MWLU : Chapitre 42 Bonus
MWLU : Chapitre 44 Bonus

Et encore un…
Allons-y gaiement !

Merci à Ghyslain, ainsi qu’à Thomas, qui a osé me dire, je cite : *tête d’osumba* bon courage ^^

 

Un chapitre sur trois, check ! Il en manque encore deux, peut-être un ce soir, peut-être pas 🙂

 


 

〈 43. Un petit pas (1) 〉

 

« …Oh, mon dieu. »

À l’intérieur de la Forge de l’Orque. Même si on appelait ça une « forge », ce n’était en rien différent d’une armurerie. Il avait été décidé que le rez-de-chaussée allait être converti en café, pendant que l’étage du haut servirait à Sae-Jin.

Les clients de la Maison de l’Alchimie ou de la Forge qui n’avaient rien d’autre à faire que d’attendre pouvaient aussi bien le faire en buvant un café.

Hazeline pensait bénéfices, en tout état de cause.

Actuellement, il était à peine midi. Les Chevaliers étaient généralement en pleine chasse aux monstres à cette heure-ci. Cela dit, il y en avait une grosse masse dans le café à cet instant précis.

Bien qu’il ne s’agissait pas là de Chevaliers connus comme les niveaux moyens supérieur ou plus, trop de gens présent étaient ce qu’on pouvait appeler la vraie force de frappe des Ordre – comme les niveaux moyens ou moyens inférieurs.

Effectivement, c’était toujours le début, mais Hazeline sentait que ce commerce allait devenir bien plus réputé que ce qu’elle estimait à priori. Elle ferma les yeux et épia les conversations alentours pour une minute ou deux.

« Oh, il y a un paquet de Chevaliers ici. Et regarde leur emblème. Ils ne sont pas du Corbeau ? »

Chaque Ordre avait un emblème unique blasonné avec le symbole de chaque organisation. Ces emblèmes servaient à les identifier, à voir quel Chevalier appartenait à quel Ordre.

« T’as raison. La compétition est plus dure que ce que j’imaginais. Hé, mec, je ne pensais pas que j’aurais besoin d’être interrogé avant de pouvoir acheter une arme, tu sais ? »

Une femme Chevalier se plaignait d’une plainte qui ne ressemblait pas à une plainte, tout en sirotant son café.

« Mais n’est-ce pas bien ? Je veux dire, je peux prendre un jour de congé en disant juste que si je veux devenir propriétaire d’une arme de l’Orque, il faut que je passe par là. »

« Fu-Hut. T’as raison. Je ne pensais pas non plus être libérée tout l’après-midi, juste comme ça. »

« Ouais. D’ailleurs, euh… Bien sûr, ce forgeron est sacrément compétent, mais ça veut dire que nos armes sont plutôt pourries, non ? »

Ils attendaient tous deux pour l’interrogatoire au dernier étage.

C’était un peu étrange de devoir répondre à des questions avant de pouvoir commander une arme, mais personne ne pouvait rien y faire. La demande éclatait largement l’offre, après tout. Les employés devaient convaincre les Chevaliers en leur annonçant qu’ils devaient donner une interview leur permettant de devenir le propriétaire d’une arme.

La Forge de L’Orque avait une telle réputation, entièrement gagnée grâce au tournoi. Les Chevaliers croyaient que, bien qu’il apparaisse actuellement comme un débutant au talent démesuré, dans le futur, il allait devenir la plus grosse star qui éclairerait même les cieux.

« Chevalier de niveau moyen, monsieur Joo Ji-Hyuk ? »

Une employée sortit de la porte de derrière du café et appela le client suivant.

« Oui, c’est moi ! »

Un Chevalier se leva rapidement pour répondre. Son emblème le présentait comme appartenant à l’Ordre de l’Aube.

« C’est votre tour, monsieur. »

« Oui ! »

Le dénommé Joo Ji-Hyuk suivit la demoiselle.

Wuoooooooong-

Dans l’ascenseur, il paraissait plutôt mal à l’aise.

