TheDAB : Chapitre 5
TheDAB : Chapitre 7

Nous y voilà. Le deuxième chapitre de la journée et l’annonce qui va avec, annonce dont j’avais parlé à minuit dans l’introduction du chapitre 5.

Un deuxième ? Ouaip. Un deuxième. J’ai pris quelques chapitres d’avance et il faut bien se rendre compte qu’un LN de cultivation n’est pas quelque chose qui passe rapidement. C’est long, ça traîne, c’est un peu le style qui veut ça ; et je m’y conforme pour rester dans l’esprit cultivation. En ayant écrit ces quelques chapitres de plus, je me suis bien rendu compte de la lenteur exagérée du texte : mais c’est comme ça, un cultivateur ne prend pas de raccourcis.

Aussi, si je ne veux pas qu’il soit toujours au 2ème niveau de la maîtrise du qi dans quatre mois, il est bon maintenant que j’accélère le rythme. Moi ça va, parce que j’écris et je rigole ce faisant, mais vous ? J’ai bien peur que vous risquiez de vous lasser plus vite que prévu et surtout si vous n’êtes pas familiers de tous ces LN de cultivation dans lesquels l’histoire progresse lentement.

Alors, puisque j’ai de l’avance et pour votre plaisir, je vais donc doubler le rythme de parution, et passer à deux fois deux chapitres par semaine, sans pour autant toucher aux dates prévues.

Mais soyez prévenus : parfois je prends beaucoup d’avance, jusqu’à plusieurs semaines. D’autres fois, je prends du repos et je n’écris plus rien pendant une, voire deux semaines… Et les publications ont tendance à rattraper mon avance. Dans ce cas, je me permettrai de ralentir à nouveau les publications à une par jour prévu. …Le temps de me refaire une petite avance.

Faut pas croire, c’est un combat de chaque instant de prévoir tout ça pour vous 🙂

Donc voilà, voilà.

Comme annoncé, le deuxième chapitre du jeudi !

 


 

 

Chapitre 6

Le bruit court que je vais perdre ?

 

Complètement perplexe face à une façon de parler si directe et exempte de manières, Xiao Jie resta immobile pendant quelques secondes. Puis, retrouvant ses esprits, il fit un geste de la main en serrant les dents et envoya Shi Kun voler à nouveau au bas des escaliers et directement hors de la pagode.

La porte se referma d’un coup sec derrière lui. Shi Kun ne put s’empêcher de se sentir malmené par le comportement ce cet Ancien. D’abord il l’avait autorisé à entrer, puis il leur avait crié de sortir en les poussant avant de le faire remonter lui, le regarder comme s’il allait le tuer… Tout ça pour lui proposer de lui offrir de l’alcool et le renvoyer sans dire un mot de plus !

« Il est décidément étrange… » Shi Kun se gratta la tête et aperçut Shao Kang qui ne parvenait pas à se décider à rentrer et tournait en rond dans les environs. Lorsque ce dernier se rendit également compte de sa présence, il accourut vers lui.

« Eh ! Que s’est-il passé là-haut ? Tout va bien ? » Shao Kang s’inquiétait sincèrement de ce que l’Ancien aurait pu faire dans un moment d’impulsivité. Voyant celui qu’il avait lui-même mené à ce qu’il s’imaginait déjà être une catastrophe, il soupira et s’enquit de sa condition.

« Eh ? Oui. Je ne sais pas. Je pense ? Je crois que je viens de me faire inviter à boire de l’alcool, alors je suppose que ça veut dire que tout va bien ? » Shi Kun ne parvenait toujours pas à saisir la nature profonde des actions contradictoires de l’Ancien et ne pouvait que supposer comprendre ce qui s’était déroulé là-haut.

Shao Kang fut pris au dépourvu et son visage se tordit légèrement.

« In… Invité à boire de l’alcool ? Mais… » Il ne pouvait pas imaginer la façon dont Shi Kun avait bien pu se débrouiller pour parvenir à ses fins. Après tout, ils étaient montés tous deux dans ce but : présenter à l’Ancien un corps particulier qui pouvait cultiver en absorbant de l’alcool. Pour une raison obscure, il les avait repoussés sans leur demander plus d’explication.

Et voilà que Shi Kun avait tout de même réussi à tirer son épingle du jeu et à faire en sorte que l’Ancien l’accompagne pour le voir consommer de l’alcool ? C’était extraordinaire.

