SSN Chapitre 43
SSN Chapitre 45

Voici le dernier bonus du jour, avec encore toutes mes excuses pour le retard puisqu’il ne sort qu’à 2h du matin. Quelle journée… On doit ce bonus encore une fois, à l’éternel Erwan. Mille mercis !

Détail important : demain je ne pourrai, en raison d’un imprévu auquel je ne peux me soustraire, poster que 2 bonus si d’autres dons venaient à venir. Je préfère prévenir que guérir ^^ Par ailleurs, c’est avec soulagement que je vous rappelle que la promotion s’arrêtera dimanche à 23h59. Merci à tous de votre immense soutien.

Bonne lecture !

 

 

Chapitre 44 : Salve régénératrice 2/4

 

Jiwon se laissa tomber sur son lit à la fin de son service.

« Pfouah… »

L’entreprise qui l’avait engagée était à la base de taille modeste mais avait, elle aussi, su prendre avantage des donjons. Ses commandes ne faisaient en effet qu’augmenter au détriment de ses employés qui devaient sans cesse redoubler d’efforts pour tenir la cadence. 1)Dans la main d’œuvre aussi, on parle de commandes.

La porte s’ouvrit à nouveau. Haejin et Nayoung, avec qui elle partageait la chambre, entrèrent.

« Ouah… Unni, tu as super bien travaillé aujourd’hui. » lui dit l’une. 2)Unni est l’équivalent de hyung mais entre femmes.

« Vous aussi. » répondit Jiwon.

Haejin et Nayoung étaient âgés de 21 ans, soit seulement trois ans de moins que Jiwon. C’était moins la différence d’âge qui les poussaient à observer l’usage de cette politesse envers une aînée que leur inconfort en sa compagnie. Elles étaient comme larrons en foire, ce qui excluait quelque peu Jiwon.

« Unni, on va aller se laver. »

« Faites, faites. »

Elle récupéra son téléphone et commença à lire quelques bandes dessinées sur internet avant d’entamer la lecture d’un roman à l’eau de rose qu’elle suivait de manière épisodique.

« Woooo… » fit-elle à voix basse, laissant son imagination la placer au sein de cette histoire.

Le traumatisme de l’apparition des donjons avait pris place durant sa terminale, lui ôtant ses parents. Séoul resta ainsi un moment ponctuée de drames suite aux Invasions. Jiwon avait failli perdre la vie lors de l’une d’entre elles, et c’était in extremis qu’un éveillé l’avait sauvée, qui quoiqu’elle se souvint de son visage, semblait difficilement retrouvable.

Le prix de sa survie s’était fait particulièrement élevé. On l’appelait, à moitié en plaisantant, la déesse. C’était un objet d’attention permanente. Si elle avait jusqu’alors rejeté de façon systématique toute proposition, son cœur avait chaviré en un instant pour cet inconnu. Maintenant, on la regardait comme un monstre… Ou avec pitié.

Qui tomberait amoureux d’elle par pitié ? C’était pour cette raison qu’elle n’avait encore jamais connu l’amour, aussi les nouvelles romantiques lui permettaient-elles de se rapprocher un temps soit peu de ce désir secret. C’était son seul et unique réconfort après chaque journée de travail.

Elle eut tôt fini son chapitre et, la salle de bain étant toujours occupée, elle entreprit d’aller lire un peu les nouvelles du jour.

« Hein ? C’est Woojin ? » se surprit-elle en cliquant sur l’un des gros titres.

Son visage devint rouge comme une tomate en voyant la photo de lui, l’air sévère, qui illustrait l’article. Elle se mit à rire.

« Hé, il est devenu célèbre ! »

Elle commença à regarder un peu le contenu d’autres articles sur différents sites, où Woojin occupait toujours une place d’or.

[Inscription de la guilde Alandal à la Direction Nationale des Donjons.]

[Le onzième éveillé de rang A, Kang Woojin. D’où vient-il ?]

[Le phénomène Kang Woojin. L’opinion de Kim Gahngchul.]