Même s’il ne sentait rien de spécial ou quoi que ce soit de ce genre dans l’ascenseur, la légère vibration lui procurait une sensation désagréable. Son cœur palpitait un peu plus chaque seconde.

Pour un Chevalier, une arme était comme une compagne, une amie, une entité avec laquelle il pouvait passer le reste de sa vie. Il était vraiment difficile de trouver une arme qui correspondait parfaitement à l’utilisateur, au point de le pousser à lui dire oui pour toujours. Et si jamais un Chevalier parvenait à trouver la perle rare, se l’assurer requérait encore un tas de sacrifices. C’était pour cette raison qu’il était normal d’être tendu à ce point.

Mais il fit de son mieux pour se ressaisir.

TTing-

Avant qu’il ne puisse le réaliser, il était arrivé au dernière étage.

« … »

Gulp.

Il déglutit instinctivement après avoir vu l’intérieur de l’étage. Il n’y avait rien qui attirait l’œil ici. Au lieu du luxe auquel il s’attendait, il vit un papier-peint simple et gris placardé sur chaque mur. Cependant, ils provoquaient en lui une intense sensation, comme une pression sur ses épaules.

Le Chevalier, totalement inconscient du fait que Sae-Jin avait octroyé une capacité spéciale au papier-peint, ne put que s’émerveiller devant la simplicité que pouvait montrer l’Orque, et il finit par avancer.

Et Joo Ji-Hyuk, en regardant autour de lui, trouva une certaine plaque. Heureusement que ses yeux étaient attachés au fond de ses orbites, parce qu’ils voulurent se faire la malle à ce moment précis.

Les lettres dorées gravées sur la plaque disaient…

Armurerie du Forgeron ORK, Société Le Monstre.

« Veuillez me suivre. »

Joo Ji-Hyuk s’éveilla d’un seul coup de sa stupéfaction, sa bouche grande ouverte devant la plaque.

« Ah… Oui ! »

Il la suivit et avant de s’en rendre compte, il se tenait en face de la porte où était écrit « Bureau du Manager ». Sans aucun doute, le forgeron allait l’attendre dans cette pièce.

« Veuillez prendre note, l’interview n’est pas conduite par le forgeron, mais par le gérant de la Société. »

« …Oh. Bien sûr… »

Le gérant de la Société, ça voulait dire Kim Sae-Jin, le Chasseur de niveau moyen. Même s’il n’était qu’un Chasseur, Joo Ji-Hyuk savait que ce mec était devenu quelqu’un qu’on ne pouvait pas ignorer ou offenser. Ce mec ne pouvait pas être sous-estimé.

« S’il vous plait, vous pouvez entrer. »

Joo Ji-Hyuk hocha la tête et poussa la porte du bureau.

 

*

 

« Si je deviens le propriétaire d’une arme fabriquée par Sieur ORK le forgeron, je suis absolument confiant, je la traiterai mieux que quiconque. Je vais l’entretenir, au moins trois fois par jour… »

Le Chevalier de l’Ordre de l’Aube, Joo Ji-Hyuk, avait l’air d’être en train de répondre à des questions avec sa vie en jeu. Son visage était tendu, crispé et noué, sa posture complètement de travers, un coup d’un côté, puis se tortillant de l’autre, tout en regardant la personne en face de lui.

« C’est vrai… ? Oh, si vous devez aller aux toilettes, dites-le. Et pouvez-vous me dire quel est le type d’arme que vous utilisez principalement ? »

Dans ce bureau, un interrogatoire inattendu se déroulait paisiblement.

Celui qui posait les questions était, naturellement, Kim Sae-Jin – et ceux qui y répondaient était les Chevaliers de niveau moyen ou moyen inférieur qui désiraient des armes.

Ces supposément très occupés Chevaliers de niveaux supérieurs avec un statut social et une dignité à conserver n’avaient envoyé qu’une seule requête par personne, mais ceux dans le vrai besoin finissaient toujours par insister – par contre, les Chevaliers aux niveaux plus bas venaient rendre visite à l’armurerie en personne.