« Mais qu’as-tu bien pu dire pour… »

« Je ne sais pas. On va boire dans deux jours, c’est tout. » Shi Kun le coupa net, sans lui laisser le temps de poser plus de question. Il n’était plus du tout d’humeur à discuter ou lui répondre ; il voulait simplement patienter deux jours et accepter l’invitation de l’Ancien, tout de même présentée d’une drôle de façon.

Mais il avait agi si étrangement depuis leur rencontre que Shi Kun ne se préoccupa pas de cette histoire de défi. Quoi qu’il arrive, il était confiant en sa capacité à boire. S’il y avait bien une chose qu’il savait faire, c’était ça !

« Je vais m’arranger pour t’autoriser à passer deux nuits chez moi, grâce à mon statut de garde de la porte de la secte, on ne me posera pas trop de questions. Je ne pourrai sans doute pas faire grand-chose de plus, mais deux nuit, ça ira. »

Shi Kun leva les sourcils.

« Oh ? Pourquoi voudrais-tu m’inviter chez toi ? »

Après tout, Shao Kang l’avait déjà invité à boire un verre, puis lui avait proposé un moyen d’entrer dans la secte, avant de lui présenter un Ancien qui allait lui aussi lui offrir de l’alcool. Il ne devait absolument rien à Shi Kun, au contraire !

« Eh bien… » Shao Kang hésita un moment quant aux mots à employer. « Je pensais t’avoir mis dans une situation embarrassante avec l’Ancien. Tout s’est bien passé à priori, mais ça aurait pu être bien pire. Rien que pour ça, laisse-moi t’inviter. »

En réalité, il ne mentait pas. Il avait eu peur de ce que l’Ancien aurait pu lui faire ; mais il n’y avait pas que ça. Il désirait également rester proche de ce personnage étrange qui pouvait cultiver en raffinant l’alcool ; il sentait qu’un tel cas particulier ne pouvait que lui apporter bonne fortune à l’avenir.

« Merci. » Shi Kun n’en dit pas plus ; tous deux se dirigèrent vers une petite maisonnette toute simple composée d’une pièce unique et d’un petit jardin privé dans lequel on pouvait à peine s’allonger.

Shi Kun eut tôt fait de faire le tour du propriétaire et finit par faire une grimace.

« Quelque chose ne va pas ? » Shao Kang remarqua immédiatement l’expression gênée de son invité et s’enquit immédiatement auprès de lui. Shi Kun regarda le plafond et fronça légèrement les sourcils.

« C’est petit, ici. Je me sens à l’étroit. Et puis je ne peux pas voir les étoiles. »

« Les étoiles ? » Pris au dépourvu par cette réponse, Shao Kang se contenta de répéter les derniers mots qui venaient de lui entrer dans les oreilles. Il ne comprenait pas la nécessité de voir les étoiles ; de plus, évidemment que c’était petit. C’était une maisonnette qui n’était pas faite pour vivre mais uniquement pour y passer la nuit et y déposer quelques affaires personnelles.

Shi Kun lui expliqua simplement la situation.

« J’ai l’habitude de dormir dehors, libre, le vent contre ma peau et le nez planté dans les étoiles. Je me sens enfermé, ici. »

« Dehors ? Ne me dis pas que… » Shao Kang n’osa pas formuler sa pensée. Shi Kun le fit à sa place ceci dit.

« Je vais dormir dans le jardin. Bon, il y a de l’herbe, ce sera plus confortable que la rue. Alors, merci pour ça. »

Perplexe, Shao Kang le regarda sortir et s’asseoir contre le mur de sa maisonnette. Puis, Shi Kun leva les yeux vers le ciel et resta ainsi, silencieux. Finalement, Shao Kang n’osa pas le déranger et finit par aller dormir lui aussi.

Le matin venu, Shi Kun, qui avait dormi assis contre le mur, ouvrit les yeux et s’étira. Il tourna la tête plusieurs fois avant de se rendre compte qu’il ne se trouvait pas dans sa ruelle. Il se souvint alors de tout ce qui s’était passé et murmura ses premiers mots de la journée.

« …Demain, à boire, hein ! Aujourd’hui, je me repose. »

Il n’avait pas faim. Étrangement, quelque chose en lui coupait tout besoin de se nourrir, mais uniquement jusqu’à un certain point. Il sentait qu’il pouvait facilement passer la journée sans manger et qu’il n’aurait pas faim avant le soir venu. Quelque chose à voir avec son dantian, sans doute. Il ne pouvait que le sentir sans aucune certitude.