[Qui est Hong Sunggoo ?]

[Le lycée Mido. Interview du professeur de Kang Woojin.]

« Hein ? Le prof d’histoire parle de lui ? » s’étonna encore plus Jiwon.

L’expérience d’avoir approché de si près une telle célébrité était pour elle une expérience fascinante. Elle avait en effet bu des verres avec lui seulement quelques jours auparavant, aussi eut-elle l’impression de posséder un secret inconnu du grand public. C’était comme si son roman prenait pied sur la réalité.

« Hmmm… »

Elle se leva après avoir terminé de lire quelques articles et ouvrit la porte du placard adjacent à son lit. Il s’y trouvait différents chapeaux aux couleurs chatoyantes. C’était un objet dont elle ne pouvait plus se passer. Il se trouvait par ailleurs un chapeau auquel était réservé un étage entier du placard, et dont la capote 3)La partie « tête » du côté interne d’un chapeau s’appelle la capote. était recouverte de scotch.

« Ohhh… »

Elle eut un grand sourire en repensant à ce qu’il s’était passé. Durant les cinq dernières années, tous ne l’avaient traité qu’avec dégoût, pitié ou indifférence. Tel n’était pas le cas d’un de ses anciens camarades de lycée, le dénommé Kang Woojin qui faisait la une de tous les journaux.

« Ah, c’est vrai, Jaemin ne va pas tarder à sortir de l’école. »

En tant que seul membre de sa famille, elle l’appela à nouveau comme tous les soirs. Il était la seule et unique raison pour laquelle elle restait en vie.

« Yeoboseyo grande sœur… » répondit Jaemin après avoir décroché.

« Jaemin ? Ça va pas ? T’as la voix bizarre… »

« C’est rien. Je vais bien. »

« Bon. Tu as mangé ? Tu rentres des cours, là ? »

« Oui. Ah, au fait. Woojin m’a envoyé un message, il voudrait obtenir ton numéro. Je fais quoi ? »

« Huh. Woojin veut mon numéro. »

Son rythme cardiaque s’accéléra d’un seul coup.

« C’est bizarre, hein ? Je vais lui dire non. » répondit Jaemin.

« Donne-lui ! »

« Hein ? »

« Je t’ai dit, donne-lui. »

« … Il est dangereux. »

« T’essaies de jouer au plus malin avec moi ? » le rappela à l’ordre Jiwon.

« Je… Non. Bon. Je comprends. Je viens d’arriver, ça ne te gêne pas si on en reste là pour ce soir ? » parvint à demander Jaemin.

« D’accord. Étudie bien ! J’ai un planning très chargé cette semaine, donc je ne vais pas pouvoir te rendre visite ce week-end. »

« Ok, compris. À bientôt. »

Jiwon raccrocha et eut un petit rire nerveux tandis que son visage marqua sa surprise.

Pourquoi Woojin lui a demandé mon numéro…

Je ne vois pas où est le problème. Elle est toujours jolie.

Elle se remémorait encore de façon très claire les mots de Woojin. Malgré le taux d’alcoolémie d’alors, elle n’avait aucun doute là-dessus.

Peut-être que Woojin… Bah. Non.

Il existait bien des couples dont les membres ne s’illustraient pas par leur beauté, mais personne ne s’enticherait d’un monstre. C’est sur cette réflexion qu’elle chassa l’anticipation qu’elle avait laissé l’emporter.

D’ailleurs, la porte de la salle de bain s’ouvrit enfin, et Haejin et Nayoung en sortirent avec un sursaut.

« Euh, unni… »

« Quoi ? »

« Je sais qu’on est dans notre chambre mais… Tu pourrais remettre ton chapeau ? »

« C’est vrai quoi, unni ! Où sont passées tes manières ? »

« Euh… Ok… » répondit Jiwon en couvrant la partie supérieure de son visage d’une serviette avant d’entrer à son tour dans la salle enfin libérée.

Elle fit couler le robinet tout en commençant à se déshabiller.