« Voyons voir… J’utilise principalement une épée à deux mains, la ‘Zweihänder’. Je ne sais pas si c’est une arme difficile à fabriquer, ou si les compétences des forgerons qui en ont fabriquées pour moi étaient à la rue, mais … La plupart du temps, après cinq chasses ou une exploration de Fissure, les épées se brisent invariablement. »

Ainsi étaient les mots qui montraient la réalité de l’usage qu’il avait de ses armes.

Quand une personne possédait un tant soit peu de talent, elle choisirait alors une profession – Chevalier ou Sorcier, par exemple – qui avait bonne réputation et qui permettait de gagner pas mal d’argent, plutôt que de s’aventurer sur le chemin tortueux de la forge.

Et même à ce moment, les Chevaliers traitaient les forgerons avec dédain, depuis des années déjà. Les ateliers existants quittèrent le devant de la scène à cause de ça, et peu à peu cessèrent de travailler, tout simplement. Et les Chevaliers commençaient à peine à montrer de l’humilité devant l’urgence de la situation.

« Il y avait cette fois, quand mon épée s’est brisée au milieu d’une exploration de Fissure. Je me rappelle que ça m’a causé pas mal de problèmes. »

« Oh, vraiment ? Au fait, si c’est une Zweihänder, ça risque de coûter pas mal d’argent. »

Une Zweihänder était une épée longue tenue des deux mains, avec une apparence très brutale. Si ce type était choisi comme nouveau propriétaire d’une telle arme, ça allait être un sacré défi pour Sae-Jin, qui avait tout juste assez de mana pour la fabriquer.

« Ah, non, c’est bon ! J’étais conscient du prix quand j’ai choisi. Ce n’est pas pour me vanter, mais notre Ordre possède un système de prêt qui est bien organisé, très raisonnable et… Hahaha ! »

Même l’éclat de rire qui venait du jeune homme, qui ressemblait à un fis de ferme, semblait pur et honnête.

Sae-Jin gloussa aussi légèrement et répondit qu’il comprenait et qu’il valait maintenant mieux pour le Chevalier qu’il s’en retourne et attende une éventuelle bonne nouvelle.

« Oh, et s’il vous plait, ne perdez pas espoir… Même si vous échouez à cette évaluation. Comme vous l’avez déjà sans doute deviné, il y a déjà bien trop de Chevaliers ayant demandé une arme, et il est simplement impossible de les satisfaire tous… »

« Je comprends ! Comme je cherche une arme que je pourrai utiliser pour le reste de ma vie, évidemment que j’essayerai encore si j’échoue ! »

Humble jusqu’au bout.

Quand le Chevalier eut quitté la pièce, Sae-Jin vérifia rapidement le temps qu’il pouvait encore accorder aux interviews. Environ deux heures, donc une vingtaine d’interviews. Il dit à l’employée de laisser entrer la prochaine personne.

Même s’il était sacrément occupé, étrangement, il sentait vraiment bien.

 

*

 

Actuellement, une nouvelle rumeur courait parmi les Ordres. C’était à propos du Forgeron Orque qui aurait rejoint la Société Le Monstre.

Même si son nom n’avait pas encore été ajouté officiellement sur la liste des membres, la rumeur venait de tous ces Chevaliers qui avait visité le dernier étage de la boutique, et qui étaient tombés nez à nez avec la plaque dorée.

« Mais c’est un soulagement, non ? Comme notre mademoiselle Kim Yu-Rin est assez proche du dirigeant de la Société… »

« …Uh ? »

Ils étaient présentement dans la salle de conférence de l’équipe 1 de l’Ordre du Corbeau, dont Kim Yu-Rin était un membre clé – et savouraient une pause après un débriefing qui avait duré plus d’une heure.

Les Chevaliers étaient en train de jacasser à propos de tout et de rien pour se décontracter, quand tout à coup, l’attention fut dirigée droit sur Kim Yu-Rin.

