Rebirth - Chapitre 445
Rebirth - Chapitre 447

« Combien y-a-t-il de ‘t’ dans Star Wars ? 16 voyons. Car ♫Taaataaaaatatatataaaaaataaaaatatatataaaaaaaataaaaaatatatataaaaaaaaa♫ »

Expression du jour : « Hahaha, je suis sûr que je vous ai fait compter »

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Chapitre 446 – Le Véritable Niveau de Bayonet

 

Nie Yan avait glissé sa main dans la nuisette de Xie Yao, tâtonnant jusqu’à arriver à l’objet de son désir. Et une fois l’un de ces voluptueux atouts agrippé, il avait commencé à le masser sans la moindre culpabilité.

Xie Yao, quant à elle, se sentait complètement impuissante face au plaisir qu’elle ressentait.

Maintenant qu’il connaissait ses points faibles, Nie Yan avait utilisé toutes ses connaissances et ses talents pour la faire gigoter et grogner de plaisir.

Face à ce comportement des plus déplacé, la jeune fille avait fini par jeter un regard faussement colérique pour cacher son embarras.

Voyant ça, Nie Yan avait doucement rigolé avant de dire.

« Très bien, j’arrête pour aujourd’hui, bien que je t’aurais bien dévoré toute crue. Allons nous laver et nous préparer. »

En entendant ces mots, Xie Yao s’était rapidement levée du lit, comme pour éviter de retomber dans un piège, mais en vérité, les paroles de Nie Yan lui avaient laissé une trace de joie sur le visage.

De son côté, le jeune homme trouvait l’apparence de la donzelle plus qu’attirante.

« Je vais me laver en premier. » Avait-elle rapidement dit en partant d’un pas pressé, n’osant pas croiser son regard.

Même après être sortie de la salle de bain plusieurs minutes plus tard, ses joues étaient encore rouges. En la voyant apparaître une nouvelle fois, Nie Yan n’avait pas pu s’empêcher de se dire qu’il en aurait bien pris un morceau.

Bien qu’il soit en plein dans l’âge bête, physiquement du moins, il savait rester dans les limites de son accord avec Xie Jun. De plus, il voulait aussi se prouver à lui-même ainsi qu’aux autres, les autres étant surtout le Dragonsoar Financial Group et le Glory Financial Group, qu’il était digne d’elle. Bien qu’il profite du moment de temps à autre, il savait se retenir. Après tout, ils étaient tous les deux encore jeunes. Xie Yao n’avait que 18 ans. Et officiellement, lui aussi, bien que mentalement, il ait déjà pas loin de trente ans.

Xie Yao comprenait aussi cela. C’était pour ça qu’elle remerciait intérieurement le jeune homme de retenir sa fougue.

Après qu’ils aient tous les deux fini de se laver, Nie Yan s’était tourné vers Xie Yao et lui avait dit.

« Je dois me rendre dans l’entreprise de mon père. J’ai une affaire en cours que je ne peux pas repousser. »

Un sentiment de peur et d’anxiété avait soudain assailli la jeune fille. Après la tentative de kidnapping, elle était devenue inconsciemment bien plus dépendante de Nie Yan. Sans lui à ses côtés, elle avait peur de ce qui pourrait se passer.

« Ne t’inquiète pas. Tu es en sécurité ici. Les choses pourraient devenir dangereuses et compliquées si tu étais vue en public, donc je ne peux pas vraiment t’emmener avec moi. Si quelque chose arrive, appelle-moi immédiatement. » Avait dit Nie Yan pour la réconforter.

« Hmmm… Ok. Dépêche-toi, hein. » Avait fini par répondre Xie Yao avec une pointe d’hésitation. Elle savait que Nie Yan avait des affaires urgentes à régler et elle ne voulait pas devenir une entrave à son travail.

Après s’être dit au revoir, les deux tourtereaux s’étaient alors séparés, Xie Yao restant tranquillement à la maison alors que Nie Yan prenait sa voiture pour rapidement se rendre à l’entreprise de son père.

Le Nie Family Financial Group était en pleine expansion sous la supervision du père de Nie Yan. Ayant déjà mis en place trois entreprises subsidiaires et changé de nom pour se renommer World Bloc, les affaires avaient commencé à fleurir à toute vitesse. À cette vitesse, World Bloc allait rapidement devenir un puissant groupe financier.

Plus récemment, grâce à l’introduction de Tuoba Time par son fils, monsieur Nie avait réussi à avaler d’énormes parts des actions de Tuoba Hongye. En plus de ça, World Bloc avait aussi acquis 3% du Century Financial Group. Bien que cela puisse sembler insignifiant, c’était en réalité assez considérable si on prenait en compte le fait que Cao Xu, le président du Century Financial Group, ne contrôlait que 52% de son entreprise.

