MWLU : Chapitre 172
MWLU : Épilogue 2/2

〈 173 – Épilogue — Se rencontrer à nouveau (1) 〉

 

C’était une après-midi d’été typique, avec son soleil qui tapait violemment – le pire des temps, qui faisait transpirer à grosses gouttes après seulement quelques pas. Les vents brûlants et les rayons écrasants étaient suffisants pour faire regretter quiconque osait sortir.

Sous le ciel bleu et limpide, j’essuyais les gouttes de transpiration sur mon visage tout en déposant un tas de briques au sol.

« Oiii, Kim !! »

Ma petite pause ne dura que pour un instant, cela dit. La voix unique et rugissante du contremaître résonna dans mes oreilles. J’étais loin d’être le seul Kim sur le site de construction mais je savais très bien que j’étais celui qu’il cherchait.

« Oui, oui. J’arrive. J’arrive… »

Je manquais d’énergie pour formuler une plainte en bonne et due forme et je me résolus à me diriger vers lui. Il m’ordonna de déplacer des barres d’acier alors chargée à l’arrière d’un camion. Sans un mot, j’en attrapai plusieurs douzaines et entrepris de les déplacer.

Une personne normale dirait que j’utilisais une compétence magique ou que je faisais montre d’un superpouvoir ou n’importe quoi de ce genre après m’avoir vu faire ce que j’avais fait. Les types qui travaillaient là étaient cela dit habitués à mes prouesses et s’en foutaient un peu, à la longue.

« Comme prévu, t’es vraiment costaud, hein, mec ? »

Le contremaître me tapota l’épaule en gloussant de contentement. Mais ce léger contact réchauffa légèrement ma peau et ce n’était pas du tout agréable.

Le travail sur un site de construction était difficile. Honnêtement, c’était le pire. Spécialement pendant l’été, c’était pire que pire. La transpiration coulait sans fin le long de ma peau comme de la colle épaisse et l’odeur… L’odeur âcre était plus dégoûtante qu’un égout bouché.

« Ouais, ouais, bien sûr. Je suppose~ »

Mais merde. Que pouvais-je y faire ? Comme il n’y avait littéralement rien dans ma tête, je pouvais aussi bien utiliser cette puissance physique pour effectuer un putain de travail de bête de somme.

« Sérieusement, mec. Tu es vraiment né à une mau~vaise, mauvaise époque, mec. Si tu étais né juste vingt ans plus tôt, tu aurais pu te faire plus de pognon que nécessaire pour vivre comme un empereur, tu sais. »

« Tu veux dire, en tant que Chevalier ? »

« Chevalier, Mercenaire, peu importe. »

Je souris légèrement en l’entendant. J’étais satisfait par une paye légèrement supérieure à mes collègues. En plus, je ne possédais pas un pouvoir exceptionnel qui m’aurait permis de devenir Chevalier, de toute façon.

« Peu importe. Tu ne te souviens toujours de rien ? »

Le contremaître me demanda ça en passant, juste comme ça, au cas où. Et je secouai la tête.

Je n’avais aucun indice quant à la personne que je pouvais être. Pas un souvenir de mon passé, mis à part tout ce qui s’était passé à partir du moment où je m’étais éveillé dans ce lit d’hôpital. J’avais été ramassé par un étranger alors que je flottais, inerte, dans la baie de Busan et il m’avait emmené à l’hôpital le plus proche. Ensuite, j’avais reçu une nouvelle identité après être passé entre les mains de nombreux spécialistes.

Si ç’avait été une époque normale, mon histoire aurait été publiée en première page des journaux mais après ce jour particulier où tout avait apparemment basculé pour le monde, il existait des souffrances bien plus graves que les miennes et les journalistes n’avaient aucune envie de me prêter la moindre attention.