« Les cultivateurs mangent de moins en moins au fil de leur progression. J’avais oublié. » Shi Kun réalisa alors que cultiver n’aurait pas que des défauts. Certes, un cultivateur devait fournir une quantité d’efforts phénoménale mais en retour, il se détachait des besoins mortels.

Au bout d’un certain temps, même la faim et la fatigue n’étaient plus que des considérations secondaires, la nourriture et le sommeil ne devenant plus qu’un luxe.

« Mais à bien y penser, c’est bien trop fatigant. Je préfère manger de temps en temps et dormir quand je suis fatigué. » Shi Kun ne voyait vraiment pas de défauts à sa vie actuelle, si ce n’était le fait que désormais, dans la rue, il ne serait plus à l’abri derrière la loi protégeant les mortels des cultivateurs. S’il croisait par malheur des cultivateurs de haut niveau qui ne lui voudraient pas que du bien, il n’osait pas imaginer le sale quart d’heure qu’il risquait de passer. Et que faire si ces cultivateurs prenaient plaisir à martyriser du mendiant et revenaient chaque jour ?

« Bon. Cet Ancien s’occupe du recrutement, n’est-ce pas ? Après avoir bu en sa compagnie, il s’ouvrira à moi. Il ne connait pas la magie de l’alcool, capable de créer des amitiés dans les pires situations. Je lui demanderai de m’accepter à ce moment. Et ensuite… Héhé… » Shi Kun esquissa un sourire satisfait. « Je pourrai me vanter d’être sous la protection d’une secte. Alors, plus personne n’osera me martyriser. Et si je ne cultive pas, alors je serai dispensé de missions pour toujours ! »

Totalement fier et convaincu de son cheminement, Shi Kun leva la tête vers les nuages. Au bout d’un moment, il voulut tout de même discuter un peu de la façon dont il devait aborder l’ancien qui allait être responsable de son recrutement et se tourna vers la maisonnette de Shao Kang.

« Eh ! Eh ? Tu dors encore ? » Il s’exclama assez fort pour que même si c’eût été le cas, ça n’aurait pas duré mais il n’obtint aucune réponse. Finalement, il se décida à se lever et à entrer dans la petite bâtisse.

Sur la seule petite table des lieux, dans un coin, il trouva un médaillon de transmission. C’était un moyen de communication commun chez les cultivateurs et il avait déjà vu certains d’entre eux les utiliser à plusieurs reprises, en ville. Même s’il ignorait totalement comme s’y prendre, il tenta le coup.

Il ramassa le médaillon et le serra dans sa main. Comme rien ne se produisit, il ferma les yeux et se concentra. Puisqu’à ce moment, il était toujours face au même résultat, il finit par abandonner et le jeta à nouveau sur la table.

« Il a dû me laisser un message avant de partir, sans se rendre compte que je ne savais pas utiliser ce truc. » Shi Kun secoua la tête d’un air désolé avant de réaliser.

« Mais oui. Il a dû retourner à son poste de garde. Je le verrai sans doute ce soir. En attendant, pourquoi ne pas me promener un peu tant qu’il fait beau ? » Sur ces belles paroles, Shi Kun quitta la maisonnette et décida d’errer un peu à l’intérieur de la secte. Après tout, il était l’invité d’un garde de la porte, que risquait-il ?

Il profita du temps clair et de cette légère brise pour se promener sur les sentiers à l’intérieur de la secte. Il savait qu’elle était gigantesque, mais ne s’attendait pas à ce qu’elle le soit autant. On aurait dit une petite ville à l’intérieur de la grande. De peur de se perdre, Shi Kun tenta de se souvenir de lieux importants devant lesquels il passait mais plus il avançait, plus tout se ressemblait.

Au bout de presque deux heures de marche et alors qu’il s’imaginait volontiers faire une petite sieste à l’ombre d’un arbre, Shi Kun regarda autour de lui.

« Il est temps de rentrer. Je dormirai après. » Mais il eut beau se tourner et se retourner, il ne parvint pas à se situer. C’était comme s’il était dans un autre monde.

« Ah, que faire, que faire… » Shi Kun se gratta la tête pendant un instant avant de hausser les épaules. Il alla à la rencontre d’un petit groupe de disciples afin de leur demander le chemin.

« Salutations. » Shi Kun connaissait malgré tout l’étiquette et les salua poliment. Après tout, il ne faisait pas partie de la secte et ne voulait pas leur manquer de respect. Lorsqu’ils le virent arriver et leur adresser la parole, ils froncèrent légèrement les sourcils.