« Putain, elle m’a foutu la trouille Scarface ! »

« Je te jure… Dès que j’aurai récupéré assez d’argent, la première chose que je fais, c’est me tirer d’ici. J’ai l’impression que je vais avoir une attaque chaque fois que je vois sa sale gueule. »

« Comment elle fait pour supporter de vivre avec une tronche pareille ? Moi j’me serais déjà foutue en l’air… »

Le son de l’eau ne suffisait pas à couvrir le bruit de leur répugnance. Elle fit aussi couler le robinet du lavabo avant d’y apposer les mains.

Son corps nu était magnifique. Cependant, les mots qu’elle avait l’habitude d’entendre quotidiennement lui faisaient bien plus mal aujourd’hui. C’était comme si elles lui signifiaient qu’elle n’avait pas le droit de désirer qui que ce soit. Ses larmes tombèrent dans l’eau dans un délicat clapotis.

Le monstre incompris dans la glace semblait singulièrement triste aujourd’hui.

 


 

« Pfiou… » soupira Sunggoo une fois qu’il eut fini de tout ramasser avant de s’avancer à la rencontre de Woojin.

« J’ai fini de tout collecter. » lui dit-il alors.

« Ah ouais ? » répondit Woojin qui s’était posé avant de tout placer dans son inventaire.

« Hyung-nim… Tu es vraiment plus rapide qu’avant. »

« Y’a de moins en moins d’artéfacts. » releva Woojin, déjà de niveau 32.

« Oui, hyung-nim. On dirait qu’on les a presque tous. »

Woojin eut un tic d’agacement. Ils n’avaient récupéré que 3 objets magiques.

« On sort. » lança-t-il.

« D’accord. »

À leur sortie du donjon qui n’avait représenté pour Woojin qu’une bagatelle, et hormis la sempiternelle ribambelle de pisse-kyrielles 4)Une kyrielle est une suite de longue paroles qui se répètent. J’utilise ici le suffixe pisse- en référence au terme pisse-copies et à la profusion de leurs articles traitant tous du même sujet, Woo Soonghoon était déjà prêt à répondre à l’appel.

Leur faisant un signe, il s’écria à leur attention : « Le directeur Jung m’a envoyé pour vous récupérer. Je vais vous conduire au bureau. »

Jung Minchan lui avait enfin trouvé une utilité… Il serait donc chauffeur.

« Où est le directeur ? » lui demanda Woojin.

« La création de la guilde a été approuvée par le bureau de la Direction Nationale des Donjons. » répondit Soonghoon.

« Bien. »

« Je vais aller chercher la voiture, maître. »

« C’est ça ouais. »

Sunggoo regarda la scène d’un œil perplexe avant de poser une question qui, depuis un moment déjà, le taraudait :

« Hyung-nim. Comment as-tu rencontré monsieur Woo ? »

« Il m’a vendu un téléphone. »

« Hein ? »

Soonghoon tentait de repousser la foule avec force coups de klaxon tandis que Sunggoo parut pris d’un sursaut, se demandant bien ce qu’il était passé par la tête de Woojin pour mettre un vendeur de téléphones à un poste aussi important que celui de fondateur.

Soonghoon descendit de la voiture en voyant arriver ses supérieurs afin d’ouvrir les portes arrières de la voiture, en les invitant à rentrer.

Woojin et Sunggoo voulurent monter, mais furent rapidement interrompus par la masse de journalistes qui se ruaient sur eux comme des mouches sur un fruit.

« Monsieur Kang, vous n’avez toujours pas accepté le moindre rendez-vous dans le donjon de la sixième sortie de la station Université Nationale de Séoul. Quand comptez-vous l’ouvrir au public ? »

« Monsieur Kang Woojin, s’il-vous-plaît ! Une question ! »

Woo Soonghoon bomba le torse et s’avança vers eux avec l’air impérieux.