« Quel dommage. Avec ce genre de force, tu pourrais faire tout ce que tu veux. »

« Ce n’est vraiment pas si extraordinaire, alors pas la peine de s’étaler sur le sujet, tu sais. »

« Je ne parle pas seulement de ta puissance physique mais ton éthique professionnelle aussi. Je suis presque tenté de te présenter ma fille… »

« …Je suis juste un ouvrier de chantier, alors je ne suis pas certain que tu devrais faire ça. »

Même si j’avais répondu de la sorte, j’étais plutôt curieux –  le contremaître prenait tout son temps, comme s’il allait sortir une photo, mais soudain…

« Bon, le truc, c’est que je plaisantais. Hahahahaha. »

…Fils de pute. Un fils de pute qui me força à sourire malgré tout.

« Ha. HA HA. »

« Pourtant, de tous ceux que je connais, tu es celui avec la meilleure apparence physique. Sans même parler de cette force. C’est un gâchis de te voir comme ça, pourrir sur un site de construction. »

« Et quel est l’employeur avec un peu de bon sens qui emploierait un type sans passé comme moi ? »

Mon visage était normal, ma taille moyenne. Ils avaient vérifié mes empreintes digitales mais ça n’avait rien donné. J’avais même eu droit à un scan de mes iris. Rien. C’était comme si je n’avais jamais existé avant et que j’étais apparu d’un seul coup dans ce monde.

« Ouais, bien sûr, mais… Ah, c’est vrai. Pourquoi ne postulerais-tu pas pour un travail de garde du corps dans cet endroit, ils recrutent. Tu serais choisi, assurément, rien que pour ta force. » 1)NdT : Bien sûr, quelqu’un qui emploie des gardes du corps est la Personne avec un grand P qui se foutra de ton passé hein ? C’est pas comme s’il devait avoir une confiance absolue en toi, hein ? 

« Et pourquoi serais-je choisi… »

« Cinq jours par semaine, 3000 $ par mois. »

« Oh. Tu as un prospectus ? »

Pour ce salaire et ce temps de travail, c’était plus que faisable. Je pouvais prendre un autre emploi à mi-temps pendant le week-end. Mais plus important, j’avais déjà 25 ans passés – selon ma nouvelle identité – et je ne pouvais pas rester ouvrier de chantier pour toujours.

« Tiens. »

Le contremaître me tendit un papier et comme je le lisais, un léger sourire fendit mon visage.

« Si je bosse cinq jours par semaine là-bas, je ne pourrai venir ici que le week-end, ça ira pour toi ? »

« Huhuh. Je ne me permettrais pas d’entraver un futur brillant tel que le tien, hein ? Quand tu porteras un beau costume noir, n’oublie pas de demander à voir ma fille, tu entends ? »

« Pas besoin. Je suis presque sûr qu’elle te ressemble un peu trop… »

« Que… ?! Tu vas avoir une sacrée surprise en la voyant… »

Je me contentai de glousser en imaginant que maintenant, sa fille était concernée.

 

*

 

« Cette profession concernant la protection personnelle est complètement différente d’un travail de Mercenaire !! Nous privilégions la loyauté plus que l’argent… »

Ce type gigantesque chargé de jauger les recrues potentielles ne faisait pas son job, il était en plein milieu d’une explication se rapprochant de la discipline militaire. Il criait, criait et criait encore.

C’était sûrement efficace sur d’autres recrues parce que je les voyais trembler imperceptiblement mais pour ma part, je ne le trouvais pas effrayant pour un sou, étrangement. Non, c’était plus adorable qu’autre chose, comme regarder un poussin s’égosiller ou un truc du genre.

« Vous avez compris ?! »

« Oui, monsieur !! »

« Je ne vous entends pas !!! »

« Ouuuuiiiii, monsieur !!! »

À ce moment seulement hocha-t-il la tête, satisfait, avant de continuer.

« Tout d’abord, ne vous méprenez pas, vous n’avez pas besoin de posséder uniquement un bon physique pour devenir un bon garde du corps. Laissez-moi vous faire une petite démonstration. Oii, toi. »

Il me désigna. Ce qui signifiait que la démonstration allait me concerner et je ne pouvais pas dire si j’étais celui qui manquait de chance… ou si c’était lui.