« Que… Qui es-tu ? Pourquoi es-tu habillé comme un mendiant ? » L’un d’eux lui adressa immédiatement la parole sans prendre le temps de le saluer. Shi Kun n’en fut pas pris au dépourvu : il avait une profonde habitude du manque de respect envers les mendiants. Même s’ils étaient tous humains et que les cultivateurs ne pouvaient rien leur faire directement, cela ne les empêchait en rien de leur montrer toute la dérision dont ils pouvaient faire preuve.

« Le garde de la porte de la secte Shao Kang m’a invité à passer deux jours chez lui. Je me suis perdu et j’aimerais retrouver sa maison. »

Le disciple qui venait de parler haussa les sourcils, rapidement imité par les quelques autres qui l’accompagnaient.

« Shao Kang ? Oui, il fait partie des gardes de la porte. Tout le monde connait les gardes. Après tout, nous devons les rencontrer à chaque fois que nous entrons ou sortons de la secte. Tu dis que tu es un de ses amis ? » Son ton se fit moins provocateur mais il toisa tout de même Shi Kun de haut en bas à plusieurs reprises, comme s’il ne pouvait pas croire que Shao Kang eut un ami qui ressemblait tant à un mendiant.

« Ah ! Tu le connais ! » Shi Kun afficha un large sourire. « Alors tu sais où il habite ? »

« Oui… Mais… » le cultivateur hésita, ne sachant plus trop s’il devait lui répondre directement et le laisser partir ou l’ignorer à cause de son accoutrement. Après tout, il mentait peut-être. Mais après quelques instants de réflexion, ses yeux s’illuminèrent.

« A… Attends… Shao Kang ? Le disciple Shao Kang qui était de garde hier ? » Il sembla se souvenir d’un seul coup de quelque chose d’important.

« Oui, c’est bien lui ! Il m’a invité à boire à la taverne, nous avons fait connaissance et une chose en entraînant une autre, je me suis retrouvé à vivre chez lui jusqu’à demain. Aaaah, demain… » Shi Kun se mit à sourire béatement en s’imaginant déjà tout l’alcool que pourrait lui offrir un ancien de la secte. Certes, il avait bien fait mention d’un défi, et Shi Kun n’était pas idiot et avait compris de quoi il retournait ; cependant, il s’en fichait totalement. S’il devait lui présenter des excuses publiques pour avoir le droit de se faire offrir à boire, alors c’était plus que rentable. Un mendiant n’avait de toute façon aucune face et en tant que tel, Shi Kun avait l’habitude de se faire rabaisser depuis des années, cela ne l’atteignait absolument plus.

Le disciple à qui il avait demandé son chemin réalisa et fit même un pas en arrière. L’un de ses amis lui tapota les côtes avec le coude. « C’est lui, hein ? Je suis sûr que c’est lui. »

Shi Kun tourna la tête vers lui et haussa un sourcil. « Moi ? Ben… Oui, c’est moi. Mais moi, quoi ? »

Il ne pouvait pas imaginer que l’information eut déjà fait tant de chemin. Près de la moitié de la secte était déjà au courant du défi que l’Ancien lui avait lancé la nuit précédente. Par des moyens inconnus, il avait fait courir la rumeur qui s’était alors propagée comme un feu de forêt.

Évidemment, Xiao Jie avait exagéré la chose et tourné les faits à son avantage. Il avait sournoisement fait comprendre que ce mendiant, qui n’était même pas un cultivateur, l’avait ouvertement insulté sous son propre toit, allant jusqu’à dire des horreurs sur ses ancêtres.

Bien entendu, Xiao Jie exagérait complètement. Mais ceux qui le connaissaient bien savaient que son Dao était le Dao de l’honneur public et qu’il le suivait avec une ferveur incroyable. Il cultivait en gagnant de l’honneur face à autrui – encore plus face à une foule ; alors chaque occasion était bonne à saisir même s’il devait pour ça faire les choses de façon peu orthodoxe ou se rabattre sur des proies plus faibles en leur imputant des crimes qu’ils n’avaient pas commis.

Il avait en effet compris depuis bien longtemps que l’honneur qu’il poursuivait était public. Sa propre conscience ne lui faisait jamais défaut, son principe était le seul qu’il daignait suivre.

Alors, lorsqu’il avait fallu trouver une bonne raison de pouvoir défier un mendiant de la sorte, il n’avait pas lésiné. De fait, en quelques heures, la moitié de la secte voyait maintenant Shi Kun comme un mendiant malpoli et totalement ignare des règles basiques de savoir-vivre, le genre de personnage qu’il était bon de remettre à sa place une bonne fois pour toutes.