« T’as trop raison. Nous l’avons elle, hein ? Quel soulagement – les Maîtres des autres Ordres sont sûrement en train de péter un câble à ne pas savoir comment créer une relation avec lui, en tout cas c’est ce que j’ai entendu. Oh, c’est vrai, mademoiselle Yu-Rin, mon arme est un peu… »

Une femme Chevalier, tout en arborant une expression pathétique, dégaina son épée pour en exhiber les éraflures et imperfections.

« … »

Elle rangea sa lame devant le regard glacial de Kim Yu-Rin, mais ses attentes n’avaient pas flambé.

« …Je dois diner avec cette personne plus tard, alors je lui demanderai, ok ? »

« Ouah, vraiment ? »

« … »

 

Alors que les autres Chevaliers discutaient de manière joyeuse, Kim Soo-Gyeom était la seule exception. Son expression restait aigre, comme s’il y avait quelque chose qui le dérangeait au plus haut point.

« …Fup. Mademoiselle Yu-Rin, je pense que ce mec est jaloux que vous sortiez diner avec un autre homme. Comment est-ce qu’un pauvre niveau moyen, encore tout mouillé derrière les oreilles, ose-t-il avoir des vues sur notre mademoiselle de niveau Très Haut… ? »

« Non, non, ce n’est pas vrai ! »

La femme avait lancé une pique après avoir tenté de déchiffrer son humeur ; Kim Soo-Gyeom se dépêcha de réfuter le tout en un bloc, le visage totalement rouge.

« …Assez avec la moquerie. Continuez comme ça et son visage va juste éclater en deux, tu sais. Et puis, ne vous fiez pas seulement à moi et allez-y vous-même aussi. Ce n’est pas comme si une arme pouvait être fabriquée en une nuit… »

« Eiii… Comment pourrais-je aller visiter un forgeron débutant quand je suis un Chevalier de niveau moyen supérieur ? Bien sûr, s’il pouvait me fournir un produit de haute qualité qui pourrait coller avec mon mana, alors oui, j’irais et je me mettrais même à genoux – Mais ça n’a rien à voir avec moi, là on parle de l’honneur de l’Ordre tout entier. »

Sa collègue s’arrêta de parler pour un instant et fronça les sourcils. Elle était clairement irritée rien que d’y penser.

« On ne peut pas le faire, à moins que mademoiselle Yu-Rin ne le fasse elle-même lors d’une rencontre officielle, ou quelque chose comme ça – Je veux dire, si jamais l’histoire venait aux oreilles de la SNS, alors ces enfoirés de l’Aube et de Goryeo pourraient tout à fait se foutre de notre gueule. Genre, ‘Oh, regardez, le Chevalier de niveau moyen supérieur Yi Hye-Rin, qui accourt pour rencontrer un forgeron débutant pieds nus parce que son arme est toute cassée !’, ce genre de truc… »

« Toi… Fu-woo. »

C’est à cause de réactions comme ça que le nombre de forgerons est sur le déclin.

Kim Yu-Rin ne pouvait même pas cracher ce qu’elle pensait.

Parce que la femme Chevalier avait dit quelque chose qui n’était pas tout à fait faux. En fait, c’était devenu une habitude pour les membres de l’Aube de chercher la misère avec eux à la moindre occasion.

Un Chevalier de l’Aube connu dans le monde de l’industrie avait provoqué une controverse en provoquant l’Ordre du Corbeau en prenant un selfie à l’intérieur du quartier général de l’Aube et en le postant avec l’hashtag #MeilleurOrdreDeCorée.

Dans cet environnement, les chances qu’une rumeur toxique se répande étaient élevées, si un Chevalier de niveau moyen supérieur était vu en train de visiter une armurerie, et surtout celle d’un forgeron ayant fait ses débuts moins d’un an auparavant, ils couraient à la catastrophe.

Même si ce n’était qu’une différence d’un mot, le pouvoir et la position d’un niveau moyen supérieur n’avaient rien à voir avec ceux d’un simple niveau moyen. Quand les uns étaient les composants réguliers d’une armée, on pouvait dire que les autres étaient les élites parmi eux.