« Monsieur. »

« Avance. »

« …Monsieur. »

« Approche ! »

Je m’avançai comme il me le demandait. Puis je courus vers lui comme il me l’ordonnait aussi. Aussitôt que le contact fut établi, il attrapa mon poignet et tenta de me soulever par-dessus son gigantesque corps.

« Uh ? Euh-ah-ahck !! »

Peut-être était-ce une mémoire musculaire, je ne savais pas. En réponse à son geste, je me saisis de lui et l’éclatai violemment au sol après l’avoir fait tournoyer dans les airs.

Kwahng !!

Le type resta étendu au sol, inconscient, les yeux clos. Un silence lourd s’abattit sur les lieux.

« Huh… »

« C’est dingue… »

Il devait représenter l’atout suprême de leur société parce que tous les employés qui arrivèrent pour vérifier comment se passait le recrutement stoppèrent net, la mâchoire pendante.

Et ce fut ainsi que je me fis embaucher avec succès.

 

*

 

Ce salaire et ce temps de travail étaient une arnaque totale. Je travaillai pour un mois complet et courus partout comme un dingue ; et la paye ne dépassa pas les 2200 $. C’était bien peu par rapport à ce que j’attendais mais le travail en lui-même était sympa et je décidai de rester un moment.

Une autre raison ? Je possédais apparemment un corps vraiment très résistant, ce qui signifiait que j’avais besoin d’extrêmement peu de sommeil et que je ne tombais pas malade non plus.

Il y avait ce moment où je devais protéger un politicien et où on lui avait jeté un œuf. Et puis il y avait ce cas, quand j’ai empêché quelqu’un de monter sur la scène le jour d’un grand évènement. Merde, j’ai même pourchassé le prétendu plus grand fan – comprenez stalker – d’un certain groupe féminin.

Le plus important, c’était que j’avais sauvé l’honneur du groupe.

Juste après, une des chanteuses me demanda mon numéro de téléphone et je me surpris à me demander si c’était un rêve. Peu sûr de ce qu’elle voyait en moi, elle me demanda alors si j’aimerais devenir son ‘manager’. Elle s’appelait Yu-Ah, au fait. Une fille vraiment mignonne.

« Pas intéressé. D’ailleurs… »

« J’ai demandé au directeur et on peut t’offrir 3500 $ par mois. »

« …Pourquoi le salaire d’un manager est-il si élevé ? »

« Eh bien~ parce que je suis sûr que tu feras un super boulot. Et puis j’ai demandé vraiment gentiment, tu sais ? »

Je me demandais comment une idole de groupe musical qui commençait à peine à être connu pouvait faire ce genre de choses, mais les mots qui suivirent m’arrêtèrent net.

« Et le directeur est mon oncle, aussi. »

Et dans ce cas, pourquoi ne pas profiter, hein ?

« Je prévoyais de démissionner prochainement, de toute façon. Oh, bah… Même si je le fais pendant un an, mon chômage ensuite avoisinera les 2500 $ et si on considère mon âge… Tu sais comment ça marche, hein ? Les histoires des mecs comme moi. »

« Quel âge as-tu ? »

« …Eh ? »

« Ton âge. »

Je ne pouvais pas me souvenir après avoir entendu cette question d’un seul coup. Alors je me mis à réfléchir avant de répondre.

« J’ai 25 ans. »

« Fut. Tu es obligé de réfléchir pour te souvenir de ton âge ? »

Je gloussai légèrement pour faire passer ça pour une farce.

 

*

 

Deux ans s’écoulèrent et j’étais désormais un manager de groupe musical.

Bien entendu, ce n’était pas comme si j’étais incompétent. Comme si je possédais des compétences cachées dans le passé, aussitôt mon permis en poche, je devins immédiatement le meilleur conducteur de la boite, assez pour étonner tout le monde. Et ma chance était plutôt bonne ; à chaque fois que j’apparaissais à la télévision, c’était un franc succès.

