Lisez un peu, il y a quelques nouveautés en stock…
Auteur/autrice : Nostra

Bonjour ! Deuxième bonus, merci encore Khultima ! Par ailleurs, j’ai deux petites choses à vous dire :
– D’abord, au sujet du chapitre 50. Vers la fin, j’avais inversé les prénoms de Lita et d’Herta. C’est donc bien sûr Lita qui répond d’une voix rêveuse, et Herta qui a vu Yu Ilhan travailler l’arkanium.
– Ensuite, le titre de l’arc était à la base « I carry ». Comme j’ai horreur des anglicismes et tout particulièrement quand ils font référence à du jargon issu des jeux vidéos, je suis parti sur « tout se taper ». Parce que l’idée revient et vu la tension sexuelle que Lita s’efforce de maintenir, j’ai trouvé que ça collait bien…

Redémarrage sur les chapeaux de roue, voici un premier bonus ! Merci beaucoup à toi Khultima et tiens bon, je connais que trop bien les effets du manque de temps, faut pas se laisser faire ! Rejoins dès maintenant le collectif en faveur des journées de 48h.

Bonjour ! Ce chapitre ne fait pas partie des bonus, c’est le deuxième que je vous avais promis. Un premier bonus sera donc posté dans la soirée, et le deuxième arrivera au plus tard demain. À plus tard et bonne lecture !

Toutes mes excuses pour la sortie (très) tardive, une sciatique m’a un peu empêché de faire quoi que ce soit aujourd’hui… Comme ça a l’air d’aller un peu mieux, j’en ai profité pour finir. J’espère que vous apprécierez autant le retour d’EER que celui des couleurs moches de Noël ! 😀
Bon, comme l’a chanté Jean-Louis Aubert, voilà, c’est fini. Ça a été plus compliqué que prévu, surtout à cause de mes disponibilités aléatoires, mais j’en suis arrivé à bout. C’était le premier roman que je traduisais, et ça a été globalement un vrai bonheur. J’avoue avoir beaucoup accroché à l’histoire et m’être attaché au personnage de Woojin. Je regrette un peu que les autres n’aient pas occupé une place aussi importante, sauf peut-être pour Sunggoo et Gaebo. En tous les cas, j’aimerais remercier chaudement ceux qui auront pris la peine de me lire, ainsi que les donateurs qui, je dois l’avouer, m’ont quand même bien