La soudaine ascension de World Bloc attirait bien des regards, et tout particulièrement du fait de sa rapide expansion dans le monde de la réalité virtuelle, en faisant beaucoup de jaloux. War God Tribe contrôlait déjà cinq forteresses dont trois étaient opérées entièrement par World Bloc alors que deux autres avaient été louées à deux partenaires d’affaires proches. Ces quartiers des affaires étaient de véritables usines à fric et les sommes brassées chaque jour ne faisaient qu’augmenter.

Si War God Tribe maintenait sa croissance explosive et que le nombre de forteresses sous son contrôle continuait d’augmenter, son avenir serait plus que brillant, surtout avec la popularité de Conviction ne cessant d’augmenter.

War God Tribe était aussi directement liée à Asskickers United. Donc, aussi longtemps que le titan de Calore ne tomberait pas, la position de la guilde de World Bloc dans Nisode resterait assurée. De plus, comme Asskickers United appartenait à Nie Yan, il n’y avait pas de risque que leur alliance se termine abruptement.

En plus de ça, Nie Yan prévoyait de donner les droits de certaines forteresses à World Bloc une fois qu’Asskickers United en aurait suffisamment. D’ici cinq ans, les fondations de World Bloc seraient alors extrêmement stables.

Le hall de réception de World Bloc était vraiment spacieux et décoré de façon luxueuse. Le père de Nie Yan et un actionnaire étaient en train de marcher avec une vingtaine de gardes du corps derrière eux. À ce moment, un jeune homme habillé avec une tenue décontractée avait traversé l’entrée principale. Il semblait avoir dans les 28 ans et avait une cicatrice effrayante sur le front. Sa posture était stable et il avait une aura féroce et sauvage autour de lui.

Cette personne était, bien évidemment, Bayonet. Après être entré, il s’était dirigé vers la réception.

La réceptionniste était une jeune femme dans la vingtaine. Son visage avait pâli lorsque Bayonet s’était approché. Elle s’était penchée en arrière inconsciemment, puis, après s’être rappelée de ses devoirs, elle avait poliment salué l’arrivant tout en demandant.

« Bonjour monsieur. En quoi puis-je vous aider ? »

Bien que l’apparence terrifiante du jeune homme lui ait fait peur, elle ne pouvait pas manquer à son devoir.

Bayonet avait bravé bien des tempêtes et son corps se souvenait de certaines. Il en était arrivé à un point où il ne pouvait pas réellement contenir toute son aura meurtrière, même s’il le voulait.

« Je cherche quelqu’un. Est-ce qu’il y a une personne nommée Nie Yan ici ? » Avait-il demandé sur un ton bourru. Sa voix avait été suffisamment forte pour que le père de l’intéressé l’entende.

En entendant le nom de son fils, le père de Nie Yan s’était retourné et avait froncé les sourcils en voyant la personne qui le demandait. Ses années de service militaire lui avaient appris à reconnaître un homme dangereux quand il en voyait un, et ses sens lui disaient que l’homme devant le comptoir de la réception représentait un danger mortel. Il pouvait ressentir une aura meurtrière autour de lui alors qu’il se trouvait à presque six mètres de distance.

Pourquoi une personne comme lui recherche Yannounet ? S’était-il demandé avec une pointe d’anxiété. Si l’autre parti avec de mauvaises intentions, cela voudrait dire que son fils était en danger. Après avoir réfléchi un moment, il avait murmuré à ses gardes du corps.

« Ne le laissez pas s’échapper. Capturez-le. »

Sa première pensée avait été de capturer cet homme et de l’interroger pour savoir ce qu’il voulait à son fils.

À ce moment, six hommes musclés s’étaient détachés du troupeau de gardes du corps et s’étaient dirigés vers Bayonet. Ils étaient tous des vétérans avec beaucoup d’expérience dans l’art du combat.

Alors que Bayonet attendait la réponse de la réceptionniste, il avait détecté ce détachement se diriger vers lui. Il s’était tourné dans leur direction et avait froncé les sourcils. Est-ce que Nie Yan les a envoyés pour me tester ?

Dans tous les cas, la solution était simple. Tout ce qu’il avait à faire était de les remettre à leur place.

Lorsque la réceptionniste avait remarqué que la situation prenait une tournure dangereuse, elle avait immédiatement reculé de peur. Elle n’avait aucune idée de ce qu’il se passait.

Les six gardes du corps avaient encerclé Bayonet, ne lui laissant aucune échappatoire.

« Qui êtes-vous et pourquoi êtes-vous venu aujourd’hui ? » Avait demandé l’un des gardes du corps. Sa peau était basanée et il faisait dans les 1,90m.

« Je suis venu à la rencontre de Nie Yan. » Avait répondu Bayonet.

« Vous avez une pièce d’identité sur vous ? » Avait alors demandé le même garde sur un ton grossier. Il cherchait clairement une excuse pour se battre.

