liu Ling ne prit pas la peine de cacher ses sentiments en voyant qu’il avait été découvert, ou peut-être était-ce parce que l’Assemblée allait commencer. Le coin de ses lèvres se souleva en un sourire froid. Il tint sa main à l’horizontale et son majeur se leva vers le ciel. Il dit : « Je veux t’infliger une défaite écrasante devant Nalan Yanran. »

L’adolescent sourit doucement, remua un peu les lèvres et tourna aussitôt la tête ailleurs.

Li Ling observa son dos avec une expression aussi sombre que froide, puis il soupira  lentement. Il avait clairement compris ce que son rival lui avait dit : « On verra… »

Le temps passa peu à peu et l’heure du début de la Grande Assemblée arriva lentement sous des dizaines de milliers de regards.

Le bruit qui emplissait le ciel disparut tout à coup quand un son de cloche claire retentit sur l’esplanade.

Au même moment, Fa Ma frissonna légèrement et se leva, pour ensuite avancer lentement jusqu’au bord de la zone réservée aux personnages importants. Il regarda les milliers d’alchimistes assis derrière les tables vertes en dessous et à ce moment, plus de deux mille alchimistes levèrent la tête et jetèrent des regards respectueux à ce vieillard à la réputation extrêmement élevée dans le milieu de l’alchimie de l’empire.

« En tant que président de l’Association des Alchimistes de l’Empire Jia Ma, je déclare l’ouverture de la Septième Grande Assemblée des Alchimistes ! »

« Bang ! »

La foule entière bouillit d’anticipation et poussa des cris de joie qui remuèrent les cieux.

Wazouille
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9 thoughts on “BTTH Chapitre 304 part 2

  1. Merci pour cette fin de chapitre !
    PS:Le site uhurale à annoncé qu’il arrêtait de traduire le projet tout les autres reviennent d’autres mondes et qu’il espérait qu’il soit reprit. Vu que vous aviez voulu le traduire au départ c’est peut-être votre chance de reprendre le projet ?

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