« Éloignez-vous. Ils ont besoin de repos après ce donjon, aussi voudrais-je vous demander de bien vouloir respecter l’usage en prenant directement rendez-vous auprès du service compétent de notre guilde pour toute entrevue. Des poursuites seront engagées à votre encontre si vous continuez à ainsi harceler les éveillés.  Maintenant, reculez. J’ai bien retenu vos visages, aussi m’appliquerais-je à attaquer en justice quiconque viendrait à transgresser à la règle. Je ne plaisante pas. »

Woo Soonghoon avait prononcé ces mots comme si sa langue prenait feu, avec une rapidité et un professionnalisme impressionnants. Les journalistes n’eurent ainsi d’autre choix que de reculer, par crainte des représailles de leurs directions.

Ils purent enfin monter dans la voiture, et Woojin posa une question.

« Le directeur Jung a dit qu’il traînerait les médias devant les tribunaux ? »

« Non, maître. » répondit calmement Soonghoon.

« Hein ? Il ne va pas le faire ? »

« J’ai menti. »

« Uh… Bon travail. » répondit Woojin impressionné.

« Laissez-moi vous servir, maître. » ajouta Soonghoon que le compliment avait enchanté.

« … D’accord. »

L’implication de Woo Soonghoon au sein de la guilde ne faisait plus aucun doute.

 


 

Trois jours avaient passé alors qu’ils finirent leur neuvième attaque contre le donjon, avec un temps record de 2 heures et 49 minutes lors de la dernière. Les gratte-papiers sortaient encore quantité d’articles à leur sujet.

C’était un événement sans précédent. Kang Woojin n’avait pas encore rencontré le numéro 1 de Corée, mais on l’avait déjà comparé à lui. En peu de temps, la situation évolua au point qu’on se mit à le comparer aux meilleurs éveillés mondiaux.

Toutefois, du fond de son canapé, Woojin n’en avait que faire.

〈Champignon sain consommé.〉
〈Force de la détermination consommée.〉
〈Sang de Raenin consommé.〉

Les pierres de récompense ne pouvaient être consommées indéfiniment. Le corps avait besoin de temps pour assimiler les propriétés de ces objets magiques, qui bien loin d’y augmenter la résistance, augmentait le temps nécessaire à chaque consommation.

Il prit aussi une sagacité de Chen, qui tout comme le sang de Raenin, augmentait la valeur de vitalité.

Il avait consommé un certain nombre de ces objets qui augmentaient aussi d’autres attributs quand il décida de s’arrêter. S’il pouvait en consommer à nouveau certains après seulement 2 heures, il fallait pour certains attendre jusqu’à 17 jours.

Sunggoo le regardait avaler ces objets comme s’il s’agissait de bonbons.

200 millions. 170 millions. 500 millions.

À cet instant, Woojin n’était plus pour lui qu’un ogre mangeur d’argent.

Aussi, avec de telles pensées, Woojin s’aperçut rapidement du poids du regard de Sunggoo.

« Qu’est-ce qu’il y a ? T’en veux aussi ? »

« Non non… Comment pourrais-je. » répondit Sunggoo.

Le directeur Jung, selon son ordre, avait amassé une certaine quantité de Pierres de Récompense qu’il récupérait, pour l’essentiel, sur son temps libre. Étant donné le temps nécessaire à leur digestion, il pouvait bien se permettre d’en donner certains à Sunggoo sans avoir l’impression d’y perdre.

Sunggoo le suivant partout, c’était d’ailleurs une idée intéressante. En devenant plus fort, il augmenterait ses chances de survie et ainsi Woojin n’aurait-il pas à s’en inquiéter si souvent.

« Mange ça. Ça, aussi. Puis celui-ci. » lui dit Woojin en lui lançant les précieux objets, qui augmentaient respectivement la Force, l’Agilité et l’Endurance.

« Je… Merci beaucoup, hyung-nim. »

« Bah, c’est rien. »

Il pourrait ainsi travailler de façon plus efficace, plus vite et plus longtemps.

« Je te donnerai d’autres trucs de temps en temps. » ajouta-t-il.