« Aucune. » Avait répondu Bayonet avec un sourire féroce. Il avait déjà inspecté les alentours. Nie Yan n’était pas en vue. Ces gardes du corps avaient donc probablement été envoyés par quelqu’un d’autre.

Entendant cette réponse, le garde avait tendu la main vers l’épaule de Bayonet en disant.

« Pourquoi ne pas nous accompagner jusqu’au poste de police dans ce cas ? »

Alors que la main s’approchait de son épaule, Bayonet avait réagi au quart de tour, l’esquivant avant de frapper le garde à la saignée. Et avant que ce dernier ne puisse réagir, il avait senti son bras s’engourdir avant de pendouiller mollement sur son côté.

Alors que l’homme voulait riposter, Bayonet lui avait donné un coup sec dans le cou avec la tranche de la main. Avec un bruit sourd, l’énorme garde du corps s’était alors écroulé au sol, inconscient.

Voyant leur camarade se faire mettre au tapis en deux coups, les cinq autres gardes du corps avaient immédiatement sauté sur le fautif. Leurs mouvements étaient décisifs, prouvant que leur expérience militaire n’était pas superflue.

Mais avec une agilité foudroyante, Bayonet avait rapidement frappé un garde dans l’estomac. La douleur de la frappe avait été telle que le garde s’était retrouvé au sol, en pleure, recroquevillé comme une crevette. Un coup normal n’aurait jamais pu provoquer une telle réaction. C’était juste que la force derrière chacun des coups de Bayonet était loin d’être normale.

Paume, épaule, genou, chaque partie du corps de Bayonet était comme une arme acérée. Aucune de ses actions ne comportait le moindre mouvement superflu. Face à ces gardes du corps, il lui suffisant d’un ou deux coups pour les mettre hors-jeu. Surtout que ses cibles étaient généralement les points faibles du corps humain. Son style de combat était juste trop efficace.

Face à ce traitement, il n’avait pas fallu longtemps pour que les six gardes se retrouvent au sol.

À ce moment, Bayonet s’était redressé avec un petit sourire condescendant. S’il n’avait pas pris en considération le fait qu’il se trouvait dans l’entreprise du père de son nouvel employeur, il aurait pu finir plus tôt, et surtout, il y aurait eu six morts au lieu de zéro. Mais même ainsi, mettre au sol six personnes en 16 secondes ? Probablement l’un de ses records les plus lents.

Il avait perdu son intérêt pour ce genre de combats ordinaires depuis bien longtemps déjà. Il était entraîné à tuer. Un coup, un mort. C’était son mantra.

Le père de Nie Yan avait écarquillé les yeux de choc en voyant cette scène. Il était bien au fait de la force de ses gardes du corps. Après tout, il les avait engagés pour une raison ! Et pourtant, ils avaient été dégagés à une vitesse affolante !

Bien qu’il ait encore plus de 10 gardes du corps à ses côtés, il comprenait bien que face à cet homme, ils ne tiendraient pas beaucoup plus longtemps que leurs confrères.

Il n’avait rencontré qu’une seule personne aussi forte de toute sa vie, et c’était le chef de sa compagnie dans l’armée. Cet homme avait appartenu à une unité des Forces Spéciales appelée Dard Sanglant. Mais même s’il était meilleur que ses gardes du corps, il savait qu’il ne tiendrait pas longtemps face à l’homme devant ses yeux.

À ce moment, Bayonet avait tourné son regard en direction du père de Nie Yan et des quinze personnes derrière lui. Son regard était empli de dédain, faisant passer le message que s’occuper d’eux était en-dessous de lui.

Après avoir dégluti avec difficulté, le père de Nie Yan avait rapidement pris son téléphone pour appeler son fils.

[Fils, dis-moi ce qu’il se passe !] Avait-il dit après lui avoir expliqué la situation.

[Oh, ça. C’est un ami à moi. Je lui ai demandé de devenir mon garde du corps. J’arrive dans un moment pour en parler de vive-voix.] Avait répondu Nie Yan.

Le père de Nie Yan avait été pris de court en entendant ça. Quelqu’un d’aussi fort aurait probablement pu être classé parmi l’élite de l’élite dans l’armée. Une personne de ce genre requérait probablement un salaire de 100.000.000 de crédits par an pour être garde du corps ! Comment est-ce que son fils avait réussi à convaincre cette véritable machine de guerre de devenir son bouclier ? C’était juste trop choquant !

 

 

AlthanMaiel
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7 thoughts on “Rebirth – Chapitre 446

  1. Ton tatataaaaataaaa bousille la mise en page sur mobile.

    La copine ne Nie Yan s’est lavée, pas lacée.

    Et le mercenaire a donné un « coup sec dans le cou ». Pas dans le « coup ».

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