Grâce à ça, je reçus une promotion et devins directeur de département tout en restant manager du groupe.

Le travail était intense mais avec l’augmentation de salaire, je pus finalement profiter d’une vie plus que décente.

« Oppa. Tu veux aller à une fête avec moi, aujourd’hui ? »

C’était un certain jour.

Comme nous rentrions à la maison après avoir enregistré le premier titre de l’album solo de Yu-Ah, elle me posa cette question d’un seul coup, ses joues légèrement rouges.

« Quelle fête ? »

« Il y a une grosse fête aujourd’hui, tu sais ? J’ai eu de la chance et j’ai pu avoir une invitation. »

« Ok, c’est quoi ? »

« C’est la fête d’anniversaire de Yu Sae-Jung unni. »

« …Yu Sae-Jung ? »

Ce nom me semblait familier. Non – si ce n’avait pas été le cas, je n’aurais pas été normal. Elle était la femme la plus célèbre de Corée, après tout.

Comme si elle attendait vraiment ce moment, Yu-Ah avait les yeux qui brillaient.

« Oui. Tu le sais, non ? J’ai fait cette émission il n’y a pas longtemps, tu t’en souviens ? J’ai entendu qu’il y aurait une fête et j’ai demandé si je pouvais venir, et…et… elle m’a donné une invitation ! En plus, j’en ai une autre ! Alors ? Tu viens avec moi, hein ? »

« …Hmm. »

Je prétendis me trouver face à un dilemme mais ma décision était naturellement déjà prise.

« Bon, puisque tu me le demandes, alors ouais. »

Je lui souris adorablement en écrasant l’accélérateur.

 

***

 

À bord de la fierté du Monstre, le célèbre yacht, une fête battait son plein. Des projecteurs spectaculaires aux délices servis depuis les quatre coins du monde, de la musique dernier cri aux serveurs encore plus classes ; cette fête, que les participants ne pouvaient s’empêcher de complimenter à tout-va, avait été préparée pour une seule et unique personne.

Il s’agissait de Yu Sae-Jung, la future héritière du conglomérat de l’Aube et directrice de la Tour de l’Aube et du Monstre.

Elle était exactement le type de femme à posséder le poids financier et social pour tenir ce genre de fête, après tout.

« Eh bien, notre Sae-Jung va bientôt avoir trente ans, hein ? »

« Ouah. Mais c’est vrai… »

Après avoir entendu Hazeline lui annoncer un fait toujours un peu douloureux, Yu Sae-Jung feignit un choc et claque légèrement ses mains. Yu Baek-Song se faufila rapidement dans l’interstice.

« Et peu après, quarante. »

Mais ce coup-ci, c’était un peu bas et Hazeline fronça les soucils.

« …Mais toi aussi, tu as quarante ans, n’est-ce pas ? »

« Pas si on compte en années Soo-in. »

« Dans ce cas, moi non plus. »

« Mais les Elfes ne vivent pas si longtemps ? »

« Je peux vivre jusqu’à 120 ans sans problème. »

L’espérance de vie des Elfes était 50% plus élevée que celle d’un humain. Et collant avec leur réputation de la race des beautés, le vieillissement des Elfes était bien, bien moins sévère que celui d’un humain, même aux portes de la mort. Ce n’était pas pour rien qu’on disait pour plaisanter qu’un Elfe avec des rides n’était qu’à quelques jours de son trépas.

« Et tu vas faire quoi pour ça, mademoiselle 40 ? »

« …Encore en train d’aboyer. Tu deviens bruyante, chaton. »

Yu Baek-Song et Hazeline se regardèrent et entamèrent une guerre silencieuse et psychologique.

Cependant, leur petite altercation enfantine et amusante avait l’air, pour ceux qui observaient de loin, d’une conférence au sommet, à propos du sujet le plus important de leur vie.

