Plus que deux jours avant le week-end ! Youpiii !
Mais plus que deux OG pour cette semaine, snif 🙁
Voici donc votre OG du jeudi, et la hype est réelle !
Bonne lecture !
Chapitre 334
Ces deux-là s’entendent bien.
Piaro était quelqu’un qui aimait enseigner, au point que tout le monde chez les Tzedakah avait appris quelque chose de lui. Royman rêvait également d’atteindre de nouveaux sommets, donc ils pourraient finir par devenir une paire extraordinaire s’ils restaient ensemble.
Mais ne finis pas par devenir une fermière, s’il te plaît Royman.
L’Ensemble Grid Produit en Masse de rang unique était d’une grande valeur et convenait particulièrement aux gens qui voulaient progresser rapidement. C’était un investissement, et c’est pourquoi il voulait que la jeune femme surpasse ses attentes.
Alors qu’il remontait la route vers le château, les soldats du Marquis Steim vinrent à sa rencontre.
« Duc, nous allons retourner au nord. »
« Où est mon beau-père ? » Demanda le forgeron, étonné de ne pas le voir.
« Le Marquis veut rester près de son petit-fils, mais le nord est actuellement un peu instable. On ne peut pas le laisser vidé de troupes, et nous allons donc repartir sans lui. Veillez sur mon seigneur, s’il vous plaît. » Expliqua Laden.
« Si le nord est instable, est-ce que mon beau-père peut vraiment se permettre de ne pas retourner à son poster ? »
« Nous y retournons sur le champ, donc tout se passera bien, même s’il n’est pas là. »
Beau-père a de bons subordonnés.
Grid opina du chef.
« Bien, je comprends. Je vais veiller sur mon beau-père, alors partez le cœur léger. Si vous rencontrez des problèmes dans le nord, allez trouver Jude à Winston. Il est incapable de réfléchir mais il est vraiment fort, contrairement à un vantard tel que toi. »
« … Je prends note. Merci pour votre accueil. »
Laden et les chevaliers lui firent respectueusement leurs adieux et quittèrent Reidan à 1,000. 500 unités d’élite restaient en ville pour protéger le Marquis.
« Il abandonne son territoire à cause de son petit-fils. Il n’a aucune dignité en tant que marquis. »
C’est ce qu’il disait, mais il le comprenait totalement. Lord était mignon, intelligent et si beau !
« Lord, attends-moi ! Papa arrive ! »
Le forgeron pressa le pas, car il voulait voir son fils aussi vite que possible. Il entra en toute hâte sous le regard de Lauel.
« Savez-vous que vous travaillez beaucoup moins depuis la naissance de Lord ? »
« Ugh. »
Le duc ne le nia pas. Il jouait au moins deux heures par jour avec Lord, et du coup il avait tendance à négliger la forge et la chasse. Lauel arbora un large sourire en le voyant muet.
« Eh bien, vous n’avez jamais eu aussi bonne mine. »
« Pardon ? »
Cette réflexion prit Grid au dépourvu, d’autant qu’il croyait qu’il allait se faire à nouveau sermonner. Son bras droit le fixa avec attention.
« S’habituer à aimer quelqu’un est une bonne chose, et ça vous apprendra à être généreux. »
Fondamentalement, Grid était quelqu’un de pas bien malin et à l’esprit étroit. Pour quelles raisons ? Lauel pouvait vaguement le deviner.
Il était ainsi parce qu’il a été méprisé durant la majeure partie de sa vie par les autres.
Comme il n’était pas débrouillard, il avait développé un complexe d’infériorité. Il ne savait pas comment interagir avec les autres non plus. Si Lauel écoutait les anciens de Tzedakah, le forgeron était bien pire par le passé ; il ne pensait qu’à lui-même et était constamment jaloux des autres.
Mais Grid commença à changer, et ce grâce à Khan et Irène. En recevant de l’amour et en en donnant, il découvrit un des principes de base des relations humaines et put mûrir.
« Vous régnerez éventuellement sur des millions de sujets, et vous recevrez des taxes toute votre vie de ces sujets. Pour devenir un roi sage et bon, vous devez d’abord apprendre ce qu’est la compassion. »
« … »
Si le forgeron avait été un joueur normal, il lui aurait répondu, incrédule : ‘Amour ? Charité ? Roi sage et bon ? Tu te crois dans un film ou quoi ? Ce n’est qu’un jeu.’
Cependant, il n’était pas un joueur normal. Satisfy n’était pas qu’un simple jeu à ses yeux, c’était un monde aussi précieux que la réalité, où il avait obtenu la fortune, des amis, une épouse et un enfant.
« Je comprends ce que tu essaies de me dire, mais ne vaut-il pas mieux penser d’abord au peuple avant de penser à moi ? On ne peut même pas augmenter les taxes, pas vrai ? »
« Tout ira bien tant qu’on se coordonnera. Comme vous le savez, j’ai les qualités d’un tyran comme vous. Nous nous complémentons bien. »
« Qualités d’un tyran… Nous nous complémentons… »
Grid trembla, et il eut du mal à se débarrasser de ce sentiment.
***
Le désert de Reidan était ardent.
On y trouvait des monstres sauvages et puissants, ce que savait parfaitement le Prince Ren. Néanmoins, il fit avancer son armée sans hésitation, car il avait une contremesure envers ses bêtes.
« Par là. »
« Au-delà de cette dune également ! »
Les deux plus puissants hommes de l’armée, le Capitaine des Chevaliers Royaux Chucksley et le meilleur archer du palais, Ferell, dirigeaient chacun une poignée de troupes. Leur mission était d’éliminer les monstres sur le chemin, dont la position était affichée sur la carte grâce aux spécialistes royaux des monstres.