« Moi, Hong Sunggoo, réalise bien la bénédiction que constitue ta rencontre… »

« C’est ça, directeur des travaux divers. »

Sunggoo exaltait tandis qu’il recevait les cadeaux de celui qui lui apparaissait comme un roi. Woojin, tout en souriant, se saisit de son téléphone et alla lire ses messages.

« C’est moi, Woojin. »

« C’est bien Do Jiwon ? »

« Pourquoi tu dis rien ? »

Les trois messages étaient de Woojin, qui déplora le fait qu’elle n’y ait toujours pas répondu. Son téléphone étant synchronisé à la plus populaire des applications de chat, il vit toutefois une photo de profil où se trouvaient bien Jaemin et elle. Aucun doute, le numéro était bien le sien.

« Rah, fait chier tiens ! Comment tu veux que je lui file ce remède si je ne peux pas la voir ? » vociféra-t-il.

Le visage de Sunggoo était écarlate suite à la consommation de tous ces objets.

« Qu’est-ce que tu racontes ? » lui demanda alors Sunggoo, observant une pause dans sa propre consommation des pierres.

« Je parle de Jiwon. Elle répond pas. » expliqua Woojin.

« Elle doit encore être au travail. Encore qu’on est samedi, elle doit être en congés, non ? »

« Jaemin a dit qu’elle était trop occupée pour venir dans le coin ce week-end… »

« Hmmm. Jiwon n’a pas trop de raisons de t’éviter, si ? Il s’est passé quelque chose l’autre soir ? »

« L’autre soir… »

Woojin fronça les sourcils en repensant aux tripes.

« C’est peut-être le scotch… »

« Quoi ? »

« Son chapeau n’arrêtait pas de tomber, alors je lui ai scotché à la tête. »

« Hmm… Je ne peux pas t’aider. Je n’ai aucune expérience avec les femmes. »

« Haha. Qu’est-ce que tu as bien pu faire d’autre pendant tout ce temps ? »

Sunggoo garda le silence, encore qu’il eut très envie de lui demander : « Et toi, alors ? ».

« Va chercher quelqu’un de plus expérimenté dans le domaine. » lui dit soudain Woojin.

« Euh… D’accord. » répondit l’intéressé au front perlé de sueur en sortant. Il revint quelques instants plus tard.

« Vous m’avez fait appeler, monsieur le maître ? » s’étonna Soonghoon.

« Oui. Regarde ce message, là. Qu’est-ce qu’il se passe ? Elle fait exprès de m’ignorer ou quoi ? » lui répondit Woojin en lui montrant son téléphone.

Sa chance de briller venait enfin d’arriver. Si Jung Minchan et Kim Haemin étaient brillants dans leur travail respectif et Sunggoo déjà occupé en tant qu’éveillé, il restait une personne dont le rôle était plus nébuleux. Toutefois, il ne souhaitait pas être viré et s’appliquait à proposer son travail chaque fois que l’occasion se présentait.

S’il existait un directeur des travaux divers, c’était bien lui, auquel les cieux semblaient enfin sourire.

« Vous avez bien fait de m’engager. »

« Hein ? » s’étonna Woojin.

« Je suis très au fait des choses de l’amour. »

« Que… »

« Je saurai vous le prouver. » répondit-il en souriant.

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References

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1 Dans la main d’œuvre aussi, on parle de commandes.
2 Unni est l’équivalent de hyung mais entre femmes.
3 La partie « tête » du côté interne d’un chapeau s’appelle la capote.
4 Une kyrielle est une suite de longue paroles qui se répètent. J’utilise ici le suffixe pisse- en référence au terme pisse-copies et à la profusion de leurs articles traitant tous du même sujet

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17 thoughts on “SSN Chapitre 44

    1. J’trouve qu’il a l’air plutôt intéressant en fait ce type 😀
      Il a l’air d’avoir quand même quelques ressources, il n’y a qu’à voir comment il a envoyé paître les journalistes.

      1. Oui, il est le type typique du civil entrant dans un monde connu des éveillés. Il finira par apprendre le métier et s’y adapté. 😉 et merci pour le chapitre. o/

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