DNC Chapitre 166
DNC Chapitre 168

Salut à tous ! Vous vous demandez sûrement pourquoi il n’y a pas eu de DNC hier, eh bien c’est parce que mon meilleur ami s’est pris plusieurs mauvaises nouvelles dans la tronche et que j’ai passé la nuit avec lui pour lui remonter le moral.

Maintenant, je vais passer celle-ci à traduire pour vous ! :p

Voici donc le DNC d’hier, et viendront dans la nuit le BTTH et le SW du jour !

Merci de votre compréhension et de votre fidélité les amis, et à toute !

Bonne lecture !

Chapitre 167 – Raid sur la prison

« Bam ! » Un garde portant l’uniforme du Nuage de Fer reçut un coup de paume dans la poitrine ; il cracha aussitôt du sang et roula à terre comme une balle. Un des hommes en noir sourit et le poursuivit. Il lui donna quelques coups de pieds mais ne le tua pas car il le torturait juste pour le plaisir. Le garde cria de douleur et l’injuria de rage. Il se prit à nouveau des coups de pied comme s’il était un sac de frappes, incapable de se défendre.

La situation à l’intérieur se stabilisa plus ou moins et tout le monde poussa un soupir de soulagement. Cependant, leurs émotions bouillirent à nouveau lorsqu’ils virent ce qui se passait dehors.

Un Homme entre deux âges vêtu de vêtements simples bloquait les attaquants et hurlait rageusement : « Commandant Li ! Vous devez absolument garder cette porte fermée ! Ils essayent de vous provoquer ! Vous leur donnerez l’opportunité qu’ils attendent au moment même où vous ouvrirez la porte ! Nous n’avons pas peur de mourir ! Nous ne pouvons pas perdre la prison, elle est importante ! »

Il parlait hâtivement d’une voix forte. Ses paroles et le sang frais coulant de son corps lui donnèrent ensemble une apparence héroïque !

Les soldats dans l’enceinte de la prison regardèrent anxieusement le combat brutal à l’extérieur, les larmes aux yeux. Parmi eux se trouvait un grand type costaud qui se retourna, frappa fort du poing dans un mur et cria : « Bon gars ! »

Ils entendirent à ce moment des bruits de pas sonores ; les troupes disciplinées du Nuage de Fer étaient enfin arrivées.

« Tirez… Feu !! »

Un cri résonna, et les cinq personnes en noir au mur fuirent en même temps. Les flèches plurent dans leurs directions et à ce moment précis, une personne émettant une lueur d’épée vola vers eux. Il trancha toutes les flèches et gueula : « Partez vite, je vais les retenir ! »

Les cinq intrus sautèrent plus haut sans se retourner. L’un d’entre eux donna rageusement un coup de poing à l’homme d’âge moyen et donna un coup de pied au garde. Ce dernier vola et atterrit à nouveau à terre ; son sang s’écoula furieusement…

Les hommes en noir disparurent ensuite tous du champ de bataille.

L’armée encercla enfin la prison.

Au final, il n’y avait que trois personnes grièvement blessées à terre.

Le Commandant Li hurla de toutes ses forces : « Vite, faites les rentrer ! Voyons si on peut encore les sauver ! »

Les soldats préparèrent des civières de fortune en toute hâte et posèrent prudemment les trois blessés dessus. Ils étaient tous inconscients et saignaient… Les portes furent entrouvertes de sorte à ne laisser passer que deux personnes à la fois, et les soldats ramenèrent les blessés.

C’est alors que le malheur frappa !

Les trois blessés qu’ils ramenaient dans l’enceinte bondirent soudainement de leurs civières et attaquèrent leurs sauveurs. Ils leur tranchèrent la gorge et ils tombèrent en couvrant les alentours de sang.

L’un d’entre eux frappa la porte d’un coup de paume pour l’ouvrir en grand.

Bam… !! Le bruit fut si fort et féroce que les soldats autour saignèrent des oreilles et sentirent leur vue se troubler.

Les trois hommes entrèrent et tuèrent tous ceux qu’ils croisèrent comme des tigres fous.

Le Commandant Li cria de regret : « Vite… Laissez tomber la grosse cloison ! » Il ne s’attendait pas à ce que l’ennemi soit aussi perfide et utilise ce type de stratagème.

Un homme entre deux âges bien habillé rit : « Trop tard ! » Il passa par la porte et, de la main droite, dégaina un sabre étrange de son dos. Il sauta ensuite et perça un gros trou dans le filet de métal. Les deux autres tinrent chacun un côté et tirèrent de toutes leurs forces.

Le filet de métal craqua lourdement et se déchira en deux, et ils lancèrent les deux moitiés sur les soldats qui approchaient.

Des cris assourdissants retentirent à nouveau, et quinze ombres sautèrent dans la grosse ouverture ainsi créée comme des fées venues des cieux.

Il s’avérait qu’ils ne s’étaient pas repliés et que leur repli faisait partie de leurs stratégies !

Le Commandant Li fixa les intrus, furieux, et se précipita vers eux. Il fut cependant envoyé bouler, le sabre en main, d’un coup de pied dans la poitrine par un des hommes en noir et son corps se divisa soudainement en petits morceaux dans les airs après quelques mètres.

Un des types en noir cria : « Numéro Trois, prends des hommes avec toi et retiens-les. Je vais entrer avec Numéro 2 et jeter un œil alentour. »

« D’accord ! » Une personne masquée de petite taille rit bruyamment et se retourna pour bloquer l’entrée. Il était accompagné par six hommes armés qui se tenaient à côté de lui en formation en V.

Le passage qu’ils occupaient était très étroit et dans un petit virage, de sorte qu’ils puissent facilement éviter les flèches au besoin.