« C’est facile. »
Les escouades furent déployées dans toutes les directions autour de leur base pour vaincre les monstres, ce qui permit à ladite base d’avancer sans encombre. Alors que tout se passait bien, le prince souriant donna un ordre à 20 assassins.
« Rendez-vous immédiatement à Reidan. Lorsque la guerre commencera, saisissez-vous de la duchesse si vous en avez l’occasion et amenez la moi. Alternativement, vous pouvez également la tuer. »
« À vos ordres ! »
Les assassins disparurent rapidement sous le regard du prince, qui en devint plus confiant.
« Dépêchez-vous ! Nous devons arriver à Reidan demain si nous voulons être à l’heure et attaquer avec Hurent ! »
« Oooooh ! »
Le moral des soldats augmenta. La chaleur du désert ? Ce n’était pas un obstacle pour celui qui allait bientôt devenir roi.
***
Le chevalier du nord, qui dirigeait 1,000 soldats à travers le désert, leva les yeux vers la grande dune de sable et arrêta la marche.
« Qu’est-ce que c’est que ça ? »
Tadat !
Laden grimpa habilement au sommet de la dune, sous le regard admiratif des soldats. Des milliers d’hommes apparurent alors devant lui.
Son expression se figea. « Ce drapeau appartient à … ! »
Un dragon d’argent avec des ailes. Il représentait la famille royale du Royaume Éternel.
Que font les troupes royales ici à l’ouest ?
L’armée royale marchait vers Reidan.
Est-ce pour célébrer la naissance du jeune seigneur ?
Cependant, il y avait trop de troupes pour une escorte.
Impossible… !
Le 1er Prince Ren haïssait le Duc Grid ; non, pour être plus précis, il le craignait. Le Marquis Steim voulait justement jouer les médiateurs entre eux, car il redoutait que le prince puisse s’en prendre à Grid après la mort de son père le roi. Un rat prit au piège pouvait se battre contre un chat…
Les efforts de mon seigneur ont été en vain.
Le Roi Wiesbaden était clairement mourant. Et alors que Laden réfléchissait…
« Pourquoi est-ce que des troupes du nord sont à l’ouest ? »
Une voix résonna derrière lui. Il se retourna et vit 300 cavaliers, qui composaient une des escouades chassant les monstres. C’était la cavalerie royale d’élite, le Vent de Fer. Le commandant du Vent de Fer, Beida, était un maître lancier célèbre.
Breida s’approcha et demanda de nouveau : « Je vous ai demandé que faisaient les troupes du nord ici. »
Il semblait n’avoir aucune intention hostile, et ils faisaient partie du même royaume, aussi les soldats du nord ne se méfièrent pas de lui. Mais Laden était différent.
« Tout le monde à terre ! » Cria-t-il à ses hommes.
La lance de Beida vola au-dessus de la tête des soldats qui avaient obéi par réflexe.
« H-Hik ! »
Les soldats qui avaient survécu se pissèrent dessus, et ceux qui furent incapables d’agir à temps perdirent la tête, ce qui fit blanchir les autres.
Le regard de Beira tomba sur Laden. « Vous avez de bons yeux. Votre nom ? »
« Vous ne cessez de poser des questions comme une pute aguicheuse ! »
« … ! »
L’attitude vaillante de Laden stimula le lancier et lui fit lentement révéler la nature sauvage qu’il conservait sous son calme apparent.
« Alors toi… ! Je vais te couper les membres avant de t’interroger à nouveau Hiyaaah ! »
Beida sauta de cheval et courut en à travers les dunes à une vitesse hors du commun. Les soldats eurent peur de lui, mais Laden resta calme.
« Vous allez payer de votre vie le crime d’avoir tué les soldats du Marquis Steim. »
« Bah ! »
Laden plaça une main sur le fourreau à sa taille et regarda Beida.
« Tu es encore un blanc-bec ! »
Puok !
La lance de Beida perça le sable, là où se trouvait Leidan un instant auparavant. Ce dernier évita la lance et frappa la cuisse de son adversaire de son épée.
Chaaeng !
Le lancier se défendit de son arme et déclara rageusement : « Tu es rapide mais pas bien fort… Kuk ? »
Beida pâlit en réalisant que du sang coulant du poignet qui tenait la lance.
« Espèce de… ! »
Phénix n’était pas le seul puissant soldat du nord ? Laden faucha le lancier stupéfait et ordonna à ses troupes : « Tuez-les tous et retournez à Reidan. »
Ils servaient le même roi jusqu’à hier, mais Laden était sûr que le Marquis serait du côté du Duc Grid plutôt que du Prince Ren, et il sût vite quoi faire.
***
Je n’ai plus long à attendre, à présent.
L’humeur de Hurent s’améliora tandis qu’il descendit la montagne. Son sang bouillit en repensant à l’humiliation des 5 secondes.
Je vais te montrer la vraie puissance de l’aura.
Le plus grand avantage de l’aura était ses dégâts fixes et ses changements de formes. Lors de la Compétition Internationale, Hurent ne pouvait pas se servir correctement du changement de formes, mais c’était différent à présent.
C’était un pouvoir qui faisait de l’imagination la réalité. Avec son pouvoir frauduleux, Hurent pensait pouvoir vaincre Grid. Non, pas seulement Grid, mais aussi Kraugel, Agnul, les meilleurs joueurs classés et les joueurs classés non-officiels.
Hurent était persuadé pouvoir tous les écraser.
« Qui êtes-vous ? »
Alors qu’il venait juste de quitter les Altes avec ses 2,000 hommes et qu’il s’apprêtait à entrer dans le désert, deux fermiers leur bloquèrent le passage. Hurent, furieux, tira son aura vers eux. Cette aura s’étendit comme un fouet sous les regards stupéfaits des fermiers.
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