Aussi, le disciple qui venait de se rendre compte de l’identité de la personne face à lui resta bouche bée pendant quelques instants avant de se demander si tout ça était bien réel. Après tout, Shi Kun venait de l’aborder en le saluant poliment, allant jusqu’à assembler ses mains devant lui en signe de respect. Comment un tel personnage aurait-il pu se montrer si irrespectueux face à un Ancien ?

Finalement, perdu dans ses pensées, il ne parvint qu’à bafouiller quelques mots.

« Le… Le bruit court que tu vas perdre. »

« Eh ? Que je vais perdre ? Mais comment puis-je perdre ? Me faire offrir de l’alcool est la seule victoire qui m’intéresse ! »

Raka
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24 thoughts on “TheDAB : Chapitre 6

  1. J’aime beaucoup comment ton histoire démarre Raka. Tu as su pour l’instant garder l’univers et la culture, tout en instorant des nouvelles choses. Ce qui me plait c’est que je vois des gens intelligent et une certaine hiérarchie respectée. Il n’y a pas eu de décisions débiles et pour l’instant pas d’incohérences dans les décisions des perso. J’attends de voir comment tu vas réussir à te sortir des novels de cultivation classique. J’espère que tu as des gammes de pouvoir bien définit en tête avec des arcs originaux, car c’est vraiment ce qui pêche dans les novels classiques. Gl

  2. Aussi petit conseil : écrit avant tout pour toi et pas pour nous. Si tu écris un truc pour toi, que tu crées quelque chose que tu veux c’est là ou nous on va kiffer. L’exemple est Game of thrones, les showrunners n’ont fait que penser aux gens qui regardent, ils ont fait des grosses explosions avec des évènements « innatendus ». Mais ils ont délaissé le show et ca a donné de la merde. En tout cas re bonne chance

    1. Ton conseil est bon a prendre mais pour philosopher un peu : est ce qu’un auteur doit écrire que pour lui pour bien écrire ?

      Il est vrai qu’on prends plus le temps de s’appliquer qu’on y prends plaisir mais ce plaisir peut provenir de celui de son public ;).

      unPassant

  3. Merci pour ce chapitre.

    Étant donné que j’ai rattrapé mon retard depuis longtemps sur TDG et qu’actuellement, je suis en train de lire BTTH, je pense être un habitué de ce genre de LN ^^. Du coup, la lenteur ne me gêne absolument pas et je suis plutôt content de voir que tu prévois de multiplier le nombre de chapitre de ce LN :). Bref, je suis chaud pour ça.

  4. Bonjour,
    C’est quoi le nom de version anglaise ?
    Je n’arrive pas à trouver.
    Et j’aime bien prendre un peu d’avance en lisant en anglais puis revenir à la version fr.

    1. Tu ne trouveras jamais puisque c’est un LN créé par Raka. Du coup, tu vas devoir faire comme tout le monde c’est-à-dire attendre la sortie de chaque chapitre au rythme que s’est imposé Raka. Je sais, c’est dur mais pas le choix pour cette fois ^^.

  5. Salut Raka, merci pour ce nouveau LN qui semble très prometteur 🙂
    Je suis un peu déçu de ne plus suivre les aventures d’Osumba, car l’univers était vraiment bien pensé, j’espère qu’on y retournera un jour ou l’autre !

    Je te souhaites d’être bien inspiré pour celui là, encore merci ;).

    1. On y retournera un jour ou l’autre oui. Il n’est pas abandonné.
      Je voulais juste m’en détacher un peu le temps de plonger dans une culti plus « terre-à-terre », pour pas mélanger les deux.

      Une fois que les deux univers seront bien clairs dans ma tête, j’ai gardé le mercredi de libre pour continuer.

  6. Par rapport a la forme d’un LN de cultivation le meilleur selon moi est WDKQ a chaque fois que le heros s’améliore on se dit qu ce n’était qie me debut des événements l’aidant a mon monter et on lit les 1500 chap en 15 j.Le LN suit le principe que le mc a chaque monte en niveau il change pour aller dans des endroits de plus en plus puissants de sa ville de campagne au sommet de son pays au chap 300 ou on se dit que c’est le debut car il affronte les elites des pays a a peine 1/4 du ln

      1. Tu prends en exemple TDG et BTTH et tu as exactement ce genre de scénario. La forme change mais le fond reste le même et c’est ça qu’on aime bien ^^.

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