Les soldats du Nuage de Fer attaquèrent continuellement.

Les douze autres se divisèrent en deux groupes et entrèrent.

Leur chef était le plus brutal parmi eux ; il parvint très rapidement à capturer quatre-cinq gardes et il ne posa qu’une seule question à chacun d’entre eux : « Où est retenu votre prisonnier le plus récent ? »

Si le garde ne répondait pas à la question, il le tuait aussitôt et passait au suivant.

Lorsqu’il arriva au dix-septième garde, il parvint enfin à le faire parler en tremblant : « Là… là-dedans… Tournez à gauche… Il y a une cellule isolée… ayez pitié… »

« Très bien ! » Le type en noir lui coupa la tête d’un air glacial et dit ensuite nonchalamment : « Je vais te remercier en te laissant mourir confortablement ! »

Il bondit ensuite aussi vite qu’un ouragan et cria : « Par ici ! »

Les six hommes de l’autre côté les rejoignirent à toute vitesse, et les douze intrus foncèrent vers les profondeurs de la prison.

Ils rencontrèrent plus de gardes au fur et à mesure de leur progression et de plus, la culture de ces soldats était bien supérieure à celles de ceux qu’ils avaient croisés auparavant.

Ils fatiguèrent un peu mais se réjouirent de plus en plus parce qu’ils étaient sur le bon chemin !

Alors qu’ils fonçaient en avant, une personne en tête cria : « Attention ! » Il bondit ensuite en arrière en un éclair. Un gros fossé de deux mètres de large était soudainement apparut devant eux.

Aurait-il sauté en avant qu’il s’en serait sorti mais ses collègues derrière lui n’auraient pas cette chance. Par conséquent, il recula pour les prévenir au lieu de partir devant.

Tous les membres du Hall des Cavaliers Dorés étaient évidemment synchrones.

Avant même qu’il atterrisse, les murs latéraux éclatèrent et un liquide gluant s’en déversa.

« De l’huile ? Meeeerde ! » Le chef du groupe jura. « Sautez tous au-dessus, vite ! »

Les douze hommes sautèrent et même moment, d’innombrables torches furent lancées vers eux. Un incendie éclata derrière eux et dégagea une chaleur si élevée qu’ils eurent l’impression que leurs dos cuisaient !

Il y avait énormément d’obstacles et de pièges devant eux, et de l’huile coulait de plusieurs endroits en formant une couche épaisse au sol.

Un Cavalier Officier en tête lança un coup de paume et envoya l’huile voler en courant désespérément.

Tout à coup, les trois hommes de tête claudiquèrent et tombèrent presque à terre. Le sol paraissait ordinaire aussi ne s’étaient-ils pas du tout attendu à un piège !

Les trois intrus furent terrifiés. Le feu brillait clairement et leur avait permis de voir des empreintes de pied nettes, alors y avait-il un piège en dessous ? Ils n’eurent pas le temps de réfléchir davantage qu’un d’entre eux était déjà tombé.

Il s’était battu sur tout le chemin et même avec sa culture d’Aïeul Martial, il allait mourir dans cet endroit. Il avait épuisé toute son énergie et était tombé avant même d’avoir pu sauter !

« Bang ! »

Le passage s’emplit de fumée jaune et un cri lugubre parvint du piège : « Il y a tellement de poisons ici… J’ai été empoisonné alors marchez-moi dessus… Vite ! »

Apparemment, la victime souffrait d’un poison très toxique car ses dernières paroles furent laborieuses…

La fumée jaune inondait le fossé et les deux hommes bondirent en avant, les larmes aux yeux. Leur collègue sous eux était silencieux…

Ce poison était vraiment puissant !

Ils avaient déjà perdu quelqu’un avant même d’avoir atteint Numéro Un.

Un des types en noir cria de terreur : « Il y a plein de poisons là-dedans ! Y’a même des aphrodisiaques ! »

Les onze hommes restants jurèrent : « Roi des Enfers Chu, tu es vraiment abominable ! » S’ils n’avaient pas été blessés, ces poisons ne pourraient pas contaminer leur sang. Ils pourraient les arrêter en se servant de leur pouvoir martial, et pouvaient même les repousser en se battant…

Mais ça ne marchait pas avec les aphrodisiaques !

Tout à coup, un des onze intrus ‘monta une grosse tente’ dans son pantalon. Il rougit et ses yeux s’emplirent de désir.

Ils découvrirent tous que le plus cruel dans cette prison n’était pas les poisons, mais les aphrodisiaques ! C’était trop difficile à gérer ! Comment allaient-ils faire face à ça s’ils devaient être contaminés ?

Où iraient-ils avec un entrejambe en acier ? Leur sang bouillirait.

« Tenez bon encore un peu, nous allons vite sauver Numéro Un ! » Le chef de la bande tenta de contrôler son excitation grandissante alors qu’il fonçait en tenant son paquet, mais ses yeux fouillèrent inconsciemment la prison entière. Putain, pourquoi n’y a-t-il pas de prisonnières… ??

La fumée devint peu à peu plus dense…

Une douzaine de pièges se déclenchèrent à gauche, à droite et même au-dessus de leurs têtes dans la dizaine de mètres suivante ! Chacun d’entre eux était très difficile à détecter et extrêmement cruel !

Une telle concentration de pièges fit jurer continuellement les deux Cavaliers Officiers (NdT on va les appeler Officiers plutôt que de Commandement, c’est moche) Quiconque a installé ces pièges est un maître ignoble et abject ! On va réduire ce scélérat en morceaux !

Ce sont des pièges, ça ? Non, c’est une collection des pensées les plus fourbes et cruelles au monde, mais dix mille fois plus éhontées…

Le « bienfait » des aphrodisiaques se manifesta à ce moment-là…

Wazouille
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