« Si on peut parler de nos âges, alors le plus gros problème, c’est Kim Yu-Rin, notre capitaine. Elle n’est pas si différence d’Hazeline et elle n’est pas une Elfe ou une Soo-in, en plus. »

Yi Hye-Rin ricana tout bas, fière d’avoir amenée Kim Yu-Rin dans la conversation et attendant de voir ce que ça allait donner. Cette dernière était occupée à engloutir autant de nourriture qu’elle parvenait à le faire, un peu plus loin. Bien sûr, elle se laissa surprendre par cette remarque et toussa en se tapotant la poitrine, comme si c’était descendu par le mauvais trou.

« …Keuuuh ! P… Pourquoi est-ce que tu parles de moi, d’un seul coup ? »

« Parce qu’on s’inquiète pour toi ! Peut-être pas un mariage, mais que dirais-tu de sortir avec quelqu’un ? Tu ne vas pas en rajeunissant, tu sais. »

Mécontente de n’avoir rien à rétorquer, tout ce que Kim Yu-Rin put faire fut de fixer Yi Hye-Rin en silence et en serrant les dents. Et en toussant encore un fois en passant. Joo Ji-Hyuk s’éclaircit la gorge et se décida à intervenir.

« Eh bien, ça devrait aller, mademoiselle Yu-Rin est toujours très belle. »

« …Qu’est-ce… ?! Toi, tu es le mari de qui, encore ? »

« Non, je dis juste que… »

« Combien de fois t’ai-je dit de ne pas regarder d’autres femmes que moi ?! »

Yi Hye-Rin pinça les joues de Joo Ji-Hyuk et le força à tourner sa tête vers elle.

Yu Sae-Jung les regarda faire en se souvenant de son passé heureux, les yeux emplis de tristesse. Puis, pour une raison inconnue, elle sentit ce quelque chose de familier lui donner le vertige.

Et il y avait un homme, debout là-bas, qui lui semblait effectivement « familier ». Il regardait autour de lui d’un air un peu perdu comme s’il participait à une fête de cet acabit pour la toute première fois.

Visiblement fascinée sans s’en rendre compte, Yu Sae-Jung sentit ses pieds bouger.

Peu après, elle se trouvait suffisamment près pour le toucher.

« Oppa~ »

Quelqu’un d’autre apparut et lui prit la main. Choquée, Yu Sae-Jung recula de quelques pas. Et les deux nouveaux arrivants découvrirent sa présence à cause de ça.

« Ah, Sae-Jung unni ! »

La nouvelle venue la salua joyeusement. L’homme qui ‘lui’ ressemblait tant inclina légèrement la tête.

« Uh, uh… »

« Quelque chose ne va pas ? »

« N… Non… C’est juste que… Juste que… »

« Oh, m… Quelque chose ne va pas ? »

Malheureusement, Yu Sae-Jung ne parvint pas à sortir la moindre question avant de se forcer à effectuer une retraite, loin d’eux.

Raka
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1 NdT : Bien sûr, quelqu’un qui emploie des gardes du corps est la Personne avec un grand P qui se foutra de ton passé hein ? C’est pas comme s’il devait avoir une confiance absolue en toi, hein ? 

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10 thoughts on “MWLU : Épilogue 1/2

  1. Merci pour cette belle histoire.
    Je n’aurais pas assez de mots pour exprimer ma reconnaissance.
    Alors juste merci infiniment.

  2. Merci de nous sortir les deux épilogues en avance. Tu nous fais vraiment plaisir pour le coup :).

    Pas grand chose à dire si ce n’est qu’on se doute bien qui est le mystérieux inconnu de ce chapitre. Limite il y aurait un gros panneau indiquant qui c’est que ça ne changerait absolument rien XD !!!

    Au fait, Kim Yu-Rin n’est pas censé être un elfe ? Parce qu’il me semble qu’au début, elle était décrite comme tel. Peut-être que j’ai dû délirer mais il me semble que c’était le cas.

    Bref, plus qu’à lire le dernier épilogue pour enfin conclure cette histoire. C’est triste quand on y pense :(…

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