Bonjour ! Comme prévu voici le troisième chapitre d’EER (en comptant le prologue). Pour commencer, j’ai un petit coup de gueule à pousser, mais vous êtes tout à fait libres de passer directement à la lecture. 😉
Bon, grosso merdo, cette série est maudite. Abandonnée, reprise, abandonnée à nouveau, puis reprise encore un coup. Je vous laisse deviner ce qu’ont en commun les trois traductions ? Elles sont catastrophiques. Notez que je me fiche bien de passer pour un connard, je suis simplement réaliste. Écrire bêtement un mot en français en lieu et place d’un mot anglais, ce n’est pas de la traduction, c’est de la merde.
Une bonne traduction, ce n’est pas seulement rendre un texte lisible, c’est se l’approprier de sorte à ce qu’il donne l’impression d’avoir été écrit dans la langue cible tout en respectant l’idée de l’auteur autant que possible. Moi, j’ai envie de rendre hommage à cette œuvre et c’est la raison pour laquelle je la reprends dès le départ, parce qu’aucun des trois traducteurs n’a été à même de le faire.
Depuis que j’ai pris cette décision, pourtant, j’ai pris non seulement des commentaires explosifs mais aussi des insultes parce que l’un de ces traducteurs du dimanche se foutant bien de traduire correctement a décidé de s’y mettre en même temps que moi. Vous vous en doutez, j’ai décidé de m’en foutre pour continuer mon projet. Parce que mon but, ce n’est pas de fournir leur dose à des gens, c’est de faire un véritable travail. Je prends un gros risque ce faisant : ne recevoir aucun soutien, que ce soit en terme de lectures aussi bien que de dons. Et vous savez quoi ? Ça m’est égal.
Par contre, ce que je ne tolère pas, ce sont les commentaires déplacés. J’ai donc pris la décision, à partir de maintenant, de supprimer tout commentaire non-constructif qui viendrait gueuler parce qu’il n’a pas la suite ou m’avertissant que ce que je fais ne sert à rien parce que le cousin du frère de bidule a décidé de la ruiner un peu plus sur jacquieetmichel.net. Si vous voulez de la qualité, c’est ici qu’il faut frapper. Si vous voulez juste avoir la conclusion, y’a Google traductions.
C’est tout pour le moment, les « haters » sont avertis (Dieu que je hais ces termes à la mode), j’aurai 0 tolérance à partir de maintenant. J’me casse pas le cul pour me faire insulter. Bisous et bonne lecture !