Bien sûr, il y eut des cas tel que celui-là par le passé. Mais ceux à qui ils allaient rendre visite étaient des artisans ou des maîtres, et les Chevaliers s’y rendaient pour recevoir les armes complètes.

Peu importe à quel point le forgeron Orque pouvait être connu, il n’était encore qu’un débutant. Et la vraie raison pour laquelle il avait reçu autant d’attention avait tout à voir avec sa promesse de fabriquer au moins deux armes par mois, ce qui semblait totalement impossible.

Alors les inquiétudes de Yi Hye-Rin étaient compréhensibles.

D’un certain côté, c’était une guerre de fierté – rester droit jusqu’à ce que ceux de l’Aube décident de rendre visitent à ce forgeron eux-mêmes.

Evidemment, c’était inutile en soi. Mais les Chevaliers fonctionnaient comme ça.

« Peu importe, n’en attendez pas grand-chose. Et je ne peux pas demander énormément, vous savez. »

« Bien sûr… »

« Bon, retournons à notre débriefing. »

« Aha, mais il reste dix minutes ! »

« Du calme… »

 

*

 

La compétence passive, « Souverain des Océans », s’avérait être vraiment utile.

« Ooooooh, c’est vraiment devenu chaud. »

Le seul truc, c’est qu’il ne l’utilisait que pour des raisons pratiques.

Sae-Jin toucha la surface de l’eau dans la baignoire et en changea la température, qui devint juste parfaite pour y plonger son corps.

C’était l’une des capacités de la compétence passive de rang F-, Souverain des Océans », ‘selon le niveau, l’hôte peut manipuler l’eau à sa guise’.

Et bien entendu, la température changeait en un instant.

Pour le moment, tout ce qu’il pouvait en faire était de porter à ébullition l’eau pour une tasse de café, cuire des nouilles ou comme là, chauffer l’eau du bain, mais… il avait le sentiment qu’aussi longtemps que le niveau de la compétence était assez élevée, il pourrait trouver mille et une façons de se rendre la vie plus facile.

« Ooooh, yeahhh… »

Il entra lentement dans l’eau avec une expression satisfaite. Et puis il pensa à sa forme de Faible Monstre Marin.

Je dois essayer… ?

C’était cool que le nombre de ses formes ait augmenté d’un, mais comme le nom n’avait vraiment pas l’air top, il n’avait pas encore testé jusqu’à présent. Mais comme il se sentait bien, il se dit que là, il avait autant tenter le coup.

« …Hm. »

Décidé, il se transforma.

Il n’y eut aucun effet spécial ou jeu de lumières. Seulement ça, sa taille diminua d’un seul coup, et des écailles commencèrent à pousser sur sa peau comme de la fourrure.

« … »

Maintenant sous la forme du dénommé Faible Monstre Marin, Sae-Jin regarda le miroir au plafond, comme un con.

…Putain ? Est-ce que c’est seulement un monstre ?!

Appeler ça un monstre ! C’était juste beaucoup trop mignon pour ça !

Dans cette paire d’yeux très larges et très ronds se trouvait une humidité constante, et tout le long de son corps, il pouvait voir des écailles blanches et douces. Grâce à ça, son corps tout blanc avait l’air tellement adorable…

En d’autres termes, il avait l’air d’un bébé phoque, avec une corne sur la tête.

Un animal adorable qui pouvait pousser l’instinct de n’importe qui à vouloir le protéger, juste en le voyant.

Non, décidément, ce n’était pas un monstre !

Inconsciemment, Sae-Jin se frotta la joue.

Et ses joues, toutes rondes et toutes joufflues et toutes douces, avaient l’air tellemeeeeeeeent mignonnes…

« Kking ? »

Même le son qui sortait de sa bouche ressemblait à s’y méprendre au cri d’un chiot !

Mais qu’est-ce que ça veut dire ?!

Evidemment, se transformer en un truc pareil le fit paniquer sur le coup.

 

Raka
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